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Étude rétrospective : résultats fonctionnels de la chirurgie des membranes épimaculaires : "La chromovitrectomie a-t-elle apporté une amélioration ?"
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

The purpose of the study is to compare vitrectomy without coloring and chromo­ vitrectomy. ln the event of a symptomatic membrane, vitrectomy is offered to patients. This intervention, performed initially without dye is, now, performed with injection of ILM Blue (chromo-vitrectomy). Based on our knowledge and research, there is not any study in the literature to compare the efficiency of both techniques. Objective: To compare the effectiveness of chromo-vitrectomy with that of vitrectomy. The hypothesis of the study is that the use of color brings a significant improvement in visual prognosis without toxicity. We seek to determine the presence or absence of significant improvements in visual prognosis due to the use of the dye. Material and Methods: an observational study was conducted based on a historic comparison analysis of two sets of consecutive records of patients recruited in a third-line hospital, with an= 52) or epimacular membrane and who underwent vitrectomy without a dye in 2000/2001 (n=52) or dye (Blue ILM) in 2014 (n = 37). The primary endpoint was the improvement of distance visual acuity (DVA) and near (NVA). The secondary endpoints were improvement in the subjective metamorphosia and overall subjective improvement experienced by the patient. Results: The analysis of intra-group differences pre and post treatment showed a significant improvement in NVA (mean difference = .2402, P <.05) and DVA (mean difference = .1372, P <.05) in surgical patients without coloring. For patients operated using the dye, there is a significant improvement in NVA (mean difference = .1821, P <.05) but not significant improvement in DVA (mean difference = .0571, p> .482). ln this second group, an analysis stratified according to the initial state of the lens (cataract / pseudo-phakic /clear) nevertheless showed a significant improvement of the DVA in the pseudo-phakic subgroup. Conclusion: Even though, we didn't prove the significant improvement of the DVA for all patients of 2014, the globality of the results indicates that vitrectomy with ILM Blue brings an improvement of the functional result of the surgery. lndeed, except the DVA, all the parameters. Le but de l'étude est de comparer la vitrectomie sans colorant et la chromovitrectomie. En cas de développement d'une membrane épimaculaire invalidante, une vitrectomie est proposée aux patients. Cette intervention, réalisée initialement sans colorant, l'est dans cette étude réalisée avec injection d'ILM Blue (chromovitrectomie). A notre connaissance, il n'y a pas dans la littérature d'études permettant de comparer l'efficacité des deux techniques. Objectif : Comparer l'efficacité de la chromovitrectomie avec celle de la vitrectomie. L'hypothèse de l'étude est que l'utilisation de colorant apporte une amélioration significative du pronostic visuel sans toxicité. Nous cherchons à déterminer la présence ou non d'améliorations significatives du pronostic visuel grâce à l'usage du colorant. Matériel et méthodes : Etude observationnelle de type comparaison historique par analyse des dossiers de deux séries consécutives de patients recrutés en centre hospitalier de troisième ligne, présentant une membrane épimaculaire et ayant subi une vitrectomie sans colorant en 2000/2001 (n=52) ou avec colorant (ILM Blue) en 2014 (n=37). Le critère de jugement principal était l'amélioration de l'acuité visuelle de loin (AVL) et de près (AVP). Les critères de jugement secondaires étaient l'amélioration subjective des MM et l'amélioration subjective globale ressentie par le patient. Résultats : L'analyse des différences intra-groupes pré et post traitement a montré une amélioration significative de l'AVP (différence moyenne = .2402, p <.05) et de l'AVL (différence moyenne = .1372, p < .05) chez les patients opérés sans colorant, ainsi qu'une amélioration significative de l'AVP (différence moyenne = .1821, p <.05) mais non signif icative de l'AVL (différence moyenne = .059, p > .482) chez les patients opérés avec colorant. Dans ce second groupe une analyse stratifiée en fonction de l'état initial du cristallin (cataracte/ pseudo-phake/ clair) a néanmoins montré une amélioration significative de l'AVL dans le sous-groupe pseudo­ phake Conclusion: Même si nous n'avons pas pu montrer d'amélioration significative de l'AVL pour la cohorte de 2014 dans son ensemble, la globalité des résultats semble montrer que la vitrectomie avec l'aide de l'ILM Blue apporte une amélioration au résultat fonctionnel de la chirurgie. En effet, hormis l'AVL, tous les paramètres sont plus favorables dans la cohorte de 2014: MM, AVP , résultats subjectifs et complications post-opératoires.


