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Il existe de nos jours de plus en plus de projets architecturaux, parfois de grande taille, qui s’implantent au cœur de nos villes. Ces villes ont un passé, elles comptent également des habitants, une culture, des habitudes, des connaissances, des préférences de circulation ou d’aménagement. Les nouveaux projets architecturaux, pour s’intégrer dans le contexte, doivent tenir compte de ces aspects pré existants. 
Le présent travail se pose la question de l’architecture participative, afin d’évaluer la plus valeur de cette approche en terme de qualité d’intégration de nouveaux projets. 
Il se divise en deux parties: l’état de l’art suivi de l’analyse de deux cas d’études. 
A travers la première partie consacrée à l’état de l’art, je vais dresser une bref résumé des exemples, qui me permettront de construire une base théorique. Cette dernière m’aidera pour la suite du mémoire puisque je baserai mon analyse postérieure sur ses aspects importants. 
Je commencerai par aborder les aspects de la participation en architecture pour ensuite m’intéresser à l’action. Aujourd’hui en effet, il y a des bureaux d’architecture et d’urbanisme qui utilisent ce substantif d’ « action » comme moteur du processus de projets. Dès lors, je me suis attachée à découvrir ce que recouvre le terme et ce que produit leur processus. 
La deuxième partie se compose de l’analyse des deux cas d’étude concrets qui abordent l’utilisation des outils d’action-réflexion dans les projets. L’objectif de la recherche est d’analyser l’impact que l’action a eu sur les processus dans des projets participatifs. C’est à travers mon interprétation d’étudiante en architecture que j’étudie le projet action directe.

Participation --- processus --- action directe --- urbanisme tactique --- droit à la ville --- citoyenneté --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture