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Church history --- Eglise --- Histoire --- -Christianity --- Ecclesiastical history --- History, Church --- History, Ecclesiastical --- History --- Christianity --- -Church history --- Middle Ages, 600-1500 --- Church history - Middle Ages, 600-1500.
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Dès la fin de l'Antiquité, les Pères de l'Eglise et les écrits monastiques condamnent l'enrichissement et louent le renoncement aux biens matériels. Ils utilisent pourtant le langage du profit et du commerce pour parler du salut et décrire les gains ineffables attendant le chrétien qui investit clans le marché céleste. Le monde monastique fonde sur l'ascèse et l'absence de possessions personnelles une discipline de l'administration des biens consacrés. Comment concilier alors le rejet des richesses et la proposition d'un modèle de salut calqué sur le comportement du bon marchand ? Comment comprendre l'exhortation monastique à devenir des banquiers avisés, des administrateurs fidèles des biens divins ? Grâce à une réinterprétation de la parole des évêques et des moines, qui associe intimement le spirituel et l'économique, ce livre propose de dépasser les oppositions trop simples entre théorie et pratique, entre spirituel et temporel ou entre morale et vice, pour mettre au jour les fondements lexicaux de tout discours médiéval sur les échanges et l'administration des biens. Il ne s'agit pas de retrouver les racines de notre économie moderne, mais de mettre en lumière l'existence d'une façon propre à la société médiévale de penser l'économie à travers le lien qu'elle établissait entre l'ici-bas et l'au-delà. On comprendra ainsi comment l'élément économique prend place au centre même de la réflexion chrétienne sur le salut, façonnant les modes de gouvernement de la société, fondant la rationalité administrative des moines et Légitimant le pouvoir de l'Eglise épiscopale et monastique sur les biens et sur les hommes.
Economics --- Wealth --- Church history --- Monastic and religious life --- Economie politique --- Richesse --- Eglise --- Vie religieuse et monastique --- Religious aspects --- Christianity --- History. --- History --- Aspect religieux --- Christianisme --- Histoire --- Catholic Church --- Administration --- Économie politique --- Management. --- Monastic and religious life. --- Middle Ages. --- Primitive and early church. --- Christianity. --- Catholic Church. --- 30-1500 --- Europe. --- AA / International- internationaal --- 331.100 --- 18 --- 241.65 --- Economische geschiedenis: algemeenheden. --- Godsdienst --- Theologische ethiek: rechtvaardigheid--(zie ook {330.86}) --- 30-1500. --- 241.65 Theologische ethiek: rechtvaardigheid--(zie ook {330.86}) --- Economische geschiedenis: algemeenheden
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Dowry --- Marriage --- Dot --- Mariage --- History --- Congresses --- Histoire --- Congrès --- Congrès --- Married life --- Matrimony --- Nuptiality --- Wedlock --- Love --- Sacraments --- Betrothal --- Courtship --- Families --- Home --- Honeymoons --- Dos --- Husband and wife --- Marriage law --- Europe --- To 1500 --- Dowry - Europe - History - Congresses. --- Marriage - Europe - History - Congresses. --- Marriage - Europe - History - Congresses --- CONTRATS DE MARIAGE --- HISTOIRE SOCIALE --- EUROPE --- MOYEN AGE --- MOYEN AGE, 500-1500
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Lyon, capitale des Burgondes (Ve-VIe siècles), avait été marginalisée au temps des royaumes mérovingiens de l’Entre-Seine-et-Rhin, et ses élites décimées par les pouvoirs francs (VIIe-VIIIIe siècles). La création d’un empire par Pépin le Bref puis Charlemagne a changé la donne. Dans une construction politique qui veut unir la Germanie à l’Italie, la Saxe à la Catalogne, Lyon retrouve une place centrale : porte de l’Espagne chrétienne, voie d’accès privilégiée à l’Italie lombarde dont Charlemagne a fait son premier objectif militaire, la ville devient la tête de pont de la présence franque dans le sud de l’Europe.Le pouvoir carolingien cependant ne s’impose pas à Lyon seulement par la force, mais en y relevant le gouvernement épiscopal. Des évêques choisis par les empereurs pour leurs compétences intellectuelles sont placés à la tête de la cité. Leidrade et Agobard, Amalaire puis Amolon assurent le rayonnement durable de Lyon par l’excellence des écoles qu’ils fondent et qui attirent des clercs de l’Europe entière, ainsi que par la profusion des manuscrits qu’ils réunissent dans la bibliothèque cathédrale. L’intense activité culturelle lyonnaise du IXe siècle n’est pas corsetée par le soutien politique initial des Carolingiens. Au contraire, les clercs proposent des politiques alternatives au gouvernement des princes francs ; ils appellent à la création d’une Europe unifiée par le respect d’une loi unique et la renaissance d’un empire chrétien universel… Des propositions qui tiennent de l’idéalisme et du fondamentalisme biblique, et qui ne seront jamais suivies d’effet
