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"Ils auraient donné leur propre vie pour sauver celle de leur fils, mais personne n'en voulait parce que ce n'est pas comme ça que ça marche." " Le don de sang ne va pas de soi. Parler souvent de ce sujet, avec enthousiasme et bienveillance : voilà l'objectif de ce recueil. Des histoires courtes, des histoires de partage, de lumière, d'espoir. Puissent-elles susciter l'envie de parler à votre tour du don de sang. Puissent-elles être le déclic pour devenir vous-même donneur régulier. " Comment le décès d'une jeune Américaine, Rebecca, entraîne un incroyable mouvement de solidarité. Comment la rencontre entre Gaëlle et Julien, autour d'un café, ne se déroule pas de la façon attendue. Comment Rachel, soixante-dix ans, transmet un peu de son histoire à sa petite-nièce. Comment les " liens du sang " dont parle Dimitri dans sa verve adolescente ne sont pas ceux qu'on imagine...
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L'histoire du don de sang, ce sont d'abord ceux qui partent, toujours trop tôt : c'est l'oncle Maurice, qui est tombé de vélo et ne s'est jamais relevé ; c'est Lou et sa longue cicatrice qui court du bras au cou ; mais ce sont aussi ceux arrivés trop tôt, que leur époque n'a pas entendus, comme Jean-Baptiste Denis, au XVII ? siècle, dont les expériences scientifiques allaient pourtant changer le regard sur la transfusion sanguine et bouleverser le cours de tant de vies.
Blood Donors --- Blood
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Although blood donation is recognized as a very safe procedure, adverse events remain a barrier to donor recruitment and retention. The frequency of malaise in donating whole blood is estimated at 1.5%, which is not negligible given the large number of donors. This rate is still underestimated by the self-reporting system. These discomforts usually occur at the collection site but may also occur at a distance from the donation. It is mainly the traumatic consequences that make is serious. Reducing the occurrence of complications associated with blood donation and shortages of blood components are ambitious challenges for all blood establishments. The objective of this work is to carry out a study which compares the different approaches of malaise prevention, as well as the underlying physiological mechanisms. Are the current recommendations adequate? Is it necessary to reinforce the hydration instruction by water supply in advance? Is it necessary to use an isotonic solution “athletic drink type”? What is the role of salty snacks in prevention? Are exercises facilitating venous return a complement to these rehydration strategies? Même si le don de sang est reconnu comme une procédure très sûre, les effets indésirables demeurent un frein pour le recrutement et la fidélisation des donneurs. La fréquence des malaises lors du don de sang total est évaluée à 1,5%, ce qui est loin d'être négligeable, vu le nombre important de donneurs. Ce chiffre reste tout de même sous-estimé par le système d'auto-déclaration. Ces malaises surviennent généralement sur le lieu du prélèvement mais peuvent également survenir à distance du don. Ce sont essentiellement les conséquences traumatiques qui en font la gravité. Réduire la survenue des complications associées au don de sang et les pénuries des composants sanguins sont des défis ambitieux pour tous les établissements de transfusion sanguine. L'objectif de ce travail est de réaliser une étude comparant les différentes approches de prévention des malaises, ainsi que les mécanismes physiologiques sous-jacents .Les recommandations actuelles sont-elles suffisantes ? Faut-il renforcer la consigne d'hydratation par remise d'eau en pré don ? Faut-il utiliser une boisson isotonique « type boisson pour sportif » avec sucres et sels minéraux ? Quel est le rôle des snacks salés dans la prévention ? Des exercices facilitant le retour veineux sont-ils un plus en complément de ces stratégies de réhydratation ?
Syncope --- Blood Donors
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Blood Banks --- Blood Donors --- Blood Donors --- Mass Behavior
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Le polymorphisme des antigènes et entre autres, des antigènes leucocytaires et érythrocytaires, installe la notion de « solitude génétique » individuelle dans notre espèce. Les différents groupes de populations constituant l’humanité sont quant à eux caractérisés par les fréquences géniques des antigènes.
Le contact entre un individu et un antigène qu’il ne possède pas induit une allo-immunisation qu’il convient d’éviter. De même, à l’occasion d’une transfusion ou d’une greffe, il convient d’éviter de mettre face à face un antigène et un anticorps pré-existant chez un patient.
Cette dernière situation peut être prévenue lors des transfusions sanguines par la mise en ouvre alternative ou concomitante de deux techniques en réalité complémentaires : le test (ou épreuve) de compatibilité pré-transfusionnel et la recherche d’anticorps irréguliers.