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Infections invasives à streptocoque ß du groupe A : étude rétrospective dans un centre tertiaire (Cliniques universitaires Saint-Luc)
Authors: --- --- ---
Year: 2017 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

Introduction. - Group A -hemolytic streptococcus (GAS), streptococcus pyogenes is a human pathogen responsible for a wide range of clinical manifestations. Invasive GAS infections are rare, an increase has been described since the mid-1980s in developed countries and they cause high morbidity and mortality. Objective. To describe predisposing factors specific to each age group and clinical characteristics of patients with invasive GAS infection, as well as to analyze risk factors associated with bacteremia and mortality. Material and methods. Retrospective and descriptive study through systematic analysis of medical records of al1 hospitalized patients for an invasive GAS infection in the Cliniques Universitaires Saint-Luc (CUSL) between 2011 and 2016. We split the cohort into two groups to compare pediatric and adult populations. Results. Sixty-height patients were included (26 children and 60 adults). Children's' median age was 1, 6 years old and 66,l years old for adults. ln the adult population, 90% had 1 to 4 predisposing factors (median of 2 factors) in contrast 70% of children did not have any documented risk factor but 19% developed a GAS infection following chickenpox. The most common clinical manifestations were occult bacteremia (31%; n :; 31), bone and joint involvement (27%; 9 arthritis, 10 bursitis and 8 osteitis), necrotizing fasciitis(14%; n = 14), pneumonia 13%; (n = 13) and pleural empyema (9%; n = 9). Thirty cases of STSS were recorded (36%). Streptococcus pyogenes was isolated from blood cultures in 70% of case. The average length of stay in the hospital was 19, 4 days. Early fatality rate (< 10 weeks) was 18,4% (12% in pediatrics and 21% in > 18 years old). Thirty-six percent required a surgical treatment and 25% have benefited from dual therapy clindamycin-penicillin.Conclusions: Invasive GAS infections are rare however their progression is rapid and their mortality is significant. A risk factor is more common in adults but chickenpox is the main risk factor in children. Mortality and morbidity related to invasive GAS infections could be potentially prevented ln the future by a vaccine and current research in this field must be encouraged. Antimicrobial prophylaxis is indicated in persons in close contact with a patient infected with invasive SBHA. Introduction. Le streptocoque -hémolytique du groupe A (SBHA), streptococcus pyogene est un germe humain responsable d'un large éventail de manifestations cliniques. Les infections invasives à SBHA sont des affections rares, en recrudescence dans les pays industrialisés depuis le milieu des années 1980 et responsables d'une morbidité et d'une mortalité élevées. Objectif. Décrire l'incidence, les facteurs de risque spécifiques à chaque groupe d'âge et les caractéristiques cliniques des patients atteints d'une infection invasive à SBHA, ainsi que les facteurs associés à la bactériémie et à la mortalité. Matériel et méthode. Étude clinique descriptive et rétrospective via l'analyse systématique du dossier des patients hospitalisés aux Cliniques Universitaires Saint-Luc entre les années 2011 et 2016 pour une infection invasive à SBHA. La cohorte est scindée en deux groupes, permettant de comparer les populations pédiatriques et adultes. Les résultats évalués sont les suivants : âge, genre, facteurs prédisposant (chroniques ou aigus), traitement et évolution. Résultats. Les dossiers de 86 patients ont été analysés (26 enfants et 60 adultes). L'âge médian est, chez les enfants, de 1,6 an ; contre 66,1ans chez les adultes. Dans la population adulte, 90% ont de 1 à 4 facteurs prédisposant (médiane de 2 facteurs) contrairement aux enfants, chez qui, 70% n'ont pas de facteur de risque documenté et 19% ont développé une infection à SBHA dans le décours d'une varicelle. Les manifestations cliniques les plus fréquemment décrites sont la bactériémie occulte (31% ; n = 31), les affections ostéoarticulaires (27% ; 9 arthrites, 10 bursites et 8 ostéites), la fasciite nécrosante (14% ; n = 14), la pneumonie {13% ; n = 13) et la pleurésie {9% ; n = 9). 30 cas de STSS ont été comptabilisé (36%). Streptococcus pyogènes a été isolé à partir d'hémocultures dans 70% des cas. La durée moyenne d'hospitalisation est de 19 jours. Le taux de mortalité précoce (< 10 semaines) s'élève à 18,4% (12% en pédiatrie et 21% chez les > 18 ans). Trente-six pourcents des patients ont dû subir un traitement chirurgical et 25% ont bénéficié d'une bithérapie clindamycine-pénicilline. Conclusions. Les infections invasives à SBHA sont rares mais de progression rapide et de mortalité significative. Un facteur de risque est plus fréquemment retrouvé chez l'adulte mais la varicelle reste le facteur principal chez l'enfant. Le diagnostic précoce permet une antibiothérapie agressive efficace. L’intérêt d'une vaccination est manifeste et justifie les recherches actuelles en ce sens.


