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Dans le corpus du canon scripturaire confucéen, la Grande Étude (en chinois Daxue), qui n’était à l’origine qu’un bref chapitre du Traité des Rites d’époque Han, est sans doute devenu l’un des textes les plus fréquemment et largement commentés en Chine et dans toute l’Asie orientale, aussi bien dans le temps (pendant plus d’un millénaire, depuis le XIe siècle jusqu’à nos jours) que dans l’espace (ayant fait l’objet de nombreuses et importantes interprétations en Corée, au Japon et au Vietnam). C’est la fortune aussi longue que large d’un texte aussi court qui a fait l’objet d’un colloque international tenu au Collège de France, lequel a pour la première fois rassemblé des experts venus d’horizons très divers, que ce soit du point de vue des études aréales que des compétences disciplinaires.
Confucianism --- Neo-Confucianism --- Da xue. --- Da xue
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Première traduction en français du Zhongyong, un des Quatre livres fondamentaux du néoconfucianisme
Neo-Confucianism --- Néo-confucianisme --- Zhu, Xi, --- Néo-confucianisme
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On connaît peu la pensée chinoise contemporaine. Voici une rare illustration de sa vitalité. Mou Zongsan ( 1909-1995 ) était un intime de la tradition philosophique occidentale aussi bien que de la pensée chinoise, le confucianisme en particulier. C'est le dialogue entre les deux traditions et leur fécondation mutuelle que Annie Boisclair fait apparaître en suivant la pensée de Mou Zongsan. En annexe, la traduction de quelques pages du philosophe. C'est à travers les spécificités de l'enseignement parfait que Mou redéfinit le Bien parfait et revalorise le confucianisme. La notion de summum bonum devient alors tout autre que celle proposée par Kant. Le bonheur n'est plus une récompense dont on attend la réalisation dans un futur plus ou moins éloigné. Le sage le vit ici et maintenant, dans la sphère empirique. Sa pratique morale, dont il a pleine maîtrise, l'actualise. ( A. B. )
Neo-Confucianism --- Happiness. --- Mou, Zongsan --- Criticism and interpretation.
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Les auteurs s'interrogent sur la signification du retour du confucianisme en Chine depuis les années 2000, y compris dans le cérémonial politique. Ils se demandent s'il faut y voir le signe d'un nationalisme culturel devenu plus agressif dans le contexte de la globalisation ou au contraire une promesse de dialogue avec les autres traditions religieuses et philosophiques. ©Electre 2015
Confucianism --- Confucianism and state --- Confucianisme --- Confucianisme et Etat --- Social aspects --- Aspect social --- Neo-Confucianism --- Religion and state --- Néo-confucianisme --- Confucianisme et politique --- Confucianisme et État --- S12/0460 --- S12/0242 --- China: Philosophy and Classics--Confucianism: since 1911 (e.g. Liang Shuming) --- China: Philosophy and Classics--Contemporary Chinese philosophy --- Neo-Confucianism - China --- Religion and state - China
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L'histoire japonaise, son histoire intellectuelle en particulier, sont trop souvent coupées de l'histoire mondiale. Parfois un nom fait recette, le temps d'une mode : Mishima, Nishida, le haiku, le "MA" , le Zen, mais on ne discerne aucune continuité, aucune évolution. Maruyama Masao montre ici magistralement que la pensée japonaise ne constitue pas un domaine à part. Loin des habituels discours sur une quelconque spécificité japonaise, il cherche au contraire à faire entrer l'histoire intellectuelle de son pays en résonance avec celle de l'Europe.Avec lui, "l'esprit oriental" renoue avec la modernité. Il montre en effet comment le Japon a connu depuis le XVIIe siècle un itinéraire intellectuel qui l'a mené à une conscience historique du monde, même si cette modernité japonaise déboucha un temps sur les drames que l'on connaît. La fresque de Maruyama, où sociologues allemands et philosophes néokantiens côtoient les grands noms du néoconfucianisme, où Hegel voisine avec Ogyû Sorai et Motoori Norinaga, aide à comprendre pourquoi, en plein XXe siècle, "coexistaient activement une technologie capable de construire des navires de guerre parmi les meilleurs du monde, et le mythe national voulant que les souverains suprêmes du Japon fussent choisis pour l'éternité des temps par un oracle de la déesse Amaterasu" .
Confucianisme --- Néo-confucianisme --- Philosophie --- Idées politiques --- Confucianisme et politique --- Japon --- Vie intellectuelle --- Confucianism --- Neo-confucianism --- Philosophy --- Political science --- Confucianism and state. --- History. --- Japan --- Intellectual life --- Philosophy, Japanese --- Politics and government --- Neo-Confucianism --- Political science - Japan - History. --- Philosophy, Japanese - 1600-1868. --- Japan - Politics and government - 1600-1868.
