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Insurance, Life --- -Husband and wife --- -Inheritance and succession --- -02.01.F --- Bequests --- Descent and distribution --- Descents --- Hereditary succession --- Inheritance and succession --- Intestacy --- Intestate succession --- Law of succession --- Succession, Intestate --- Real property --- Universal succession --- Trusts and trustees --- Husband and wife --- Man and wife --- Matrimonial regime --- Spouses --- Wife and husband --- Domestic relations --- Women --- Desertion and non-support --- Marriage law --- Married women --- Insurance --- Viatical settlements --- Law and legislation --- -Verzekeringswezen ; Algemeen ; Frankrijk --- Legal status, laws, etc. --- Life insurance --- 02.01.F --- Verzekeringswezen ; Algemeen ; Frankrijk --- DROIT DES ASSURANCES --- DROIT CIVIL FRANCAIS --- ASSURANCE DE PERSONNE --- ASSURANCE DE DOMMAGE - ASSURANCE DE RESPONSABILITE --- ASSURANCE DE CHOSES --- DROIT DES PERSONNES --- DROIT DES SUCCESSIONS --- ASSURANCE VIE --- FRANCE --- FAMILLE --- SUCCESSION ET LIBERALITE
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Qu'en est-il, en ce début de XXIe siècle, de la sécurité des personnes et des biens ? Le constat est quasiment unanime, on observe, dans les différentes branches du droit, un double mouvement. D'une part, une extension considérable des domaines dans lesquels la sécurité des personnes et des biens est désormais prise en compte. À la vérité, elle semble être devenue une préoccupation inhérente à toute activité humaine. Chacun connaît, depuis longtemps, la sécurité sociale, la sécurité routière, la sécurité aérienne, la sécurité alimentaire, la sécurité médicale... À cette liste, déjà longue, s'ajoutent chaque jour de nouvelles conquêtes : la sécurité des jouets pour enfants, la sécurité des programmes informatiques, la sécurité des tunnels routiers... En quelques années, les normes de sécurité ont investi le droit du travail, le droit des contrats, et même le droit immobilier. En un mot, il n'y a plus de place dans notre société pour l'insécurité - si ce n'est comme source de responsabilité ou de sanction ! D'autre part, et dans le même temps, on constate un glissement de la sphère publique vers la sphère privée. Autrement dit, on assiste à une privatisation de la préoccupation de sécurité. Dans le passé, la sécurité des personnes et des biens relevait de la fonction étatique, au sens large. Elle concernait, au premier chef, les forces armées, la police, les tribunaux répressifs. Aujourd'hui, la sécurité n'est plus seulement l'affaire des pouvoirs publics, elle est devenue l'affaire de tous, individus ou entreprises. L'État se désengage, ou plus exactement déplace la charge d'une exigence de sécurité omniprésente, donc financièrement insupportable. À première vue, cette montée en puissance de la sécurité des personnes et des biens, à travers une réglementation de plus en plus contraignante, n'apparaît pas sans danger. Elle pourrait bien affecter, dans nos sociétés développées, deux valeurs aussi fondamentales que la liberté individuelle et le progrès technique.…
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L’occasion d’un colloque sur l’histoire des Facultés de droit de province au xixe siècle a été founie par le bicentenaire du décret du 17 mars 1808 qui a redonné aux Ecoles de droit le titre de Facultés qu’elles ont conservé de manière discontinue jusqu’à nos jours. Afin de délimiter le sujet, il a été décidé de se consacrer d’abord au xixe siècle (lato sensu) et aux Facultés de droit de province (même s’il ne faut pas ignorer les interactions avec celle de Paris). Ainsi se trouvaient directement concernées les Facultés de droit napoléoniennes : Aix - Caen - Dijon - Grenoble - Poitiers - Rennes -Strasbourg et Toulouse et celles créées ultérieurement à partir de la fin du Second Empire (Nancy - Douai) et du début de la IIIe République : Bordeaux - Lyon - Montpellier - Lille sans oublier le cas particulier d’Alger. Il est vrai que l’historiographie des Facultés de droit est restée trop longtemps le parent pauvre de la recherche sur l’enseignement supérieur français. Fort heureusement, l’on assiste depuis quelques années à un regain d’intérêt pour ces sujets. Le temps est venu, semble-t-il, de coordonner et de fédérer la recherche menée sur l’histoire des Facultés de droit et ce livre issu du colloque de 2008 y contribue. Les historiens du droit ne revendiquent aucun monopole en ce domaine et tous les talents sont les bienvenus comme on a essayé de le montrer dans l’élaboration même de cet ouvrage mais ils doivent résolument et collectivement se situer en première ligne sur ce chantier de recherche. Pour cela, ils doivent mieux se connaître, confronter leurs points de vue, se retrouver régulièrement, se soutenir davantage, intégrer aussi les jeunes chercheurs à cette recherche au long cours qui permettra, en connaissant mieux notre passé de mieux aborder les grands défis que connaît aujourd’hui l’Université française.
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Faire l’histoire de l’histoire est une démarche qui, depuis trente ans, est solidement installée au coeur des sciences historiques. Toutefois, jusqu’à présent, un domaine n’a guère fait l’objet de recherches historiographiques : l’histoire du droit. Cette discipline née dans l’enceinte des facultés de droit, a longtemps cultivé un « splendide isolement » à l’égard des courants qui ont traversé la « fabrique de l’Histoire », au nom d’une spécificité dont se réclament volontiers les juristes. Mais l’indispensable effort de réflexivité a fini par imposer ses exigences épistémologiques et c’est la vénérable Société d’Histoire du droit - fondée en 1913 - qui a mis à l’ordre du jour de ses Journées internationales, tenues à Toulouse en juin 2005, Thistoriographie de la discipline. Les 35 contributions réunies dans cet ouvrage explorent les racines anciennes de l’étude historique du droit, sa laborieuse introduction dans les facultés au cours du xixe siècle, l’invention et le développement de ses méthodes, de ses pratiques, comme de ses institutions propres (revues, sociétés savantes) au xxe siècle. Elles campent quelques figures notables qui l’ont illustrée et grâce à la participation de spécialistes espagnols, portugais, italiens, belges, néerlandais et roumain, elles offrent des comparaisons avec la situation française, et permettent de tracer un panorama d’ensemble très riche et, somme toute, d’une remarquable homogénéité.
Law --- Droit --- History --- Congresses --- Histoire --- Congrès --- Historiographie --- Congrès --- Histoire. --- Historiographie. --- histoire --- droit --- société savante --- faculté
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Contentieux administratif --- Droit administratif --- Droit --- Histoire. --- Histoire --- Mestre, Jean-Louis
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