Narrow your search

Library

UCLouvain (5)

Middelheim (2)

UAntwerpen (2)

AP (1)


Resource type

book (7)

film (3)


Language

Polish (10)


Year
From To Submit

2018 (2)

2007 (1)

2006 (1)

2001 (1)

2000 (1)

More...
Listing 1 - 10 of 10
Sort by

Book
Siwa mgła : na baryton i orkiestrę
Author:
ISBN: 8322419252 Year: 1983 Publisher: Kraków PWM Edition

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Book
O (podstawowym) znaczeniu ingardenowskiej kategorii konkretyzacji estetycznej : About (primary) meaning of Ingarden's category of aesthetic concretisation
Author:
ISBN: 8324235132 9788324235131 Year: 2018 Publisher: Kraków: Towarzystwo Autorów i Wydawców Prac Naukowych UNIVERSITAS,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Czy o Ingardenowskiej konkretyzacji estetycznej mozna powiedziec cos jeszcze, skoro tylu badaczy w minionych dekadach czynilo ja przedmiotem swojego zainteresowania? Szkopul w tym, co przez to ,,cos" nalezaloby rozumiec. [...] ,,Latka" bycia dopelniona, rozwinieta wersja dziela sztuki to przeciez formula, jaka obdarza sie konkretyzacje estetyczna najczesciej i nikogo ona nie dziwi. Wrecz przeciwnie - tak bardzo do niej przylgnela, ze za zastanawiajaca uznaje sie sytuacje, w której mozna byloby okreslac ja inaczej. A przeciez jak kazda Ingardenowska kategoria czy koncepcja, równiez (zwlaszcza!) ta ma swoja bogata przeszlosc, skads sie w rozwazaniach polskiego fenomenologa wziela, nad wyraz udobitniajac niezmiernie frapujace, gdyz podlegajace rozmaitym inspiracyjnym wplywom, twórcze oblicze samego Ingardena. [...] Niniejsza rozprawa jest próba [...] znaczeniowego wyzwolenia kategorii konkretyzacji estetycznej, która jednak nie tylko eliminacji wspomnianej ,,latki" sluzy. Usilujemy przede wszystkim dowiesc, juz wbrew Ingardenowi, ze znaczenie kategorialne konkretyzacji estetycznej podporzadkowane jest w pierwszym rzedzie jednemu: ewokowaniu jakosci metafizycznych. A zatem wbrew Ingardenowi, ale i dla Ingardena, dla ,,ocalenia" rangi innej, bodaj najistotniejszej koncepcji na gruncie jego filozofii sztuki - koncepcji jakosci metafizycznych. Ze Wstepu. Beata Garlej (z domu Romanowska) - adiunkt w Zakladzie Teorii Literatury na Wydziale Nauk Humanistycznych Uniwersytetu Kardynala Stefana Wyszynskiego w Warszawie i jednoczesnie pracownik Zakladu Aksjologii i Estetyki Literackiej tej uczelni. Autorka monografii Warstwowosc dziela literackiego w ujeciu Romana Ingardena. Koncepcja, rozwiniecie, recepcja (Kraków 2015) oraz Ingardenowskie jakosci metafizyczne - miedzy otwartoscia a scisloscia pojecia (Warszawa 2016). Wspólredaktorka dwóch zeszytów serii naukowej ,,Zeszyty Zakladu Aksjologii i Estetyki Literackiej. Wydzial Nauk Humanistycznych UKSW" (nr 2 z 2015 roku: Estetyka literacka - Arcydzielo - Ingarden wraz z Bernadetta Kuczera-Chachulska; nr 3 z 2018 roku: Estetyka Romana Ingardena a praktyka interpretacyjna wespól z Bernadetta Kuczera-Chachulska i Andrzejem Tyszczykiem). Publikowala artykuly na lamach czasopism ,,Studia Poetica", ,,Estetyka i Krytyka", ,,Przeglad Filozoficzny - Nowa Seria", ,,Studia Wschodnioslowianskie". Autorka licznych rozdzialów prac monograficznych. Obszary badawcze: teoria literatury, poetyka dziela literackiego, wybrane problemy z zakresu aksjologii i estetyki literackiej. Szczególnie zainteresowana filozofia fenomenologiczna.