Civilization, Medieval. --- 940.1 --- 940.1 Geschiedenis van Europa: Middeleeuwen:--(ca.375-1492) --- Geschiedenis van Europa: Middeleeuwen:--(ca.375-1492) --- Carolingians --- Carolingians. --- Theology --- Theology. --- History. --- Agobard, --- To 987. --- France --- France. --- Lyon (France) --- History --- Civilization, Medieval --- Church history --- Manuscrits médiévaux. --- Agobard --- Lyon (Rhône) --- Vie intellectuelle --- --Lyon --- --IXe s., --- Civilisation --- --Empire carolingien --- --Agobard, --- --Manuscrits médiévaux. --- Manuscripts, Medieval. --- --Carolingians --- --940.1 --- Histoire --- Agobardus --- IXe s., 801-900 --- Empire carolingien --- Lyon --- Agobardus archiep. Lugdunensis --- Agobard, 769-840 --- Manuscrits médiévaux. --- Lyon (Rhône)
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Le quatrième et dernier volet de l’enquête collective sur les « Transferts patrimoniaux en Europe occidentale durant le haut Moyen Âge » (1999-2002) prend pour objet les actes relatifs à la transmission du mémoire et à la mémoire, c’est-à-dire toute la documentation qui se rapporte de près ou de loin à la pratique testamentaire ou para-testamentaire. De la Francie occidentale à l’Italie méridionale et de la Germanie à l’Espagne chrétienne sont abordées les questions de forme et de droit (le devenir du testament à la romaine et les modes régionaux de décliner la donation pro anima), la manière d’organiser sa propre commémoration au moment du décès et dans le temps long du souvenir, le sort des patrimoines que l’on ne cesse de reconstituer. L’Église fut-elle le fossoyeur du testament ? Toute donation s’inscrit-elle dans un circuit de l’échange ? Comment peut-on résoudre la tension entre le désir du salut, qui mène à exclure la famille naturelle de la transmission de ses biens, et celui de la perpétuation biologique et patrimoniale ? Comment interpréter le rôle des femmes dans la prise en charge de la mémoire ? Jusqu’à quel point les pratiques testamentaires sont-elles socialement réservées ? Autant de questions auxquelles le présent volume fournit des réponses régionalement différenciées.
Inheritance and succession --- Wills --- Successions et héritages --- Testaments --- History --- Congresses --- Histoire --- Congrès --- Europe --- Social life and customs --- Moeurs et coutumes --- Law, Medieval --- Moyen âge, --- Patrimoine --- --Transmission --- --Mémoire collective --- --Colloque --- --2002 --- --Padoue --- --actes --- --History --- Law, Medieval. --- Law - Non-U.S. --- Law, Politics & Government --- Law - Europe, except U.K. --- History. --- Social conditions --- Successions et héritages --- Congrès --- Medieval law --- Codicils --- Law and legislation --- Legal instruments --- Registers of births, etc. --- Legacies --- Probate records --- Remainders (Estates) --- Bequests --- Descent and distribution --- Descents --- Hereditary succession --- Intestacy --- Intestate succession --- Law of succession --- Succession, Intestate --- Real property --- Universal succession --- Trusts and trustees --- Middle Ages, 600-1500 --- Middle Ages, 500-1500 --- Inheritance and succession - Europe - History - Congresses --- Wills - Europe - History - Congresses --- Law, Medieval - Congresses --- Moyen âge, 476-1492 --- Transmission --- Mémoire collective --- Colloque --- Padoue --- don --- formules --- capitulaires --- mémoire --- testament --- héritage --- édits --- aristocratie --- Rome --- églises --- Loi des Lombards --- Naples --- donation --- patrimoine --- famille --- FUNERAILLES --- MEMOIRE --- SUCCESSIONS ET HERITAGES --- EUROPE --- RITES ET CEREMONIES --- MOYEN AGE --- ITALIE --- HISTOIRE --- VIE SOCIALE
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Les actes du colloque « Compétition et sacré au haut Moyen Âge : entre médiation et exclusion » constituent le deuxième volume de la série de publications du groupe international de recherches sur la compétition dans les sociétés médiévales (400-1100). Ce programme de recherche considère les objets de la compétition, les moyens et les formes de la compétition qui dépendent des capacités de régulation de cette même compétition : règles du jeu édictées par les autorités, mécanismes de médiation plus ou moins forts, équilibre de la terreur, la performativité des moyens : résultats en termes d’objets et d’enjeux, les possibilités de mobilité sociale, de changement de statut ou de position qui sont plus ou moins grandes selon les périodes et les espaces.La rencontre de Limoges place le sacré au centre de la réflexion sur la compétition, mais il est nécessaire de ne pas restreindre le sacré à ce qui est consacré par l’autorité ecclésiastique. Si le sacré est bien ce qui est doté d’une force surnaturelle et qui isole, la distinction sacré-profane ne passe pas complètement par l’opposition clercs-laïcs. Avec le sacré on touche au pouvoir, puisqu’il ne peut y avoir de pouvoir légitime au Moyen Âge sans lien avec le sacré, quelle que soit la forme prise par la relation. Même si les clercs tendent à monopoliser de plus en plus le sacré par le biais du « consacré », la spécificité de la période prégrégorienne tient précisément à ce que le sacré n’est pas encore entièrement contrôlé par les clercs et qu’il est donc objet de compétition. En même temps, le sacré est un instrument de la compétition et il est facteur d’exclusion.
