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Près de trois mille événements mondiaux sont répertoriés et rapidement expliqués. Ils composent une chronologie universelle, indispensable pour comprendre les enjeux du siècle qui vient de s'achever.
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L'histoire culturelle est à la mode. Certains s'en agacent, certains mettent en doute son existence. On parle ici de flou conceptuel, là d'impérialisme. Comment, en effet, rendre compte d'un champ d'investigation qui s'étend des arts plastiques aux arts martiaux, de la sensibilité aux parfums à la spiritualité de Saint Louis ? Cet ouvrage apporte quelques réponses simples à ces questions complexes : oui, il est facile de définir l'histoire culturelle – comme une « histoire sociale des représentations ». Oui, il n'est pas difficile d'en reconstituer les origines. On peut en préciser les objets, dans leur cohérence : la cohérence d'un regard sur les sources, sur leur mode de questionnement, qui est, par là, questionnement du monde.
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Par « Celtes », il faut entendre tout simplement les populations de langue celtique, de l'Asie Mineure à l'Irlande, car c'est la langue qui marque l'appartenance ethnique, et, par là, fait l'homogénéité d'un peuple. L'étude d'une civilisation reculée, plus près encore de nos origines que nos ancêtres les Gaulois, ne peut se dispenser d'une réflexion sur les sources linguistiques, géographiques, archéologiques, qui permettent ensuite une véritable reconstitution historique. C'est ainsi qu'est retracée dans cet ouvrage l'histoire des Celtes continentaux, à partir de leur apparition sur la scène historique au cours du Ve siècle avant notre ère, jusqu'à leur perte d'autonomie et leur soumission à l'Empire romain au Ier siècle avant notre ère.
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La notion de « régime d'historicité » est devenue un mot de passe pour aborder le rapport qu'une société entretient avec son passé, son présent et son futur. Si elle est dotée d'une grande valeur d'inspiration, son caractère labile semble autoriser tous les emplois. Cet ouvrage s'efforce d'en retracer la généalogie, qui traverse à la fois les frontières nationales et disciplinaires, et d'en interroger les usages. Depuis les années 1980, les travaux de Paul Ricœur et de Reinhart Koselleck se sont progressivement imposés comme des références centrales pour les historiens – on trouvera ici in texte inédit de chacun d'eux. François Hartog fait quant à lui le point sur les usages de la notion de « régime d'historicité », qu'il a fortement contribué à diffuser. Il rappelle que ce qu'il qualifie de « présentisme » porte la menace d'une perte du statut spécifique aussi bien du passé que du futur. Mais ce renfermement sur le présentisme est-il bien devenu le cadre indépassable de notre historicité ? Les auteurs interrogent le phénomène à plusieurs échelles, en revisitant les usages du temps passé au niveau national, au plan européen et disciplinaire. Car d'autres disciplines que l'histoire contribuent à mettre en lumière la pluralité des formes d'historicité : d'où le choix des directeurs de l'ouvrage de mesurer la complexité de cette notion en confrontant les regards de l'anthropologue, du psychanalyste ou du géographe, dans une perspective fondamentalement transversale.
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La guerre froide naît en 1947 de l'émergence, à l'issue de la Seconde Guerre mondiale, de deux superpuissances, les États-Unis et l'URSS, dont les projets et les ambitions s'avèrent vite antagonistes. Cet affrontement d'un type nouveau, qui oppose le bloc occidental au monde communiste, prend des formes multiples (idéologiques, politiques, économiques, militaires, culturelles...) et, en alternant les périodes de tension et de détente, marque en profondeur l'ensemble des relations internationales. Quelles sont les responsabilités des États-Unis et de l'URSS dans les origines de la guerre froide ? Dans ce conflit, quelle est la part des prétentions idéologiques et des facteurs géopolitiques ? Comment expliquer que, malgré la course aux armements, cette « guerre » n'ait pas engendré de conflagration nucléaire ? Quel rôle purent jouer les pays du tiers monde ? Pourquoi le conflit a-t-il pris fin si rapidement ? L'ouverture partielle des archives soviétiques ne donne pas de réponses définitives à toutes ces questions. Elle permet cependant de renouveler considérablement les recherches et de clarifier les débats.
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Depuis toujours, l'espèce humaine cherche à appréhender son avenir. Cet ouvrage propose une histoire de la prospective, depuis la divination pratiquée sous l'Antiquité jusqu'à nos jours, où elle prend une allure scientifique. Il présente également les outils les plus actuels de la prospective : modélisations démographiques, économiques, écologiques, techniques d'animation… et prend spécialement en considération l'ethnotechnologie (étude des interactions technologie-société), car le passage de la civilisation industrielle à la civilisation cognitive bouleverse les métiers et les pratiques sociales.
