Narrow your search

Library

ULB (268)

UCLouvain (191)

ULiège (177)

National Bank of Belgium (80)

UNamur (58)

UGent (56)

KBR (53)

KU Leuven (52)

UMons (45)

Vlaams Parlement (34)

More...

Resource type

book (421)

dissertation (25)

periodical (5)


Language

French (446)


Year
From To Submit

2024 (2)

2023 (9)

2022 (9)

2021 (11)

2020 (6)

More...
Listing 1 - 10 of 446 << page
of 45
>>
Sort by

Book
L'entreprise face aux risques majeurs : à propos de l'incertitude des normes sociales
Author:
ISBN: 9782738415905 2738415903 Year: 1993 Publisher: Paris: L'Harmattan,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Book
Méthodologie de gestion des risques : illustration dans un atelier de stratification nautique

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Cette étude d’évaluation des risques a été réalisée dans un atelier de stratification nautique. Le médecin du travail de l’entreprise et moi-même, nous sommes intéressés au problème des troubles musculosquelettiques (T.M.S.) au sein de cet atelier. A la suite de l’augmentation inquiétante des troubles musculosquelettiques et des multiples arrêts de travail dus à ces troubles, nous avons souhaité étudier cette situation. Le problème a été soulevé par le médecin du travail de l’entreprise lors d’un CHSCT. Nous avons donc étudié ensemble cette situation. Depuis que le médecin du travail a pris ses fonctions au sein de l’entreprise, début de l’année 2001, deux cas de T.M.S. d’origine professionnelle ont été déclarés.
Résumé clinique de la situation :
En avril 2001, une maladie professionnelle n° 57 (tendinite épaule droite) a été déclarée chez une stratifieuse ayant de lourds antécédents de lombalgies récidivantes, ce qui lui a valu un arrêt de travail de quinze mois. L’inaptitude médicale définitive a été déclarée suite à l’impossibilité de reclassement professionnel au sein de l’entreprise.
En juin 2001, une stratifieuse a bénéficié d’un arrêt de travail de onze mois pour lombalgies aigues à répétition sur hernie discale L4/L5 par prostrusion, inopérable. Cette opératrice a pu être reclassée au poste de stratification « petites pièces ». Le reclassement professionnel est un succès.
En août 2001, une stratifieuse a été arrêtée huit mois pour lombalgies aiguës et récidivantes sur hernie discale L4/L5. Elle a subi une nucléolyse. Cette opératrice a également pu être reclassée au poste de stratification « petites pièces » et a bénéficié d’un mi-temps thérapeutique de quatre mois. Le reclassement professionnel est un succès.
Un opérateur est actuellement en arrêt maladie depuis plus de trois mois, il vient de subir une opération pour canal lombaire étroit. Le reclassement professionnel sera à envisager avec la possibilité de créer un poste en découpe de tissus.
Dans le courant de l’année 2001, une inaptitude médicale définitive a également été déclarée chez une stratifieuse pour dépression réactionnelle grave suite à un harcèlement moral important de la part du chef d’atelier.
En mars 2002, une maladie professionnelle n° 57 (périarthrite scapulo-humérale et épicondylite droites) a été reconnue chez une opératrice, ayant entraîné un arrêt de travail de deux ans. L’inaptitude médicale définitive a été déclarée suite aux séquelles importantes du membre supérieur droit. Le reclassement professionnel au sein de l’entreprise fut impossible.
Au départ, nous nous sommes d’abord intéressés au problème des TMS constaté chez ces travailleurs. Le nombre d’arrêt maladie pour TMS au cours de l’année 2001 – 2002 était en effet extrêmement important. Plus de 89% des opérateurs se sont plaints de lombalgies ces douze derniers mois et plus de 40% se sont plaints des TMS du membre supérieur (cfr chapitre VI).
En accord avec le médecin du travail de l’entreprise, je me suis rendue dans l’atelier où j’ai pu constater une désorganisation dans la gestion de celui-ci. Plutôt que de me consacrer à l’étude des TMS, j’ai donc choisi d’étudier le problème dans son ensemble afin de pouvoir améliorer les conditions de travail au sein de cet atelier de stratification.
Nous avons utilisé une stratégie d’évaluation et de prévention des risques basée sur une approche progressive à quatre niveaux (Stratégie Sobane).
Nous sommes partis de la méthode Déparis qui est une méthode de Dépistage participatif des risques dans une situation de travail. Cette méthode nous a révélé que certains aspects de la situation de travail étaient à analyser plus en détails.
Nous sommes donc passés au niveau 2 de la Stratégie Sobane, où nous avons observé la situation ainsi que le poste de travail, et réalisé une enquête sur les T.M.S.. Au terme de cette phase d’observation, nous avons poursuivi l’étude par l’analyse plis approfondie concernant le système d’éclairage et les risques chimiques