Beschaving [Middeleeuwse ] --- Civilisation médiévale --- Civilization [Medieval ] --- Civilization [Medieval ]--History --- Europa--Beschaving--476-1492 --- Europe--Civilisation--476-1492 --- Europe--Civilization--476-1492 --- Medieval civilization --- Middeleeuwen--Beschaving --- Middeleeuwen--Cultuur --- Middeleeuwse beschaving --- Middeleeuwse cultuur --- Middle Ages--Civilization --- Moyen-Age--Civilisation --- Contests --- Civilization, Medieval --- Concours et compétitions --- Religious aspects --- Congresses --- Psychological aspects --- Aspect religieux --- Congrès --- Aspect psychologique --- Europe --- Social life and customs --- Moeurs et coutumes --- Competition (Psychology) --- Competitive behavior --- Competitiveness (Psychology) --- Conflict (Psychology) --- Interpersonal relations --- Motivation (Psychology) --- Competitions --- Prize competitions --- Awards --- Conferences - Meetings --- Concours et compétitions --- Civilisation médiévale --- Congrès --- Elite (Social sciences) --- Middle Ages, 500-1500 --- Middle Ages --- History --- Game theory --- Competition (Psychologie) --- Conflit (sociologie) --- Interpersonal confrontation --- Sacré --- Holy, The --- Sacré
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Alors que le monde antique vit au rythme de la compétition individuelle et collective, celle-ci paraît perdre beaucoup de son importance dans l’Occident du haut Moyen Âge. Entre les dernières manifestations des jeux du cirque dans l’Occident latin au VIe siècle et la naissance des tournois chevaleresques à la fin du XIe siècle, la dimension compétitive s’y efface, sauf exception comme l’Irlande, alors qu’elle garde une importance notable dans le monde byzantin et dans l’Islam. Les concours étaient depuis longtemps en butte aux critiques des penseurs chrétiens, en ce qu’ils ressortissent de la catégorie honnie des spectacles. À partir du milieu du Ve siècle, le coût économique de telles entreprises devint diffi cilement supportable, à un moment où la dépense somptuaire prenait d’autres cibles et où les systèmes de valeurs des royaumes barbares se détournaient des jeux au profi t de l’émulation entre pairs et de l’entraînement. Cependant, la compétition reste largement présente dans d’autres domaines. Les jeux de société intègrent cette dimension. La tradition de la joute oratoire se poursuit, d’Ennode aux tensos et aux jeux partis en passant par les rivalités poétiques de la cour carolingienne. Le vocabulaire de l’agôn est réinvesti par les auteurs chrétiens, sur la base de l’héritage patristique, spécialement à l’époque carolingienne ; avec des hauts et des bas, il s’adapte au martyre et plus généralement au combat de la vie chrétienne. La recherche des femmes, la quête de la gloire aux frontières peuvent aussi être lues au filtre de la compétition. Ces divers aspects sont traités dans le présent volume, qui inaugure une série dédiée à « la compétition dans les sociétés du haut Moyen Âge ».
Concours --- Compétitions --- Compétition (psychologie) --- Civilisation médiévale --- Aspect religieux --- Europe --- Moeurs et coutumes --- Contests --- Competition --- Agon (The Greek word) --- Competition (Psychology) --- Civilization, Medieval --- Concours et compétitions --- Concurrence --- Agôn (Le mot grec) --- Compétition (Psychologie) --- Civilisation médiévale --- History --- Religious aspects --- Christianity --- Congresses. --- Histoire --- Christianisme --- Congrès --- Middle Ages, 500-1500 --- Congresses --- Competitions --- Competition (Psychologie) --- Middle Ages --- Social life and customs --- Civilization [Medieval ] --- Civilisation médiévale.
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