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Caractérisation des sites de N-glycosylation des interferons alpha 13 et beta murins et analyse de l'influence de la glycosylation sur leur activité

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Abstract

IFNs form a family of multifunctional cytokines notably involved in antiviral defence, cell growth control, apoptosis and modulation of the adaptive immune response. Type –I IFNs, like IFN-α, IFN-β, IFN-ω, and limitin, are produced in response to viral infection. They activate a signal transduction cascade leading to the transcriptional activation of many genes. Most murine IFNs turned out to be N-glycosylated . However, little is known on the influence of N-linked sugars on the activity of these cytokines.
This work aimed to characterize the glycosylation sites of selected murine type-I IFNs and to evaluate the influence of IFN glycosylation on their antiviral and antiproliferative activities. Three IFNs were analyzed: IFN-β which possesses 3 potential N-glycosylation sites, IFN-α13 which possesses 2 potential N-glycosylation sites, and IFN-α6T which is not glycosylated.
We used site-directed mutagenesis to eliminate or to introduce N-glycosylation sites in these molecules. Mutants were then compared to the parental forms to check their glycosylation status and to compare their activities in vitro.
Our data show that the three N-glycosylation sites predicted by the sequence of IFN-β and the two sites predicted by the sequence of IFN-α13 and IFN-α6T, the presence or the absence of sugars had only little influence on their activity in vitro Les IFNs sont une famille de cytokines multifonctionnelles impliquées dans la défense antivirale, dans le contrôle de l’apoptose, dans le contrôle de la croissance cellulaire et dans la modulation de la réponse immunitaire. Les IFNs de type I, comme les IFNs-α, β, ω et la limitine, sont produits en réponse à l’infection virale. Ils exercent leurs actions via des cascades de transduction du signal qui mènent à l’induction de la transcription de nombreux gènes. La plupart des IFNs murins sont N-glycosylés. Cependant, nous ne savons que peu de choses sur l’implication des glycosylations sur l’activité de ces cytokines.
Le but de ce travail était de caractériser les sites N-glycosylation de deux sous-types d’IFNs murins et d’étudier l’influence de cette glycosylation sur l’activité antivirale et antiproliférative de ces IFNs. Les 2 IFNs choisis sont : l’IFN-β dont la séquence comporte 3 sites potentiels de N-glycosylation et l’IFN-α13 dont la séquence en comporte 2. L’IFN-α6T qui ne possède pas de site de N-glycosylation a été étudié comme témoin.
Afin d’identifier les sites réellement glycosylés, nous avons, par mutagénèse dirigée, ajouté ou supprimé 1 ou plusieurs sites de glycosylation à ces IFNs. Nous avons ensuite analysé les mutants produits pour déterminer dans quelle mesure la glycosylation des IFNs influençait leur activité biologique, antivirale ou antiproliférative.
Les résultats obtenus nous montrent que les 3 sites putatifs de l’IFN-β et que les 2 sites putatifs de l’IFN-α13 sont effectivement occupés par des sucres, mais à des degrés divers. L’observation des activités antivirale et antiproliférative nous montre que, pour l’IFN-α13 et l’IFN-α6T, l’ajout ou la suppression de sites de glycosylation n’aurait que peu de conséquences sur leur activité biologique in vitro


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Clonage et analyse de l'activité antivirale de différents sous-types d'interféron alpha/beta murins
Authors: --- ---
Year: 2002 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

This work aimed to compare the relative antiviral activity of various murine alpha interferon subtypes, including interferon alpha 13, a novel subtype recently found in our laboratory. In addition, we wanted to test the specificity of interferon subtypes for their protection against different viruses. Differences were observed in the activity of some interferon subtypes. In particular, interferon alpha 13 appeared to be less active than other subtypes. Together with the low translation efficiency of the interferon alpha 13 gene, this might explain the lack of antiviral activity detected in the supernatant of some cells expressing the interferon alpha 13 RNA Les objectifs de ce mémoire étaient de comparer plus largement l’activité antivirale d’une série de sous-type d’interféron y compris celle d’un nouveau sous-type nommé l’interféron alpha 13. De plus, nous avons voulu savoir si l’activité antivirale des différents sous-types d’interféron pouvait être plus spécifique à un virus donné.
Pour cela, nous avons cloné dans un vecteur d’expression eucaryotique les régions codantes des interférons murins suivants : alpha 4, alpha A, alpha 13, alpha 6 (alpha 8), alpha 6T, alpha B et alpha 11. Nous avons ensuite comparé l’activité de ces différents interférons en testant leur activité antivirale contre les virus de Theiler (souches DA et GD7) ainsi que les virus Mengo et de la stomatite vésiculeuse.
Nous avons observé des différences d’activité antivirale entre les sous-types d’interféron clonés. En particulier, l’interféron alpha 13 semble avoir une activité plus faible, contre les différents virus, que les autres sous-types testés. Cela expliquerait, en conjonction avec une faible efficacité de la traduction de ce gène, le peu d’activité antivirale détecte dans des cellules produisant l’ARN de l’interféron alpha 13