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Comparaison entre le curetage et la résection transhystéroscopique das la prise en charge des fausses couches non expulsées et des restes post fausses couches et post partum : étude rétrospective
Authors: --- --- ---
Year: 2017 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

Introduction: Approximately 10-20% of first trimester pregnancies end up in a spontaneous miscarriage. ln some cases, the product of conception remains either in full or in part in the uterine cavity and is called « Retained product of conception » (RPOC). They are classically managed using three different methods: expectant care, drug-based management and dilation and curettage (D&C). The patient generally considers the miscarriage as a failure and usually wants to get pregnant soon after this episode. Hence the importance of preserving the fertility and especially the integrity of the endometrium. Therefore, the Cliniques Universitaires Saint Luc (CUSL) developed a fourth evacuation method: the transhysteroscopic resection of the residual trophoblastic tissue (HsR). lt presents four theoretical benefits : to work exclusively on the site of embryological implantation, to control the depth of the resection, to visualize well the completeness of the resection, and potentially identify a intrauterine pathology as the underlying cause of the miscarriage. Study objective: To compare fertility after ultrasound-guided dilation and curettage with fertility after hysteroscopic resection of the miscarriage product. The secondary aims are intra- and post-operative complications of these two techniques. Design : Retrospective cohort study in two departments of the CUSL having a systematically different management of the RPOC. Results: Between 2010 and 2014, 229 patients in the D&C group and 244 in the HsR group were respectively managed in the obstetrics and gynecology departments of the CUSL for incomplete miscarriage, delayed miscarriage and retained placental tissue. The intraoperative complications are low and comparable in both groups. The trophoblastic remnants and intrauterine adhesions are also equal in both groups. Please note that a postoperative follow-up by hysteroscopy or ultrasound has only been performed in case of either suspected intrauterine adhesions or of trophoblastic remnants. Ln terms of future pregnancies, there is no significant difference between the two groups amongst women who desired to get pregnant again. However, patients who had an interrupted pregnancy came from two different group populations ; indeed, 59% of the patients in the HsR group are followed in IVF (ln Vitro Fertilization) versus 5% in the D&C group. If the pregnancy has been assisted by IVF and a following IVF is necessary, then the patients who underwent HsR have 30% chance more to get pregnant 6 months after their intervention in comparison to the patients who underwent D&C. ln addition, the multivariate analysis adjusted to the IVF variable shows a significant difference in favor of the HsR group. Note the loss of the significant difference after six months due to the considerable amount of patients lost to follow­ up. No conclusion can be made on the incomplete miscarriage group due to its little number of patients and inhomogeneity. Conclusion : Operative hysteroscopy is an interesting alternative for the primary management of delayed miscarriages, described for the first time in this paper. lt seems to allow more patients to get pregnant after the intervention by being less traumatic to the endometrium. Introduction : Les fausses couches spontanées du premier trimestre compliquent 10- 20% des grossesses. Dans certains cas, le produit de conception persiste en totalité ou en partie dans la cavité utérine, on parle alors de RPOC (« Retained product of conception »). Leur prise en charge est classiquement décrite de trois manières différentes : l'expectative simple, la méthode médicamenteuse et la dilatation et curetage (D/C). Etant donné que la patiente vit le plus souvent sa fausse couche comme un échec et qu'elle désire fréquemment être enceinte après cet épisode, il est primordial de penser lors de sa prise en charge à la préservation de la fertilité et notamment à l'intégrité de son endomètre. C'est pour satisfaire cet impératif que s'est développée aux Cliniques Universitaires Saint Luc (CUSL) une quatrième technique évacuatrice : la résection transhystéroscopique du produit de fausse couche (HsR). Son intérêt (au moins théorique) est de travailler uniquement sur la zone d'implantation de l'embryon et d'avoir un bon contrôle à ce niveau de la profondeur de résection, d'avoir une bonne visualisation du caractère complet de la résection et éventuellement de détecter une pathologie endo-utérine constituant parfois l'étiologie de la fausse couche.Objectifs de l'étude : Comparaison de la fertilité post dilatation et curetage échoguidé à celle suivant la résection transhystéroscopique du produit de fausse couche. Les objectifs secondaires de cette étude concernent les complications per et post opératoires relatives aux deux techniques chirurgicales.Design : Etude de cohorte rétrospective dans deux services des CUSL ayant une attitude systématiquement différente pour la prise en charge des RPOC.Résultats : 229 patientes dans le groupe D/C et 244 dans le groupe HsR ont été respectivement prises en charge dans les services d'obstétrique et de gynécologie des CUSL entre 2010 et 2014 pour des fausses couches incomplètes, des grossesses arrêtées et des restes post-partum. Le taux de complications peropératoires est faible et comparable dans les deux groupes. Les restes post évacuation et les taux de synéchies sont également similaires dans les deux groupes, notons cependant qu'un suivi post-opératoire par hystéroscopie ou échographie n'a été effectué qu'en présence de suspicion respectivement de synéchie ou de restes persistants. En terme de grossesse future il n'y a pas de différence significative entre les deux groupes sur toute la cohorte des patientes qui désiraient encore être enceinte. Cependant, les patientes ayant une grossesse arrêtée proviennent de populations très différentes; en effet 59% des patientes du groupe HsR sont des patientes venant de la FIV contre 5% dans le groupe D/C. Si la grossesse avait été obtenue par FIV et qu'une nouvelle FIV était nécessaire, les patientes post HsR ont 30% de chances supplémentaires d'être enceinte à 6 mois par rapport au groupe D/C, et l'analyse multivariée ajustée à la variable FIV montre une différence significative en faveur du groupe HsR. Notons qu'on perd le caractère significatif après 6 mois vu le nombre important de patientes perdues de vue. Pour le groupe fausse couche incomplète, il nous est impossible de tirer une conclusion vu le petit nombre de patientes et l'inhomogénéité du groupe.Conclusion : L'hystéroscopie opératoire est une alternative intéressante pour la prise en charge primaire des grossesses arrêtées, décrite pour la première fois dans ce travail. Il semblerait qu'étant moins agressive sur l'endomètre, elle permettrait à davantage de patientes d'obtenir une grossesse.