Book
Życie i działanie w stylu katolickim
Author:
ISBN: 8321113397 9788321113395 Year: 2000 Publisher: Warszawa: Wydawnictwo Civitas Christiana,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Book
Teatr Nowy w Poznaniu, 1973-1983
Authors: ---
Year: 1984 Publisher: Poznan Panstwowy Teatr Nowy

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
La clepsydre
Author:
Year: 2018 Publisher: [Paris]: Malavida,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Rencontre entre Wojciech J.Has, cinéaste de la perte de repère, et Bruno Schulz, auteur fantastique. Le film restitue le climat d'inquiétante étrangeté et d'onirisme existentiel de Schulz, chez lequel les délires du rêve redessinent la mémoire. La Clepsydre raconte l'odyssée de Joseph qui le conduit à pénétrer dans un bien étrange sanatorium pour y rentre visite à son père... mort. Son directeur est en effet parvenu à reculer le temps qui précède la fin, mais dans ces instants suspendus, il n'offre pour toute évasion à ses hôtes que le sommeil. Plongé dans un état de léthargie permanente, l'homme est envahi par ses souvenirs désordonnés, dans un temps disloqué devenu lieu. La Clepsydre est une initiation au rêve et à la mort. Dans un seul espace mental le temps personnel se fond au temps historique mythifié par l'enfance, en un gigantesque chaos.Réalisateur d’une œuvre naviguant entre baroque et onirisme, célèbre pour son adaptation du Manuscrit trouvé à Saragosse (1965), W. J. Has fascine public et critique avec cette expérience hypnotique, adaptant deux œuvres de Bruno Schulz : Le Sanatorium au croque-mort et Les Boutiques de cannelle. Désir d’expérimentation sans limite, jeu virtuose sur les strates du temps et de la conscience, La clepsydre est un film qui a révolutionné le cinéma.Film labyrinthe, voyage initiatique, expérience sensorielle, rêve incohérent, théâtre de marionnettes, musique hypnotique, au carrefour de Fellini, Tarkovski et Visconti, inspiration majeure de Lynch ou Nolan. L’un des sommets de l’oeuvre de Wojciech Has dans une sublime copie restaurée !


Book
Leksykon PRL-u
Author:
ISBN: 8324000100 Year: 2001 Publisher: Kraków Znak

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
The energy manifesto !
Author:
Year: 2006 Publisher: Vienne: Arge Index,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Né en 1939 à Poznán, Józef Robakowski est l'auteur de films, de séries de photographies, de vidéos, d'installations, de dessins et de projets conceptuels. Il est l'un des représentants les plus fameux de la "néo-avant-garde" polonaise des années soixante et septante. Son travail est très souvent marqué par une volonté de transgresser les limites entre les genres et les médias, quelque part entre abstraction structuraliste, esprit ludique et sens décalé de l'observation du quotidien.


Book
Pryzmat : 9 współczesnych rzeźbiarzy szwedzkich: Asmund Arle, Leif Bolter, Lars Englund, A.R. Lennart Jonason, Arne Jones, Beth Laurin, Bror Marklund, Torsten Renqvist, Ulrik Samuelson

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Film
Krzysztof Kieślowski
Author:
Year: 2007 Publisher: Varsovie: Narodowy Instytut Audiowizualny,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