Keywords

Risk Management


Book
Business continuity management : plan de survie de l'entreprise

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords

Risk Management


Book
Dépistage participatif des risques : (application aux maisons de repos et de soins)

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Travaillant en tant que Psycholoue (Licenciée en Sciences Psychologiques et Pédagogiques) dans un Service Externe de Prévention et de Protection, j’ai toujours été intéressée par les comportements de l’individu et des groupes de travail et notamment vis-à-vis de la sécurité : pourquoi y a-t-il non-respect conscient des consigne de travail ? Pourquoi y a-t-il court-circuitage des systèmes de sécurité mis en place ? Refus de porter des moyens de protection …
La ligne hiérarchique y verra un signe d’indiscipline, le préventeur parlera en termes de manque ou d’insuffisance : insuffisance de préparation du travail ou non –respect du mode opératoire, manque de formation. Les actions iront dans la sens « combler ces manques ».
Mais depuis quelques années, cette notion d’insuffisance est critiquées par un courant de la psychologie du travail (Goguelin de Keyser, …) qui avance une autre idée : lorsqu’un travailleur prend des risques qu’il pourrait éviter, ne porte pas les équipements de protection mais à sa disposition, est réticent aux campagnes de prévention, son comportement n’est pas absurde, il a toujours un sens. Il a fait un choix plus ou moins délibéré, il a pris une décision plus ou moins explicite même si c’est dans le sens d’une prise de risque ! Ce postulat es tune fondement des sciences humaines. Encore faut-il comprendre pourquoi !
Le travail du psychologie consiste à aider les opérateur à comprendre eux-mêmes les modalités de leur prise de décision ; le psychologue aide à modéliser ces procédures et fournit éventuellement des aides à la décision.
Quelles sont les représentations mentales en jeu . Les travailleurs ont-ils une représentation claire et verbalisable de leur manière de travailler ? Y a-t-il des phénomènes d’euphémisation du style « un doigt c’est pas grave » ? Y a-t-il négation, dénégation du risque (ne pas déclarer qu’on a « pris du jus » comme accident de travail) ? Y a-t-il des attitudes de défi au risque (jeux périlleux) ?
Lorsqu’un préventeur veut proposer, conseiller ou prescrire une façon de faire ou une attitude nouvelles, tenues pour plus « sûres », il doit savoir qu’il devra en même temps combattre une façon de faire ou une attitude préexistant à son intervention.
Quelles stratégies adopter alors et sur quelles théories explicatives sont-elles basées ?
1) La théorie « cognitiviste » postule que l’individu analyse et traite l’information et que de cette analyse découlera son action. Selon cette théorie, les stratégies persuasives sont efficaces lorsqu’il s’agit d’influencer autrui dans ses chois, ses opinions ou ses comportements. L’animation de groupe est donc un dispositif efficace car la persuasion est facilitée par la discussion de groupe.
La psychologie sociale a démontré depuis longtemps l’efficacité des discussions de groupe. En effet, l’expérience célèbre de Kurt Lewin dans les années 1940 a montré que la stratégie de la discussion de groupe avec engagement de la part des participants (prise de décision) a une nette supériorité en termes d’efficacité (changement s réels de comportement) que la stratégie de la conférence où chaque participant est passif.
2) D’autre part, la théorie de la « soumission librement consentie » postule, elle, que ces mêmes choix, opinions et comportements sont prédéterminés, non pas par les idées mais pas l’action. En obtenant de quelqu’un le geste qui engage, on peut l’amener à modifier ses opinions. Les stratégies d’influence découlant de cette théorie reposeront donc, dans une situation donnée sur l’obtention de décisions susceptibles d’affecter dans le sens souhaité les choix, les opinions ou les comportements à venir.
Pour qu’une personne adopte un nouveau comportement, il faut non seulement qu’elle accepte de renoncer à celui qu’elle adoptait jusque là mais qu’elle soit capable de critiquer elle-même le comportement qui était le sien.
Agir en tant que préventeur, c(‘est donc mette un discussion ce qui existe mais surtout en suscitant la critique du sujet lui-même sur son propre comportement et non pas en critiquant de l’extérieur en tant qu’ingénieur, médecine du travail, ergonome, expert.
Comment faire alors ?
La prévention des risques demande donc une mobilisation active de la personne. Certaines auteurs comme Damien Cru proposent même d’utiliser les ressorts psychologiques des jeux périlleux pour mener une action de prévention (améliorer une situation, l’organisation du travail, l’utilisation de matériel, etc … :
- il s’agit d’un enjeu véritable dont la solution n’est connue d’avance par personne
- cet enjeu se situe dans la réalité du travail (ce n’est pas un artifice managérial tel le concours de sécurité)
- il s’agit d’un défi pour l’entreprise, l’institution et les travailleurs eux-mêmes, un défi qui rend actif
- il s’agit d’un projet en travail avec des risques d’erreurs, de tâtonnement, de découragement, d’échec et de réussite
- il y a aussi du jeu dans le sens d’une marge de manœuvre pour concevoir, expérimenter, proposer, critiquer
- l’action de prévention comporte de la coopération entre services ou parfois même de la compétition (s’il y a plusieurs solutions à tester par des équipes différentes par exemple
- l’habileté professionnelle, la connaissance du métier est mise « à l’épreuve » ainsi que de la créativité, le sens de l’(observation lors de la recherche de solutions
- le reconnaissance par les pairs, par le direction et éventuellement par des personnalités extérieures ;
Bref, les hommes (et les femmes) ne s’engagent dans une action de prévention que s’ils y trouvent des ressorts.
Désireuse de tester sur le terrain une stratégie de gestion des risques qui respecte ces principes de discussion de groupe au sein de l’entreprise et de prise de décision par les acteurs aux-mêmes, mon choix s’est porté sur le méthode SOBANE et plus particulièrement sur le premier noveau de cette méthode, à savoir le Dépistage qui porte le nom explicite de Dépistage Participatif des Risques développée par l’Unité Hygiène et Physiologie du travail de l’UCL