Des motifs de transfusions, même fréquentes, ne manquent pas au Centre National Hospitalier et Universitaire du Cotonou. Ce sont, d’une manière générale, les anémies palustres, la maladie dépranocytaire, les interventions chirurgicales ou la maladie hémolytique du nouveau-né.
La réalisation du test de comptabilité pré-transfusionnel au laboratoire a débuté à Cotonou il y a bientôt 3 ans. Pour cause de difficultés d’approvisionnement en réactifs dans le passé, ce test se faisait le plus souvent au lit du malade sous sa forme majeure.
Dès lors chaque transfusion, le plus souvent de sang total, faisait courir aux patients un grand risque d’allo-immunisation difficilement explorable. D’où le besoin béninois en vue de faciliter en partie l’approvisionnement en réactifs, tant en globules test qu’en antisérums. C’est là l’objectif principal de ce travail.
Un objectif secondaire lui est associé : celui de déterminer le profil HLA de nos donneurs. Outre son intérêt ethnographique, ce deuxième aspect de notre travail ouvre des perspectives d’exploration des réactions transfusionnelles non hémolytiques et constitue un complément aux transfusion de plaquettes sanguines.
Pour réaliser ces deux objectifs, nous avons :
- procéder au typage HLA de nos donneurs. Les antigènes HLA-A et B ont été systématiquement déterminés chez 96 donneurs par la technique de lymphocytotoxicité adoptée par le National Institute of Health (NIH).
en cas de résultats douteux, des techniques de biologies moléculaires, la PCR-SSP ou la PCR-ARMS, ont constitué le recours.
Quant aux antigènes DR, déterminés chez 102 sujets, ils ont été d’emblée déterminés par des techniques de biologie moléculaire : d’abord le Reverse dot blot, puis la PCR-SSP en cas d’incertitude des résultats.
- phénotypé 392 donneurs dans les systèmes Rh, Kell, Kidd, Duffy, Lewis et MNS.
Les cinq facteurs initiaux Rh, les antigènes K, Lewis et MN ont été déterminés en milieu salin et en tube, les autres antigènes en gel.
En cas d’absence du D, le Du est recherché ; de même, l’absence des antigènes S et c nous a fait rechercher l’antigène U. La présence d l’antigène K a conduit à la recherche de l’antigène Célano (k).
Toutes ces déterminations antigéniques ont été faites en respectant les directives des fabricants des réactifs utilisés.
De nos résultats sont sortis les constats suivants :
- malgré la modeste taille de notre échantillon, nous pouvons dire que le profil HLA des donneurs de Cotonou semble bien s’inscrire dans le contexte antigénique africain c’est –à-dire : + fréquence génique élevée pour les allèles : A2, A28, A23, A30 ; B35, B44, B53, B7 ; DR3, DR11, DR13, DR15 + présence des allèles A36, A74, A80, B57, B58, B70, B78, allèles plutôt rares chez les Caucasoïdes + rareté ou absences des allèles A11, A24, A25, B27, DR4, allèles caractéristique de la race blanche.
- au niveau du phénotypage érythrocytaire, nous avons retrouvé des caractéristiques de la race noire à savoir : la fréquence élevée des phénotypes Ro (ccDee), Fy a-b- et Le a-b- ; la présence notable de l’allèle mutant Js a+ (fréquence génique : 0.1730) ; la rareté de l’allèle K et l’existence de quelques sujets S-s-U-.
A partir des résultats de ce phénotypage sont confectionnés deux panels : un de dépistage et un pour la rareté des phénotypes r’’r (ccdEe), K, Fy a, Fy b, Le a, t d’autre part du caractère public de l’antigène k. L’impact réel de ces points faibles supposés sera apprécié à l’utilisation en routine de ces panels ; ces derniers nous permettront aussi d’obtenir localement des antisérums.
Peut être faudra-t-il compléter nos panels par des cellules caucasoïdes portant les antigènes manquants ou alors espérer qu’un phénotypage progressivement étendu aux donneurs des autres régions du Benin permette le renforcement de la fiabilité de nos panels.
C’est certainement là, un des moyens pour obtenir une sécurité transfusionnelle au moindre coût pour nos patients
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Face à la multiplicité des enjeux qui interviennent dans la gestion de la transfusion sanguine, nous avons choisi de nous pencher plus spécifiquement sur les questions relatives à l’évolution des besoins et de l’offre de sang.