-From the City of Lodz :Un portrait documentaire d'une ville pleine d'idiosyncrasies et de détails intéressants : les routines d'exercice dans une usine, une réunion de la communauté pour sauver un orchestre local de la "liquidation", et d'autres. Le détail piétonnier, qui révèle ce qui est significatif pour les habitants de la ville, colle les épisodes les uns aux autres : des vieillards assis, des enfants qui jouent, du linge qui sèche à l'extérieur d'une fenêtre. Ces détails, empreints d'un charme et d'une beauté subtils, continueront à fasciner Kieslowski tout au long de sa carrière. Les plans des machines de l'usine témoignent de son penchant précoce pour le gros plan. La chanson finale qui accompagne la scène finale parle d'une ville qui "doit être trouvée quelque part, où l'on peut vivre une vie paisible".-I was a soldier :Dans son film de 1970, I was a soldier, Kieslowski propose une histoire simple qui contraste avec les récits de propagande sur les soldats héroïques. Il interroge sept hommes ordinaires qui ont perdu la vue pendant la guerre, qui ne voient plus que dans leurs rêves et qui doivent compter sur les autres pour survivre. Le film est simple : les personnages sont assis, parlent et sont filmés en gros plan. Chaque scène se termine par un fondu au blanc. Cependant, le film entier se termine par un fondu au noir, soulignant ainsi la cécité des anciens soldats. Kieslowski dépeint un aspect de la guerre qui n'est pas souvent présent dans les films de guerre polonais traditionnels, qui se concentrent sur l'aspect héroïque ou propagandiste de la guerre. -Refrain :Refrain, d'une durée de dix minutes, traite d'une entreprise de pompes funèbres et s'attaque à la bureaucratie, à la corruption et aux attitudes dépassionnées à l'égard des concitoyens en deuil. Le film révèle également un humour macabre, presque kafkaïen, familier à ceux qui ont vécu sous le système communiste, par exemple dans les scènes où les clients demandent des lots pour le cimetière. Refrain s'ouvre sur une image où l'on efface le nom d'une personne récemment décédée. La dernière scène montre non seulement l'humour noir de Kieslowski, mais fournit également une métaphore universalisante : au son de la musique de Vivaldi, la caméra montre un certain nombre de nouveau-nés dans un hôpital, chacun se voyant attribuer son numéro d'identification.-Bricklayer :Murarz (Bricklayer), réalisé en 1973 mais sorti pendant la période de Solidarité, traite d'un travailleur exemplaire de l'ère stalinienne et de la concurrence stakhanoviste. Dans le film de Kieslowski, le maçon d'âge moyen, Jozef Malesa, se remémore sa vie en participant au défilé du 1er mai. Amer mais fier de ses réalisations, Malesa évoque son éducation communiste et sa propre fascination pour l'idéologie communiste. Il évoque la manière dont il a été courtisé par le système communiste, ce qui l'a amené à travailler comme apparatchik du parti, et son désenchantement progressif par rapport à cette idéologie. Après "l'octobre polonais" de 1956, il est retourné à son travail initial de simple maçon et s'est senti beaucoup plus heureux. Kieslowski ne commente pas, ne ridiculise pas et ne contredit pas son protagoniste avec des images. Il le laisse parler, tandis que l'écran est rempli de chansons "socialistes réalistes" et d'images de Varsovie, la ville que Malesa a contribué à reconstruire.-X-ray :Le film montre des tuberculeux dans le sanatorium de Sokolowsko, près de Jelenia Gora (sud-ouest de la Pologne), où le père de Kieslowski a été soigné pour la tuberculose. X-Ray comprend des gros plans de quatre hommes qui parlent à la caméra de leur maladie et de leur état d'esprit inquiet. Ils se sentent en marge de la société, superflus et oubliés.-Curriculum vitae :Documentaire fictif sur une réunion du comité de contrôle d'une voïvodie du parti communiste examinant l'appel d'un ouvrier exclu du parti communiste. Malgré le caractère fictif du travailleur et sa biographie fictive, la réunion se transforme en un procès très réaliste d'un individu qui refuse de se soumettre à l'autorité et souhaite réellement accomplir quelque chose. C'est une vision de la façon dont ceux qui se rebellent au nom des principes fondamentaux d'honnêteté et de dignité sont finalement détruits. Le film a été produit comme outil pédagogique et projeté lors de séances organisées pour les membres du Parti ouvrier unifié polonais.-Slate :Si certaines de ces prises (de The Scar) sont des "bêtisiers", d'autres n'en ont pas l'air. Le film devient une sorte d'expérience de montage, unifiée par le rythme musical de l'ardoise qui claque.-First love :L'histoire de deux jeunes (17 et 18 ans) jusqu'à la naissance de leur premier enfant. Le film offre une vision de l'amour entre deux jeunes qui commencent leur vie d'adulte dans les réalités de la République populaire de Pologne, où rien n'est simple et où chaque affaire - même la plus simple - nécessite de multiples visites dans de multiples institutions.-Hospital :Le film traite des chirurgiens orthopédiques de Varsovie qui sont représentés en train de travailler pendant de longues périodes de 32 heures. La caméra les suit dans la salle d'opération, la salle d'admission et les bureaux enfumés. Ils sont présentés comme luttant contre des équipements défectueux et surmontant la fatigue. Le film se concentre sur des situations quotidiennes à l'hôpital, sans commentaires en voix off, avec une indication précise du temps qui passe toutes les heures. Les chirurgiens sont présentés comme des travailleurs qualifiés dans ce "film sur une certaine fraternité", pour reprendre les termes de Kieslowski.-From a night porter's point of view :Portrait du gardien d'usine Marian Osuch, qui se révèle être un fanatique de la discipline voulant contrôler tout et tout le monde. Une image métaphorique du totalitarisme.-Seven women of different ages :Portraits de sept danseuses, adolescentes et femmes sur le point de mettre fin à leur carrière. Les sept portraits se combinent pour former le portrait d'une femme, de l'enfance à la vieillesse. Une histoire poétique de transcendance. Créée en 1981.-Talking heads :Des personnes de professions et d'âges divers, allant d'un enfant d'un an à une femme centenaire, répondent aux questions : En quelle année êtes-vous né ? Qui êtes-vous ? Qu'est-ce qui vous semble le plus important ? Le résultat est une galerie de têtes identifiées par leur année de naissance. Les rêves et les problèmes des personnes de différents âges se combinent pour constituer une histoire de la vie humaine. Un enfant de deux ans rêve de devenir une automobile "Syrenka", tandis qu'une femme centenaire rêve de vivre plus longtemps. Le film est en même temps une histoire sur la Pologne, sur la façon dont les Polonais perçoivent leur pays et sur ce qu'ils auraient aimé y changer.

Listing 1 - 10 of 10
Sort by