Keywords

Risk Management


Book
La "société du risque" : analyse et critique
Authors: --- ---
ISBN: 9782717857528 2717857524 Year: 2009 Publisher: Paris: Economica,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords

Risk management


Book
Comparaison des méthodes Kinney et Deparis de dépistage des risques
Authors: --- ---
Year: 2005 Publisher: Bruxelles: UCL,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Une entreprise d’isolation thermique industrielle a demandé l’aide de on conseiller en prévention sécurité et du médecin du travail pour l’établissement d’un plan d’action dynamique de son atelier de production. Cette demande s’inscrit également dans le cadre d’une reconnaissance VCA de cet atelier.
L‘analyse des risques a été faite selon la méthode Kinney–Wiruth dans un premier temps et la méthode Déparis dans un second temps. Pour la méthode Kinney–Wiruth, le conseille en prévention sécurité et le médecin firent une identification collégiale des risques de chaque poste de travail et donnèrent une évaluation quantitative et personnelles à chaque risque. Devant la discordance de ces résultats, et afin de conclure l’étude, un consensus a été trouvé : évaluation quantitative et collégiale de chaque risque discordant. Lors de la mise en place de la méthode Déparis, un groupe de travail a été constitué comprenant des travailleurs volontaires, un représentant de la ligne hiérarchique, le conseiller en prévention sécurité et le médecin du travail, ce dernier en qualité de modérateur de la réunion.
Cette analyse des risques (Déparis) a permis d’établir une liste de problèmes à solutionner avec identification des intervenants et les délais d’actions souhaités.
La comparaison d’une méthode quantitative (Kinney–Wiruth) et d’une méthode qualitative (Déparis) est nettement en faveur de Déparis pour les raisons suivantes :
- Participation des travailleurs au dépistage des risque de leurs poste de travail ;
- Aucune connaissance ergonomique – spécialisée n’est requise ;
Mise en place d’un outil de dépistage des risque réutilisable par l’entreprise elle-même ;
Méthodes plus économique et plus valorisante pour les divers intervenants (travailleur – employeurs – conseillers en prévention)

Keywords

Risk Management


Book
Optimalisation de la mise en oeuvre du système de gestion des risques de Belgian Shell