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Pegylation de l'interféron bêta-1a : quelles conséquences pour le traitement de la sclérose en plaques ?
Authors: --- ---
Year: 2018 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract


Book
Rôle des interférons de type I dans les réponses pulmonaires à la silice chez la souris

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Abstract

Despite years of experimental and clinical investigations, the cellular and molecular mechanisms leading to inorganic particle-induced lung diseases are still unclear. In particular, silica-induced lung inflammation and fibrosis (silicosis) are difficult to diagnose and to treat.
Previous studies in our laboratory showed that lung inflammation and fibrosis induced in mice are associated with type I interferon signatures. This observation supported a role of innate immune responses in the silicotic disease. In this context, the aim of our experimental work was to define the role of Type I interferons the in lung responses to silica particles in mice.
During this study, we first examined the expression of type I interferon and their common receptor (IFNAR) in several strains of mice exposed to silica. We observed that acute and chronic lung responses to silica were accompanied with an overexpression of interferon (mRNA, protein) and 4 (mRNA). This effect was confined to the lungs since the expression of type I IFN was not modified in the spleen or thymus of silica-treated mice.
To examine whether type I interferons participate in the development of silica-induced lung inflammation and fibrosis, we characterized the lung responses to silica of mice deficient for type I interferon receptor (IFNAR-/-). Two months after treatment, we observed that inflammatory parameters (LDH and protein contents, leukocyte accumulation) were reduced in silica-treated deficient mice (IFNAR-/-) in comparison to the corresponding wild type mice.
In contrast, lung fibrosis (total and soluble collagen contents, and histological analysis) was similar in both types of mice.
All together, our data indicate that type I interferons are implicated in the establishment of silica-induced lung inflammation. These cytokines do, however, not appear instrumental in the pulmonary fibrotic process Malgré de nombreuses années de recherche, expérimentale et clinique, beaucoup d'éléments restent encore à découvrir sur les mécanismes cellulaires et moléculaires orchestrant les lésions pulmonaires associées à l'inhalation de particules inorganiques toxiques. En particulier, la fibrose pulmonaire et sa composante inflammatoire découlant de l'exposition à la silice cristalline (silicose) restent difficiles à diagnostiquer et à traiter.
Des études antérieures au sein de notre laboratoire ont mis en évidence que le développement de l'inflammation et de la fibrose pulmonaire induites chez la souris par des particules de silice était accompagné de signatures moléculaires des interférons de type I. Cette observation suggérait que les réponses immunitaires innées pouvaient jouer un rôle potentiellement important dans la maladie silicotique. Dans ce contexte, le but de nos travaux expérimentaux consistait à définir le rôle des interférons de type I dans les réponses pulmonaires à la silice chez la souris.
Dans le cadre de cette étude, nous avons d'abord caractérisé l'expression des interférons de type I et de leur récepteur commun dans plusieurs souches de souris exposées à la silice. Nous avons pu observer que les réponses pulmonaires aiguës et chroniques à la silice étaient accompagnées d'une surexpression pulmonaire des interférons (ARNm, protéine) et 4 (ARNm). Cet effet semblait local, puisqu'il n'était pas observable dans la rate et le thymus des souris traitées à la silice.
A partir de ces résultats, il nous est donc apparu intéressant de préciser les fonctions physiopathologiques des interférons de type I au cours de la maladie silicotique expérimentale en caractérisant l'inflammation et la fibrose pulmonaire chez des souris déficientes pour le récepteur des interférons de type I (IFNAR-/-). Nous avons noté une diminution des paramètres inflammatoires étudiés (teneurs en LDH et protéine, accumulation des leucocytes) chez les souris IFNAR-/- comparativement aux souris sauvages traitées, et ce deux mois après le traitement à la silice. L'amplitude de la fibrose mesurée (teneurs en collagène soluble et total, et analyse histologique), était, quant à elle, comparable dans les deux types de souris étudiées.
A partir de ces résultats, nous avons conclu que les interférons de type I sont impliqués dans l'établissement de la réponse inflammatoire à la silice. Cependant, ces cytokines ne semblent pas contribuer au processus fibrotique pulmonaire associé