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Le parti pris par ce livre qui fait suite aux 100 mots de la culture générale consiste à emprunter les portes que laissent vacantes les dates, celles bien connues des grands rendez-vous de l'Histoire, et les autres, souvent dérobées, dissimulées parfois par l'habitude et qui ouvrent sur des perspectives étonnantes. De l'invention de l'Écriture en Mésopotamie aux attentats du 11 septembre 2001 mais en passant aussi par les premiers sondages politiques de Gallup ou la création de l'Arpanet, voici cent événements qui sont autant d'occasion d'aiguiser sa réflexion, autant d'entrées en matière possibles. Ces 100 dates ont été classées par thèmes et, pour un usage plus commode, chacun des articles est suivi d'une courte série de mots clés que l'on retrouve assemblés dans un index en fin d'ouvrage. Enfin, l'exercice qui relève du genre bref s'autorise une grande variété de traitements pour chacune des entrées, une liberté de ton et de pensée, véritable caractéristique de ce que les Anglo-saxons nomment liberal education.
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La société française porte un regard intense, souvent chargé d'émotion, sur la Première Guerre mondiale. La richesse des recherches menées ces dernières années comme les préparatifs de son centenaire en témoignent une fois encore. Comment alors rendre compte d'un tel événement ? Comment en faire le récit aujourd'hui ? À partir de 100 mots clés, André Loez éclaire les multiples facettes de la Grande Guerre. S'il fait la part belle aux citations et aux mots de l'époque, c'est pour donner à entendre la voix des contemporains et se faire l'écho de leur expérience de cette guerre. Il dresse surtout un panorama des savoirs actuels tout en pointant les questions encore débattues par les historiens. Mot après mot, sont ainsi racontés l'entrée en guerre et ses causes, le déroulement du conflit, ses acteurs, la vie des soldats du front et celle des sociétés à l'arrière, l'empreinte laissée par la guerre, ainsi que sa mémoire.
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Les conflits actuels invitent à se remémorer l'histoire des croisades. De 1099 à la fondation du royaume latin de Jérusalem, cet ouvrage rappelle le déroulement des expéditions en Orient, leur organisation et leurs conséquences sur la formation de la chrétienté occidentale et ses relations avec Byzance, les chrétiens d'Orient et le monde musulman. * À tout lecteur contemporain des Évangiles, le terme milites Christi est une contradiction dans les termes quel peut alors être le sens des croisades ? La réponse à cette question excite un intérêt d'autant plus vif à une époque où la guerre religieuse apparaît dans d'autres religions que le christianisme et que l'interrogation relative au rôle des religions dans les conflits se pose de façon de plus en plus aiguë. Outre cette question, essentielle pour l'histoire des religions, se pose la question de ce que furent les croisades pour l'Occident chrétien qui les mena ainsi que pour ses victimes. Personne n'ignore le récit du sac de Jérusalem, qui commença par un bain de sang et un pillage en règle, avant de s'achever dans la dévotion, faute de victimes et de butin disponibles. Réduire les croisades à ce triste épisode n'éclaire cependant pas davantage le lecteur. Pourquoi partir à l'autre bout du monde connu en dépit des risques encourus ? Pourquoi se faire moine soldat ? Pourquoi s'accrocher à une terre hostile pendant deux siècles ? C'est à ces questions que ce « Que sais-je ? » apporte un début de réponse. Si fanatisme il y eut de part et d'autre, le simple succès de l'appel à la guerre sainte, qui n'avait jamais fait partie des traditions occidentales, est déjà révélateur de l'identité des croisés. Il suffit de se souvenir que jamais les Byzantins, qui menèrent pourtant une vraie guerre défensive multiséculaire, ne se considérèrent comme des milites Christi et ce en dépit du rôle de l'Église dans l'Empire. À en croire les récits d'Anne Comnène, ils comprenaient d'ailleurs assez mal les motivations des Francs débarqués en Orient avec cette idée saugrenue de milites Christi. Ils avaient appelé des mercenaires après Manzikert, ils voient fondre sur l'Orient des conquérants dont beaucoup, sans préjudice de motifs moins avouables, croyaient sincérement à l'absolution par la guerre.
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Comment procéder au recueil d'un récit de vie ? A quelles fins se livre-t-on à une telle démarche ? Quelles lectures peut-on faire du matériau récolté ? A travers l'histoire d'Annabelle, le lecteur peut appréhender un récit de vie, participant aux deux temps de son élaboration : la "réalisation" proprement dite, puis son analyse ou comment l'exploitation d'un récit permet d'éclairer celui-ci dans un cadre de travail de recherche en sciences sociales.
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