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It is a double blind randomized clinical trial (Phase 3), aiming to show the superiority of the nebivolol, a third generation β-blocking agent, in comparison with atenolol, a reference β-blocking agent. Nebivolol is a highly β1 selective. It presents the same effects that atenolol on the cardiac frequency and the plod pressure, but us has no noxious effect on the cardiac performance.
the patients, after one month of treatment, have undergone an aorto-coronary by-pass, during which some myocardium samples and mammalian arteries have been taken, which these have been analysed by western blot in order to measure the enzyme eNOS. In the myocardial tissue, no significant statistical difference has been shown between nebivolol (126.92 ± 92.14 u.a. of densitometry in % value of the group atenolol) and atenolol (100.33 ± 24.24 u.a. of densitometry in % values of the group atenolol). This ca be due to the limited number of patients, to variable wealth of the cells expressing eNOS in the various samples, to the pathology of the patient and to his severity. In the mammalian arteries, no signal have been detected at the time of the dosage by western blot, despite repeated essays. The emitted hypotheses are the following: too weak expression of eNOS in the analysed tissues, endothelium destruction, enzyme degradation.
The clinical and hemodynamics parameters, recorded during the trial, have been statistically analysed. Some significant statistical results have been in evidence; the systolic blood pressure is more elevated in the nebivolol group (158.2 ± 22.73 mmHg) than in the atenolol group (123.83 ± 12.09 mmHg), the diastolic blood pressure after one month is lessen in the two group (nebivolol : 81.43 ± 3.78 mmHG versus 68.2 ± 9.62 mmHg ; atenolol : 85 ± 9.26 mmHg versus 66.17 ± 7.88 mmGh).
The trial does not allow to conclude definitively to an absence of nebivolol efficacy on the eNOS expression. Actually, the patient number include is restricted. Furthermore, it is possible than the nebivolol do not rise the tissue expression of the enzyme but increase his production. It would be interesting to investigate the property if the nebivolol in a trial to wider scale Il s’agit d’un essai clinique de phase 3, randomisé en double aveugle, visant à démontrer la supériorité du nébivolol, bêta-boquant de troisième génération, en comparaison avec l’aténolol, bêta-boquant de référence. Le nébivolol est hautement β1 sélectif. Il présente les mêmes effets que l’aténolol sur la fréquence cardiaque et le pression artérielle. Il n’a, par contre, pas d’effets nocifs sur la performance cardiaque.
Les patients, après un mois de traitement, ont subi un pontage aorto-coronaire, aux cours duquel ont été prélevés des échantillons de myocarde et d’artères mammaires, lesquels ont été analysés par western blot afin de doser l’enzyme eNOS. Dans le tissu myocardique, aucune différence statistiquement significative n’a été démontrée entre le nébivolol (126.92 ± 92.14 u.a. de densiométrie en % des valeurs du groupe aténolol) et l’aténolol (100.33 ± 24.24 u.a. de densiométrie en % des valeurs du groupe aténolol). Ceci peut être dû au nombre limité de patients, à la richesse variable des cellules exprimant eNOS dans les divers prélèvements, à a pathologie propre du patient et à sa sévérité. Dans les artères mammaires, aucun signal n’a pu être détecté lors du dosage par western blot, malgré des essais répétés. Les hypothèses émises sont les suivantes : expression trope faible de eNOS au sein des tissus analysés, destruction de l’endothélium, dégradation de l’enzyme.
Outre le dosage de l’enzyme eNOS, ont été analysés statistiquement les paramètres cliniques et hémodynamiques relevés au cours de l’étude. Des résultats statistiquement significatifs ont été mis en évidence ; la pression artérielle systolique au moment de l’induction de l’anesthésie est plus élevé dans le groupe nébivolol (158.2 ± 22.73 mmHg) que dans le groupe aténolol (123.83 ± 12.09 mmHg), la pression artérielle diastolique après un mois de traitement a diminué de manière significative aussi bien dans le bras nébivolol (81.43 ± 3.7 mmHg versus 68.2 ± 9.62 mmHg) que dans le bras aténolol (85 ± 9.26 mmHg versus 66.17 ± 7.88 mmHg).
L’essai ne permet pas de conclure définitivement à une absence d’efficacité du nébivolol sur l’expression de l’enzyme eNOS. En effet, le nombre de patient inclus est restreint. De plus, il est possible que le nébivolol n’augmente pas l’expression tissulaire de l’enzyme mais augmente sa production. Il serait intéressant d’investiguer les propriétés du nébivolol dans un essai à plus large échelle
Atenolol --- Adrenergic Antagonists --- Blood Pressure --- Nitric Oxide Synthase
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CHONDROCYTES --- NITRIC OXIDE --- TISSUE CULTURE --- BELGIUM --- METABOLISM --- PHYSIOLOGY
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Le NO est un messager biologique essentiel, au mode d’action original. Il agit en stimulant une guanylate cyclase soluble et son effet est relayé par l’augmentation de la concentration intracellulaire de GMPc.
Le NO est un messager neuronal dans le cerveau et dans d’autres régions du corps. En outre, il permet aux globules blancs de détruire les cellules tumorales et les bactéries et joue un rôle primordial dans le maintien d’un tonus vasodilatateur.
Ce composé est produit par une famille d’enzymes, les monoxyde d’azote synthases, à partir d’un substrat commun, la L-arginine. Trois types de NO synthases ont été caractérisés : la NO synthase inductible macrophagique, la NO synthase du système nerveux et la NO synthase constitutive spécifique de l’endothélium vasculaire.
Actuellement, beaucoup de lacunes persistent après les quelques expériences récentes réalisées sur les NO synthases dans la thyroïde et il existe des contradictions quant à l’effet de l’administration d’interféron gamma sur l’expression de la NO synthase inductible dans divers organes. Les gènes des NO synthases constitutive et inductive sont exprimés dans la thyroïde. L’isoforme endothéliale est exprimée dans les cellules folliculaires et les cellules endothéliales, suggérant donc un rôle du NO dans la fonction de la cellule folliculaire ou comme ERDF. Mais qu’en est-il de la NO synthase inductible ? On a observé, chez la souris goitreuse, une augmentation d’activité de cette isoforme, suggérant la libération de grandes quantités de NO dans la glande hyperplasique. Mais, comme nous disposions de peu d’informations concernant la localisation de la NO synthase inductible et le type de cellules productrices de No, nous avons recouru à l’immunohistochimie. Au terme de cette étude, nous avons montré que la NO synthase inductible est exprimée au niveau des cellules folliculaires, ce qui nous amène à dire que le NO joue un rôle dans la fonction du thyrocyte. De plus, l’administration d’interféron gamme à des souris semble augmenter son expression et induit peut-être sa translocation dans les noyaux.
La mise au point des immunomarquages s’étant avéré longue et laborieuse, ces résultats restent préliminaires et ces expériences méritent d’être poursuivies.
Inteferon Type II --- Thyroid Gland --- Histocompatibility Antigens Class II --- Nitric Oxide Synthase --- Medical Laboratory Science
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