Dissertation
Rôle de l'ADN endogène et d'Interferon Response Factor-3 dans l'induction des réponses immunitaires médiées par les lymphocyotes T auxiliaires de type 2 = : Role of endogenous DNA and Interferon Response Factor-3 in the induction of helper type 2 T cell-mediated immune responses
Authors: ---
ISBN: 9782930404936 Year: 2011 Publisher: Liège : Presses de la Faculté de Médecine Vétérinaire de l'Université de Liège,

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Abstract


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Effets de l'interferon alpha sur la genèse de la thyroïde induite par l'iode chez les souris BALB/c et NOD
Authors: --- ---
Year: 1996 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

La première partie de notre mémoire est consacrée à une revue succincte de la littéraire sur la thyroïde, sur le développement des goitres hyperplasique, colloïde et nodulaire et sur la genèse de la thyroïdite autoimmunitaire, en insistant sur le rôle de l’IFNα. En effet, nous avons voulu étudier ses effets sur la genèse de la thyroïdite initiée par une forte dose d’iode chez des souris goitreuses, étant donné qu’en clinique humaine, il est connu pour induire des troubles immunitaires.
la deuxième partie de notre mémoire reprend nos travaux personnels. Nous y décrivons les matériels et méthodes et nos résultats que nous discutons.
les conclusions les plus importantes sont les suivantes :
1. L’Administration d’une forte dose d’iode (10 µg/jour) à des souris BALB/C contrôles induit une goitre colloïde ave une chute du taux plasmatique de T4.
2. La goitre hyperplasique en carence iodée régresse totalement après un traitement avec une dose modérée d’iode (1 µg/jour).
3. L’administration d’une forte dose d’iode (10 µg/jour) à des souris BALB :C et NOD goitreuses induit en 4 jours une nécrose et une réaction immunitaire avec infiltration de cellules présentatrices d’antigènes Ia+, de lymphocytes T et B. Chez les souris BALB/c, cette réaction immunitaire régresse et après 96 jours le goitre hyperplasique se transforme en goitre colloïde. Par contre, chez les souris NOD, se développe une thyroïdite d’Hashimoto.
4. L’IFNα induit à long terme chez des souris BALB/C contrôles une chute de T4 plasmatique, ce qui est à mettre en relation avec des observations cliniques montrant que l’IFNα provoque une hypothyroïdie.
5. L’IFNα réduit la réaction immunitaire induite par la forte dose d’iode chez les souris BALB/C et NOD goitreuse. Le mécanisme est encore inconnu mais un effet curatif de l’IFNα a aussi été démontré dans des cas d’inflammation du tube digestif et d’hépatite chronique C.
6. L’IFNα n’empêche pas le développement de la thyroïdite après 96 jours de traitement avec une forte dose d’iode chez des souris NOD goitreuse. Toutefois, cela pourrait s’expliquer par le fait que nous n’avons administré l’IFNα que pendant 4 jours


Book
Effets des interférons de type I sur les macrophages murins
Authors: --- ---
Year: 2015 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales,