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Différents événements fort médiatises ont amené les dirigeants de Shell à se poser des questions sur la politique de l’entreprise en matière de sécurité, de santé et d’environnement. Ces événements tels que Seveso, Bhopal, Piper Alpha, le Brent Spar et l’Exxon Valdez ont montré qu’une gestion insuffisante des risques pouvait avoir des conséquences désastreuses pour les personnes, l’environnement et l’image de l’entreprise mais aussi pour son cash-flow.
En août 1996, le Groupe Shell a lancé une campagne d’implémentation de HSE-MS à tous les niveaux de l’entreprise. Le HSE-MS est un système visant à garantir aux dirigeants de l’entreprise ainsi qu’aux actionnaires que les obligations morales et légales sont contrôlées en matière de sécurité, de santé et d’environnement. Les HSE-MS de tous les échelons du Groupe Shell ont tous été rédigés pour décembre 1999 sur base de lignes directrices générales communes. La tâche actuelle des lignes hiérarchiques est désormais de rendre les HSE-MS vivants afin d’être certifiables pour décembre 2000.
Ce travail vise à montrer comment un tel HSE-MS est mis en place au sein de Belgian Shell. Belgian Shell a dû rédiger et mettre en œuvre ses propres HSE-MS en tenant compte des HSE-MS rédigés par le Groupe Shell mais aussi des spécificités locales. En effet, chaque usine est un cas particulier et chaque pays a ses propres législations, normes et mentalités en matière de sécurité et de santé. C’est pourquoi le Groupe Shell a demandé à chaque échelon de rédiger un HSE-MS pour les activités qui lui sont propres.
Ce mémoire est organisé de manière à montrer comment l’implantation des HSE-MS se déroule chez Belgian Shell. Il est structure dans l’ordre suivant :
- description du contexte de Belgian Shell.
définition des principes du HSE-MS émis par le Groupe Shell et mise en parallèle avec la loi du bien être au travail. A ce stade, une démarche générale d’implémentation des HSE-MS répondant aux obligations légales et du Groupe Shell est proposée.
- analyse rétrospective des HSE-MS
- examen de l’état de la situation en 1999. cet état des lieux permet d’identifier les manquements et les possibilités d’amélioration des HSE-MS
- proposition d’un plan de remédiation et d’amélioration de la situation existante.
- étude concrète du HSE-Ms d’un département de Belgian Shell.
Personnellement, je suis entré en service à Belgian Shell en 1994. En 1996, j’ai été chargé de la gestion d’un groupe de 15 membres du personnel de Belgian Shell et de 35 personnes employées chez des sous-traitants dans le cadre d’activités de maintenance technique et de chantiers en construction. C’est à cette période que j’ai été pour la première fois directement confronté aux bien-être des travailleurs en tant que responsable hiérarchique. A cette époque, le Service Sécurité, Hygiène et Embellissement des lieux de travail de Belgian Shell m’a contacté dans le but d’établir un inventaire des risques couvrant les activités des personnes dont j’avais la responsabilité. C’était là mon tout premier contact avec le HSE-MS. Par la suite disposant d’un diplôme de chef sécurité et hygiène de niveau II, je suis entré en 1998 au Service Interne de Prévention et de Protection au Travail de Belgian Shell. J’y ai rapidement été à nouveau confronté à l’implémentation du HSE-Ms mais cette fois-ci en tant que conseiller en prévention et non plus comme responsable hiérarchique.
Cette implémentation du HSE-MS couvre depuis 1998 une partie significative de mon temps de travail et c’est dans cet esprit qu’il m’a paru utile de traiter ce sujet dans le cadre de ce mémoire. Ce mémoire m’a offert l’opportunité :
- d’approfondir les bases théoriques du Système Dynamique de Gestion des Risques mais surtout
- d’apporter un regard critique sur les démarches déjà entreprises au sein de Belgian Shell
d’établir un plan d’action pour l’avenir afin de permettre la direction de s’assurer que ses obligations légales et morale sont gérées de façon optimale.
Ce mémoire constitue donc la base de réflexion pour la mise en œuvre d’un plan d’action visant à améliorer encore les performances en matière de bien-être au sein de Belgian Shell.

Keywords

Risk Management


Book
Adaptation de la méthode DEPARIS pour les métiers de la construction

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Le danger sur un chantier n’est pas une fatalité! Soyez l’acteur de votre propre sécurité.
Tel est le slogan que nous avons envie de dire aux ouvriers. En effet, avec notre expérience, nous nous apercevons que le danger est quelque chose de normal pour les ouvriers. Dans beaucoup de cas, des protections ou des moyens très simples peuvent être mis en place pour réduire ces risques. Les ouvriers n’y pensent pas, ne voient pas ou minimisent les risques sur les chantiers. Ce slogan vise à sensibiliser les personnes qui seront confrontées aux risques.
Nous en venons donc tout naturellement à l’objet de ce mémoire.
Dans une première partie, nous exposerons la situation actuelle de la mise en œuvre de la sécurité en Belgique dans le contexte législatif et dans la réalité de tous les jours.
Ensuite, nous passerons à l’explication de la méthode Déparis et son application dans le processus de la construction. Nous aborderons alors deux versions, une simplifiée et la complète.
Deux cas pratiques nous permettrons également de visualiser les faits sur le terrain.
Enfin, nous terminerons par la conclusion afin de tirer les enseignements de la méthode Déparis, qui apparaît comme un outil fort utile en matière de sécurité sur les chantiers

Keywords

Risk Management


Book
Fonction : risk manager
Authors: ---
Year: 2005 Publisher: Paris: Dunod,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Keywords

Risk management


Book
Adaptation de la méthode DEPARIS aux entreprises de conditionnement

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

A l’heure où le secteur industriel est en pleine expansion, il est à constater certaines failles aux différents processus et systèmes d’organisation mis en place dans de nombreux secteurs. Afin de répondre au plus vite et au mieux à une demande sans cesse croissante, l’industrie s’est développée rapidement et continue dans ce sens. Mais des omissions, parfois sur des plans fondamentaux, ont été commises. Malheureusement, la santé des travailleurs est fréquemment, volontairement ou non, mise de côté de la conception de processus industriels. On déplore actuellement les chiffres d’absentéisme pour cause de maladies, de problèmes de dos ou autres. Beaucoup reste à faire sur le terrain par exemple pour éviter à l’avenir les troubles musculo-squelettiques (TMS) sur des chaînes de production où l’on retrouve des tâches répétitives.
C’est ainsi que depuis une quarantaine d’années, un concept aujourd’hui incontournable fait ses preuves et montre de plus en plus son importance dans le milieu du travail. Il s’agit de l’ergonomie. De manière simpliste, elle signifie l’adaptation du travail à l’homme. Plus complètement, comme Wisner l’ a définie, il s’agit de « la mise en œuvre de connaissances scientifiques relatives à l’homme et nécessaires pour concevoir des outils, des machines et des dispositifs qui puissent être utilisés avec le maximum de confort, de sécurité et d’efficacité » (Monod, Kapitaniak, 1999, p. 3).
Mais comme pour tout objet de prévention, il n’est pas toujours facile de faire percevoir à tous l’utilité directe d’une telle démarche. Dans de nombreux secteurs, on n’a malheureusement la mauvaise habitude d’opérer des changements que lorsqu’un incident, voire un accident, s’est produit. On parle là d’attitude passive par rapport à la sécurité. L’ergonomie amène une toute autre vision. Elle propose de prévenir au mieux les risques plutôt que de les subir. Il faut veiller activement à la sécurité et faire tout ce qui est dans la mesure du possible pour garantir des conditions correctes de travail pour tous.
Malheureusement, la contexte économique impose parfois plus d’objectifs à court terme qu’à long terme, reléguant ainsi l’ergonomie au second plan. Or, il faut regarder les bénéfices à long terme réalisés par cette aide aux améliorations des conditions de travail. Ils sont démontrables par une comparaison des coûts totaux englobant une intervention et ceux sas cette dernière.
Investir dans la prévention permet d’accroître le rendement économique, social de l’entreprise tout en respectant la qualité, al sécurité dans le travail et le respect de la santé de ceux qui s’y investissent (Min. du Tr., de l’empl. Et de la form. Prof, 1994). Depuis 1975, un nombre croissant de services, de fonds, d’agences sont apparus telles l’Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail (ANACT) ‘Monod, Kapitaniak, 1999) et reflètent ainsi la place et l’intérêt grandissant porté à l’ergonomie, même si il n’est pas toujours évident de définir avec précision sa place dans les entreprises.
Ce mémoire va faire l’expérience de l’application d’une grille d’approche des conditions de travail afin de montrer son intérêt dans une démarche de prévention des risques. Démarrer un telle démarche avec un outil simple, efficace et peu exigeant permet d’optimaliser ses bénéfices. Cet outil, déjà existant, va être expérimenté dans un type d’entreprise bien défini. Une version adaptée au secteur va ainsi en découler de manière à mieux tenir compte des réalités spécifiques propres au secteur d’activité précisé

Keywords

Risk Management

Listing 1 - 10 of 446 << page
of 45
>>
Sort by