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Rédigé en 1188 par le philosophe néoconfucéen Zhu Xi (1130-1200), ce mémoire confidentiel destiné à l'empereur Xiaozong dresse un implacable réquisitoire face à la corruption et l’incurie du système politique de son époque, et propose la mise en œuvre de réformes visant à corriger les institutions et à redresser le pays. Partisan d’un confucianisme rénové, Zhu Xi estime que seul le ralliement de l’empereur aux idées contenues dans les classiques, dont La Grande Étude constitue le texte fondamental, permettra de remettre le pays sur la bonne voie. Fidèle à la tradition confucianiste d’engagement au service de l’État et de la société, Zhu Xi développe une argumentation politique où ses idées philosophiques apparaissent en filigrane, mettant en œuvre ce « courage de la vérité » analysé par Michel Foucault. Rédigé dans le style sobre et élégant des lettrés, le Mémoire scellé sur la situation de l’Empire de 1188 offre une véritable leçon de confucianisme appliqué au gouvernement de l’Empire.
Political corruption --- Neo-Confucianism --- Corruption (Politique) --- Néo-confucianisme --- Early works to 1800 --- Ouvrages avant 1800 --- China --- Chine --- Politics and government --- History --- Politique et gouvernement --- Histoire --- S12/0433 --- China: Philosophy and Classics--Zhu Xi --- Néo-confucianisme --- Early works to 1800.
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Philosophy, Chinese --- Neo-Confucianism --- Philosophie chinoise --- Néo-confucianisme --- Philosophy, Confucian --- Philosophie confucéenne --- Neo-confucianisme --- S12/0200 --- S12/0242 --- China: Philosophy and Classics--General works --- China: Philosophy and Classics--Contemporary Chinese philosophy --- Philosophy, Chinese. --- Philosophy, Confucian. --- Néo-confucianisme --- Confucian philosophy --- Confucianism --- Chinese philosophy
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Conduct of life --- Confucian ethics --- Neo-Confucianism --- Ethics --- Morale pratique --- Morale confucéenne --- Néo-confucianisme --- Morale --- Early works to 1800 --- Ouvrages avant 1800 --- K9322.30 --- K9325.70 --- K9040 --- K9300.50 --- Korea: Communities, social classes and groups -- youth and adolescents --- Korea: Communities, social classes and groups -- family -- children, child raising, family planning, adoption --- Korea: Philosophy and thought -- schools -- Confucianism --- Korea: Social sciences -- social and cultural history -- Chosŏn period (1392-1910) --- Morale confucéenne --- Néo-confucianisme
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Les réformes institutionnelles qui marquent l'entrée du Japon dans la période contemporaine ont été précédées d'une longue période de maturation. La stabilité du régime durant l'époque d'Edo (1603-1867) a favorisé la continuité d'une réflexion sur la répartition des richesses et la légitimité des pouvoirs. Elle s'est accompagnée d'une interrogation sur le sens des dogmes et des croyances, sur l'identité culturelle du Japon. Les manuels de gouvernement (keiseiron) publiés au cours de la période témoignent du dynamisme des débats politiques qui, avant d'être repris par les intellectuels bourgeois, furent d'abord engagés par des guerriers formés à la pensée confucéenne. Dès le XVIIe siècle, Kumazawa Banzan (1619-1691) s'intéressa de près à la société japonaise et proposa des projets concrets de réforme. Son discours s'appuie sur les connaissances pratiques acquises auprès du daimyô d'Okayama, dont il fut le conseiller pendant plus d'une décennie. Quant à sa formation théorique, c'est surtout son maître Nakae Tôju (1608-1648), dont l'oeuvre est empreinte de la philosophie chinoise et qui s'intéressa aussi au bouddhisme et aux techniques spirituelles de méditation, qui la lui apporta. Mais Tôju doit surtout sa notoriété à la pertinence de sa réflexion sur les Classiques chinois. Cette réflexion le conduira à s'interroger sur l'adéquation des rites confucéens à la société japonaise, à mettre l'accent sur la relativité des conditions historiques, culturelles et sociales. Ses arguments seront repris par son disciple et donneront un cadre théorique à son réformisme politique. Par-delà la présentation de deux auteurs encore inconnus en Occident, cette étude devrait permettre de mieux comprendre les particularités de la pensée politique ainsi que les fondements de la modernité au Japon.
Neo-Confucianism --- Philosophy, Japanese --- J1008.60 --- J1440 --- J1560 --- J2284.60 --- Confucianism --- Philosophy, Chinese --- Japan: Philosophy -- history -- Kinsei, Edo, Tokugawa period, early modern (1600-1867) --- Japan: Philosophy -- Confucianism --- Japan: Philosophy -- individual philosophers -- Kinsei, Edo, Tokugawa period, early modern (1600-1867) --- Japan: Genealogy and biography -- biographies -- Kinsei, Edo, Tokugawa period, early modern (1600-1867) --- Kumazawa, Banzan, --- Nakae, Tōju, --- 中江藤樹, --- Kumazawa, Hakkei, --- Banzan, Kumazawa, --- 熊沢蕃山, --- 熊澤蕃山, --- Nakae, Tōju, - 1608-1648 --- Kumazawa, Banzan, - 1619-1691 --- Kumazawa, Banzan --- Nakae, Tōju
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