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Abstract

Lactate Dehydrogenase-elevating virus (LDV) is a murine artenvirus. The host laboratory has for many years been studying its modulatory effects on the immune microenvironment in mice after LDV infection.Experiments on macrophage activation in mice infected with LDV highlighted its role in aggravating two conditions concomitant to infection but whose origin is independent of it : autoimmune diseases mediated by antibodies directed against blood cells and endotoxin shock.Using the LDV model, it was demonstrated that infection by this virus exacerbates sensitivity to endotoxin shock, a reaction associated with increased production of TNF­ a by activated macrophages and subjected to the action of . bacterial lipopolysaccharide (LPS). Type II interferon (IFN-II) exacerbates the sensitivity to LPS after LDV infection occurs, while IFN-I seem to play a protective role in the development of endotoxin shock, as increased sensitivity to this shock after LDV infection has been observed in miceIFN-I receptor deficient (IFNAR-/- ). This protective effect correlates with theIFN-I regulatory functions in producingIFN- I. In parallel, laboratory researchers have observed increased phagocytosis of opsonised red blood cells and platelets by the macrophages activated after infection with this virus. This effect correlated to increased expression of receptor Ifor the Fe portion of immunoglobulin G (FcyR-I) and FcyR- V. FcyR-III expression also was observed decrease, FcyR-111 being nonetheless a receptor that plays a major role in the increase of erythrophagocytosi s by the macrophages of infected mice. Furthermore, own laboratory found out that thanks toIFN-I, mice are partially protected from anaemia aggravated by infection.In addition,IFN-I seem to partially contrai FcyRs expression.On the basis of IFN-I effects observed on both pathologies targeted in this in vivo model of infection by LDV, own study seeks to identify direct modulatory effects of IFN-I on different murine macrophages functions in an in vitro model .Our first results show a decrease in the expression of the CD14 receptor, not correlated with decreased sensitivity to endotoxin shock, following stimulation withIFN-11 while the expression of the TLR-4 receptor remains unchanged. We don't observe effects of IFN-I on the expression of these receptors on murine peritoneal macrophages. To date, using the ELISA technique, we observe thatI FN-I do not appear to alter TNF-a production by peritoneal macrophages nor by macrophage lineages.In our results,IFN-Iappear to stimulate FcyR-I receptor expression and reduce FcyR-III receptor expression. Moreover,IFN-I do not seem to alter Fcaµ receptor expression. IFN-11, alone or with INF-I, seems to increase expression of FcyR-IV and decrease expression of FcyR-III on peritoneals cells. However, IFN-Iwith IFN-II don't seem to alter FcyR-IV expression.Furthermore, in our RT-qPCR results, we analyse a tendency for FcyR- V and TNF-a RNA messenger expression to increase following stimulation of peritoneal cells by IFN­II. We also observe moderate increase FcyR-I mRNA expression due to theseIFN-I stimulated peritoneal cells. Moreover, FcyR-111 mRNA expression tends to decrease in these IFN-Iand IIstimulated cells. IFN-I seem therefore to produce a stimulatory effect on FcyR-ImRNA expression, which was earlier observed by flow cytometry on the expression of this receptor on peritoneal cells stimulated. Le Lactate Dehydrogenase-elevating Virus (LDV) est un arterivirus murin. Ses effets modulateurs sur le microenvironnement immunitaire chez la souris infectée par celui-ci sont étudiés depuis plusieurs années dans le laboratoire d'accueil.Des expériences portant sur l'activation des macrophages chez des souris infectées par le LDV ont permis de mettre en évidence son rôle dans l'aggravation de deux pathologies concomitantes à l'infection mais dont l'origine est indépendante de celle-ci: les maladies auto- immunes médiées par des anticorps dirigés contre des cellules sanguines et le choc endotoxinique.L'utilisation du modèle LDV a permis d'observer que l'infection par ce virus exacerbe la sensibilité au choc endotoxinique, réaction associée notamment à une augmentation de la production de TNF-a par les macrophages activés et soumis à l'action du lipopolysaccharide bactérien (LPS). De plus, l'interféron de type II (IFN-11) exacerbe la sensibilité au LPS lors de l'infection par LDV tandis que les IFN-I semblent jouer un rôle de protection dans le développement du choc endotoxinique puisque chez les sourisdéficientes pour le récepteur aux IFN-I ( FNAR"1) nous relevons une sensibilité augmentée à ce choc après infection par LDV. Cet effet protecteur est corrélé avec les fonctions de régulation des IFN-I dans la production d'IFN-11.En parallèle, notre laboratoire a pu observer une augmentation de la phagocytose des globules rouges et des plaquettes, tous deux opsonisés par les auto-anticorps, par les macrophages activés suite à l'infection par ce virus. Cet effet corrélé, entre autre, à l'augmentation d'expression des récepteur Ià la portion Fe des immunoglobulines G (FcyR-I) et FcyR-IV.Il a également observé une diminution d'expression de FcyR-III, récepteur qui joue pourtant un rôle majeur dans l'augmentation d'érythrophagocytose par les macrophages de souris infectées. Par ailleurs, le laboratoire a également nt relevé que grâce aux IFN-I, les souris sont partiellement protégées de l'anémie hémolytique auto­ immune aggravée par infection. En outre, les IFN-I semblent contrôler partiellement l'expression des FcyRs.Sur base des effets desIFN-I observés dans les deux pathologies ciblées dans ce modèle in vivo d'infection par le LDV, notre étude a pour but d'identifier des effets modulateurs directs des IFN-I sur différentes fonctions de macrophages murins dans un modèle in vitro.Nos premiers résultats montrent une diminution de l'expression du récepteur CD14, non corrélée à une diminution de la sensibilité au choc endotoxinique, suite à la stimulation par l' FN-II tandis que l'expression du récepteur TLR-4 reste inchangée. Nous n'observons pas d'effet des IFN-I sur l'expression de ces récepteurs sur les macrophages péritonéaux murins. A ce jour, via la technique d'EUSA, nous observons que la présence d'IFN-I ne semble pas modifier la production de TNF-a par des macrophages péritonéaux ni par des lignées de macrophages.Dans nos résultats de cytométrie en flux, les IFN-I semblent stimuler l'expression du récepteur FcyR-Iet diminuer l'expression du récepteur FcyR-III. Par ailleurs, lesI FN-I semblent ne pas modifier l'expression du Fcaµ. L'IFN-11, seul ou combiné aux IFN-1, semble stimuler l'expression du Fey-IV et diminuer celle du FcyR-III. Toutefois, les IFN-1 combinés à l'IFN-II ne semblent pas modifier l'expression du FcyR- V.De plus, nous ana lysons dans nos résultats de RT-qPCR une tendance à l'augmentation d'expression de l'ARN messager codant pour le FcyR-IV et le TNF-a suite à la stimulation des cellules péritonéales par l'IFN-11. Nous observons également une tendance à l'augmentation d'expression de l'ARNm codant pour le FcyR-1 par ces mêmes cellules péritonéales stimulées par les IFN-I, en concordance avec l'analyse de l'expression de ce récepteur sur les cellules péritonéales stimulées aux IFN-1 et II en cytométrie en flux. Par ailleurs, l'expression de l'ARNm codant pour le FcyR-III diminue dans ces mêmes cellules stimulées par les I FN-1 combinés à l' FN-II.