Objectifs :
L’objectif de cette étude que nous proposons ici est d’intégrer, au sein d’une réflexion générale sur l’évolution de l’offre et de la demande de produits sanguin labiles en Communauté française, une enquête réalisée auprès des donneurs réguliers et de donneurs occasionnels, pour en tirer des enseignements dans la mise en œuvre des politiques de recrutement de la Croix-Rouge francophone de Belgique.
Intérêt du sujet traité :
La problématique que nous abordons dans cette étude n’est certes pas une problématique hospitalière au sens strict. Néanmoins, le premier intéressé par les questions relatives à l’autosuffisance en matière de produits sanguins est bien l’hôpital : il en est le principal consommateur et la bonne gestion de l’approvisionnement de ces produits, en qualité, en quantité et en temps requis, est pour lui cruciale. Ainsi, l’analyse des facteurs influençant l’offre et la demande de produits sanguins nous apparaît d’un intérêt certain, tout comme la recherche de moyens permettant d’appréhender le futur du don de sang.
En outre, la réflexion menée tout au long de ce travail nous semble bien s’intégrer dans le cadre de la formation suivie en gestion hospitalière puisqu’elle requiert une approche pluridisciplinaire faisant appel à de nombreux outils enseignés tout au long du cursus :
Enfin, l’auteur possède des motivations propres pour s’être lancé dans cette entreprise : sa qualité de donneur régulier et sa fascination pour l’acte altruiste et citoyen que le don de sang représente en font sans doute partie. En 1818, un médecin anglais nommé James Blundell réalise la première transfusion d’homme à homme réussie. C’est lors du traitement d’une hémorragie postpartum qu’il propose au mari de la patiente de donner son sang. La méthode est alors rudimentaire : elle consiste à récolter dans un bol le sang du donneur après lui avoir percé une artère du bras et le réinjecter dans le bras du receveur à l’aide d’une seringue. Le médecin n’en était pas à sa première tentative et la méconnaissance des groupes sanguins rendait les chance de réussite fort maigres.
Il faut attendre 1901 pour que Karl Landsteiner décrive l’existence des différents groupes sanguins. Cette découverte constitue un grand pas en avant dans l’histoire de la transfusion sanguine et ouvre la voie à des progrès considérables en la matière.
En 1914, un médecin belge, le docteur Hustin, découvre les propriétés anticoagulantes du citrate de sodium. Lorsqu’il transfuse, au mois de mars de la même année, 250 ml de sang humain à un patient, additionné de citrate de sodium et de glucose, on peut alors considérer que la transfusion moderne est née.
Mais le système transfusionnel est encore loin d’être exempt de risques et les problèmes d’incompatibilité sont encore nombreux. Une nouvelle étape sera franchie en 1940 lorsque Karl Landsteiner, Alexander Wiener et Philippe Lévine mettent à jour le facteur Rhésus.
Enfin, la guerre d’Espagne, puis la deuxième guerre mondiale, auront largement contribué à l’avancement des techniques étant donné l’étendue des besoins en sang générés par les conflits. Face à la pénurie de sang sur les champs de bataille les chercheurs se sont en effet rendus compte qu’il était possible de ne transfuser que certain composants du sang, en fonction des besoins spécifiques des blessés.
Face à cette succession de découverte , il est probable que l’histoire de la transfusion ne soit pas encore arrivée à son terme et que des perfectionnements dans le domaine soient encore à venir.
Aujourd’hui plu de 80 millions d’unités de sang sont données chaque année dans le monde. Néanmoins, la grande majorité de la population mondiale n’a pas accès à du sang sûr. Seulement 38 % du sang collecté est recueilli dans les pays en développement, où vit 84 % de la population mondiale. Or, en cas d’importante perte de sang, le seul et unique produit qui satisfait aux exigences médicales est précisément le sang. Aucun produit de substitution d’efficacité comparable n’a été découvert à ce jour. L’accès à du sang sûr et en quantité suffisante est donc crucial pour la santé des populations.
De nos jours, de nombreux pays sont malheureusement encore dépendants des membres de la famille ou des amis des patients qui ont besoin de sang. Et bien qu’il ait été prouvé à de nombreuses reprises et dans de nombreuses régions du monde que la sécurité de la transfusion passe par le don volontaire et non rémunéré, certains pays sont encore contraints de rétribuer les donneurs pour se garantir un approvisionnement en sang suffisant. On estime ainsi que dans 89 % des pays en développement, le sang fourni au patient provient d’un proche ou d’un donneur rémunéré.
En Communauté française, on estime actuellement que sept personnes sur dix auront un jour besoin de sang. En 2003, près de 100 000 donneurs se sont rendus dans les centre de transfusion de la Croix-Rouge pour y donner leur sang.
La Croix-Rouge de Belgique est l’organisme qui gère la quasi-totalité des prélèvements en Belgique, avec plus de 200 000 prélèvements par an. Pour parvenir à ce résultat, elle compte exclusivement sur la bonne volonté de donneurs volontaires, bénévoles et anonymes. Le service du sang de la Croix-Rouge s’occupe de l’ensemble des activités liées à la transfusion sanguine, depuis la promotion du don de sang jusqu’à la distribution des produits aux hôpitaux, en passant par le recrutement des donneurs, le prélèvement, les analyses, le stockage et la transfusion du sang.
La gestion de ces multiples activités constitue un véritable défi pour l’organisme tant il est vrai que l’environnement auquel il doit faire face est évolutif et élévatoire. La stabilité de l’offre de sang, parce qu’elle s’appuie sur la bonne volonté des donneurs, est difficile à garantir. Par ailleurs, on observe que les contraintes légales afférentes au don de sang sont en perpétuelle évolution, dans un souci croissant de sécurité sanitaire du système transfusionnel. C’est ainsi que des critères d’exclusion de donneurs se multiplient, ce qui ne facilite pas non plus la tâche de la Croix-Rouge dans sa mission de recrutement.
Blood Transfusion --- Marketing of Health Services --- Blood Donors
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Quatrième de couverture : "Comment sensibiliser les populations à la question, essentielle, du don du sang et de la transfusion ? En quoi pratiques et représentations diffèrent-elles selon les mœurs et les croyances propres à chaque culture ? Si, en France, le sang se donne, ailleurs, il se vend : en quoi cela modifie-t-il la portée du geste ? Quelles sont les problématiques particulières liées aux groupes sanguins rares ? Quelles sont les potentialités thérapeutiques du sang du cordon ombilical ? La question du don de sang ouvre un débat qui nécessite des approches historiques, juridiques, anthropologiques, éthiques et médicales. Chercheurs, anthropologues, biologistes, juristes, éthiciens, philosophes, médecins, français et étrangers, ainsi que des acteurs de l’Établissement français du Sang et des associations conjuguent, dans cet ouvrage, l’étude des pratiques, de la normativité, des représentations et des législations aux défis et aux enjeux contemporains liés au sang."
Blood --- Hematology --- Blood donors --- Sang --- Hématologie --- Dons de sang --- Transfusion --- Blood Transfusion --- Blood Donors --- Fetal Blood --- Hématologie
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Blood Donors. --- Blood Banks. --- Blood donors --- Blood products --- Blood banks --- Dons de sang --- Produits sanguins --- Banques de sang
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Dans les pays occidentaux, le don de sang est un geste libre, volontaire, gratuit et anonyme. Les institutions sanitaires ont promu ce modèle, perçu comme offrant les meilleures garanties pour assurer la sécurité des produits sanguins et concrétisant l'idée selon laquelle le sang est une substance universelle que l'humanité peut partager, indépendamment de toute considération sociale, culturelle, raciale ou religieuse. Au cours des dernières décennies, la médecine transfusionnelle s'est développée à l'échelle internationale. Une grande diversité des modalités de recrutement des donneurs de sang et de collecte s'est installée, en fonction des caractéristiques organisationnelles et de l'histoire politique et sanitaire de chaque pays. Les dynamiques locales de solidarité sociale, les représentations culturelles et religieuses du sang ont aussi contribué à façonner la complexité des systèmes établis. À l'heure où les besoins en produits sanguins sont partout en croissance, les auteurs proposent un éclairage inédit sur les principaux enjeux liés au don de sang dans le monde d'aujourd'hui : • l'histoire et les impacts des affaires de sang contaminé aux États-Unis, en France et en Afrique, • la coexistence d'une pluralité de motivations au don de sang dans les pays occidentaux, au Canada, en Italie et en Australie, • la mise à l'épreuve du modèle universel du don altruiste dans des pays comme la Chine, l'Inde, le Sri Lanka, Trinité-et-Tobago, • la gestion des risques et les définitions des contre-indications au don de sang en Franc+E50e, en Allemagne et au Canada.
Blood --- Blood donors --- History of Medicine --- Medicine --- Health & Biological Sciences --- Social aspects --- Collection and preservation
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