Dissertation
Utilisation de l'interféron oméga félin dans le traitement des viroses chez le chat
Authors: --- --- --- --- --- et al.
Year: 2019 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Chez les animaux de compagnie, les viroses affectent plus particulièrement le chat. Les vétérinaires ne disposent que d'un arsenal thérapeutique limité, avec très peu de possibilités et de molécules disponibles chez les félins. Actuellement, le traitement demeure symptomatique, long et palliatif, évoluant souvent vers la mort ou l'euthanasie de l'animal selon l'agent viral.&#13;Il existe 5 grandes entités pathologiques virales en médecine féline que sont le syndrome d'immunodéficience félin, la leucose féline, le coryza, la péritonite infectieuse féline et la panleucopénie.&#13;A l'heure actuelle, aucune molécule antivirale n'est enregistrée en médecine vétérinaire, l'interféron oméga félin est la seule molécule autorisée possédant des propriétés immunomodulatrices et antivirales. Initialement, il est indiqué chez le chat dans le traitement du SIDA félin et de la leucose féline.&#13;A travers une étude de la littérature, nous avons tenté d'objectiver l'efficacité de l'interféron oméga félin dans le traitement de ces maladies virales chez le chat.&#13;Particulièrement onéreux, et en l'absence d’un réel consensus, les interférons demeurent peu utilisés chez le chat. Pourtant, au vu de leurs effets cliniques, ils pourraient changer l'approche thérapeutique de ces maladies, la durée et la qualité de vie de l'animal.


Book
La promotion de la santé des travailleurs : rapport d'un comité OMS d'experts
Author:
ISBN: 9242207543 Year: 1988 Volume: vol 765


Dissertation
Contribution à l'étude du rôle des cellules T dans l'immunité antitumorale chez la souris
Author:
Year: 1984 Publisher: [S. l.] : [chez l'auteur],

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