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Guillain-Barré syndrome : a retrospective study of patients admitted to the University hospitals St-Luc between 1978 and 2013
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine,

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Abstract

Guillain-Barré syndrome and its clinical variants (paraparetic variant, Miller Fisher syndrome, bifacial weakness with paresthesias) are rather well-known medical afflictions nowadays. Disease management has become more efficient in recent years, and creation of several clinical scales helps to predict patients' clinical and especially respiratory outcomes. In the present retrospective study we describe the basic epidemiological, clinical, and nosological and some of the prognostic features of Guillain-Barré syndrome and its clinical subtypes in a study cohort of 162 patients admitted to University hospitals St-Luc between 1978 and 2013. The majority of analyses were performed both in overall cohort and in separate clinical subgroups. Median age of GBS (typical and paraparetic confounded) was 51 years. A bimodal age distribution has been observed in our study. Most of the cases of GBS and its variants occurred in winter, but no statistically significant seasonal variation was detected. The most frequent preceding infections event in this study was respiratory infection, followed by gastro­ intestinal infection in the second place. The most common anti-infectious IgM type antibodies detected at hospital admission were directed against cytomegalovirus. Paresthesia before onset of weakness was rather frequent with 56,3% of typical GBS patients describing this symptom. 13,5% of GBS patients developed ataxia. Pain before onset of weakness was reported by 37% of patients and was associated mainly with typical GBS. Ail patients reached their nadir within 4 weeks after onset of weakness. Median time interval between onset and nadir was 7 days. 16 cases of dysautonomia (cardiac, blood pressure, gastro-intestinal, urinary bladder) were detected in our study. GBS was associated with anti-GM1 autoantibodies, whereas serum of MFS patient contained mainly anti-GQ1b antibodies. Low MRC sum score and high GBS disability score at hospital admission, rapid disease progression, cranial nerve deficiency, areflexia and dysautonomia were ail associated with the need for mechanical ventilation. Treatment related fluctuations (TRF) concerned 4% of patients treated by intravenous immunoglobulins (IVIg) and were considered as a monophasic course of disease. This retrospective study offers a review a large variety of epidemiological, clinical and prognostic features of GBS and its clinical variants. Le syndrome de Guillain-Barré et ses variantes cliniques (GBS paraparétique, syndrome de Miller Fisher, parésie bifaciale avec paresthésies) représentent aujourd'hui des affections neurologiques bien connues par les professionnels de la santé. La prise en charge de ces maladies s'est considérablement améliorée au cours des dernières années. Les échelles pronostiques ont été élaborées afin de prédire l'évolution clinique, respiratoire en particulier. Dans cette étude rétrospective nous décrivons les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, nosologiques et pronostiques du syndrome de Guillain-Barré et de ses sous-types cliniques dans une cohorte de 162 patients admis aux Cliniques Universitaires St-Luc, et ce, entre 1978 et 2013.L'âge médian du GBS (typique et paraparétique confondus) dans notre étude est de 51 ans. La distribution d'âge observée dans notre étude montre deux tranches d'âge avec une incidence élevée de GBS typique. La plupart des cas de GBS et de ses variantes cliniques s'est manifestée en hiver, mais la variation saisonnière n'a pas été statistiquement démontrée. Les infections respiratoires se sont avérées être les antécédents infectieux les plus fréquents, suivies, en deuxième place, par les infections gastro-intestinales. Les anticorps anti-infectieux de type IgM le plus souvent détectés dans notre étude sont ceux dirigés contre le cytomégalovirus. Des paresthésies avant même le début de la faiblesse ont été décrites par 56,3% des patients souffrant du GBS typique. 13,5 % des patients GBS (typique et paraparétique confondu) ont développé l'ataxie. La notion de douleur présente avant le début de la faiblesse a été rapportée par 37% des patients et était associée principalement au GBS typique. Tous les patients de la cohorte ont atteint le nadir endéans les 4 semaines suivant le début de la faiblesse. 16 cas de dysautonomie (cardiaque, tensionnelle, gastro-intestinale ou vésicale) ont été détectés dans notre étude. Le GBS a été fortement associé à la présence d'autoanticorps anti-GM l, tandis que le sérum des patients souffrant du MFS contenait principalement des anticorps anti-GQlb. Les facteurs suivants ont été associés à un besoin de ventilation mécanique : MRC sum score bas et GBS-DS élevé au moment de l'admission à l'hôpital, progression rapide de la maladie, déficience des nerfs crâniens, aréflexie et dysautonomie. Des fluctuations cliniques liées au traitement ont été détectées chez 4% des patients traités par immunoglobulines intraveineuses (IVIg) et ont été considérées comme faisant partie de l'évolution monophasique.


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Étude rétrospective de 109 patients atteints de thrombocythémie essentielle : épidemiologie, démarche diagnostique et estimation du temps écoulé entre l'objectivation de la thrombocytose et le diagnostic
Authors: --- ---
Year: 2015 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

La thrombocythémie essentielle est un syndrome myéloprolifératif caractérisé par une thrombocytose soutenue dont le risque principal est la survenue d'événements thrombotiques. Les patients peuvent être porteurs d'une mutation unique responsable de la prolifération cellulaire dont les principales sont JAK2 V6 l 7F, CALR et MPL. Le diagnostic rencontre des difficultés liées à la pauvreté de la clinique et au recouvrement phénotypique et génotypique avec d'autres SMP. Par ailleurs l'arrivée de nouveaux outils diagnostiques et l'évolution constante de la démarche diagnostique et ses controverses comme ta nécessité d’une BOM exigée par l’OMS compliquent cette démarche.Nous avons réalisé une étude rétrospective d'une population atteinte de TE selon l'appréciation des cliniciens des CUSL incluant 72 femmes et 37 hommes. Premièrement, nos résultats d'épidémiologie descriptive au diagnostic sont similaires aux données de ta littérature sur te plan clinique et biologique. Soulignons un taux plaquettaire significativement plus bas chez les patients porteurs de la mutation JAK2 V6 t 7F par rapport aux mutations MPL et CALR. Deuxièmement, la démarche diagnostique telle qu'appliquée aux CUSL se distancie de !'OMS et rencontre davantage le BCSH. Seuls 10,1% des patients remplissent intégralement les critères de !'OMS contre 50,5% pour le BCSH. Troisièmement, nous observons un délai entre l’objectivation de la thrombocytose et le diagnostic de plus de 4 mois dans 54,5% des cas. L'incidence de thrombose dans cet intervalle est de 8,731100 personnes-année. Quatrièmement, le cumul de facteurs de risque cardio-vasculaire et le genre masculin augmentent significativement le risque de thrombose dans notre population.En conclusion, la population étudiée ne diffère pas de la littérature et sa prise en charge suit les recommandations thérapeutiques. En outre, les critères OMS ne sont pas adaptés à la clinique dès lors que l'utilité d'une biopsie, hormis certaines exceptions, n'est pas nécessaire étant donné que le résultatn’influencera pas la sanction thérapeutique. Nous sommes aussi d'avis que les nouvelles avancées biomoléculaires et les outils disponibles devraient permettre un diagnostic plus précoce et ainsi accroître notre efficacité diagnostique. Enfin, nous recommandons un screening mutationnel systématique des patients avec une thrombocytose primaire et certainement si ceux-ci sont âgés de plus de 60 ans, ont un antécédent de thrombose, ont au moins un facteur de risque cardio-vasculaire ou sont de sexe masculin. Essential thrombocythemia (ET) is a myeloproliferative disorder characterized by a thrombocytosis which main risk is the occurrence of thrombotic events. Patients might harbor one out of three possible mutations causing cell proliferation: JAK2 V617F, CALR and MPL. The problem is that a number of difficulties arise at the time of diagnosis due to the lack of clear signals in the clinical features, the similar phenotype and genotype as other myeloproliferative disorders, as well as the arrival of new tools for diagnosis and the constant evolution of the diagnosis approach and its related controversies (such as the necessity to conduct a bone marrow biopsies as required by the WHO).We conducted a retrospective study of 109 patients suffering from ET according to clinicians from the CUSL, among which 72 were female. First, the results of our epidemiological research are similar to data found in the literature both in clinical and biological features. In particular, we noticed significantly lower platelet counts for patients harboring the JAK.2 V617F mutation compared to the carriers of MPL or CALR. Second, the diagnosis approach used at the CUSL seems to distance itself from the WHO guidelines with only l 0, l% of ET patients fulfilling ail the WHO criteria. The CUSL approach is however more in line with the BCSH recommendations, with 50,5% of ET patients satisfying these criteria. Third, 54,5% of our sample show a delay between the detection of the thrombocytosis and the ET diagnosis of over 4 months. Within this period, the incidence of thrombotic events amounts to 8.7311OO patient-year. Fourth, both the accumulation of cardio-vascular risk factors and the fact that the patient is male significantly increase the risks of thrombosis in our population.In conclusion, our study sample does not differ from the literature and patients care is aligned with therapeutic recommendations. Moreover, it seems that the WHO guidelines are not adapted as, aside from some exceptions, a bone marrow biopsy is not a necessity seeing as its results will not influence the therapeutic process. It is also our opinion that biomolecular developments and the arrival of new tools should allow for earlier, therefore enhanced diagnosis. Finally, we recommend for a systematic mutational screening for patients with primary thrombocytosis, especially if they are over 60 years old, are male, have already had a thrombotic event or present at least one cardio-vascular risk factor.


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Guillain-Barré syndrome : a retrospective study of patients admitted at St-Luc University Hospitals from 1978 to 2013 : nosological characteristics and clinical, biological and electrophysiological diagnostic criteria in Guillain-Barré syndrome
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine,

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Abstract

Le syndrome de Guillain-Barré (GBS) est une polyneuropathie périphérique aigüe, auto-immune, se caractérisant par une faiblesse musculaire ascendante spontanément résolutive, une aréflexie aux 4 membres et dont le diagnostic s’appuie sur les analyses du liquide céphalorachidien, sur les études de conduction nerveuse et sur le dépistage d’anticorps antigangliosides. Par une étude rétrospective de 162 patients atteint de GBS portant sur les éléments épidémiologiques, cliniques, biologiques et électrophysiologiques, nous apportons de la matière supplémentaire aux données existantes. Notre travail se concentre sur la validation de critère électrophysiologique et de classification diagnostique et secondairement tente de reproduire un certain nombre d’association décrites entre les aspects susmentionnés du GBS. Notre cohorte de 162 patients présente un âge médian de 50 ans et un ratio hommes-femmes de 92 à 72. Un événement infectieux précédent était rapporté dans 72,8 % des cas. Un GBS Typique était présent chez 73,5%, un syndrome de Miller-Fisher chez 12,3 %, un GBS Paraparétique chez 12,3 % et une Parésie Faciale Bilatérale chez 1,9% des patients. Les réflexes ostéotendineux étaient abolis chez 49,7´% des patients. En se basant sur le GBS-DS, 40,2 % des patients étaient capables de marcher sans aide et 13,2 % ont nécessité une ventilation mécanique. Sous réserve des limitations posées par le caractère rétrospectif du travail, notre étude n’a pas montré de bénéfice à l’utilisation des critères proposés par Rajabally et al. Par rapport à ceux de Hadden et al. , « L’épargne surale » est une caractéristique spécifique de la neuropathie démyélinisante. Les critères diagnostiques de la Brighton Collaboration sont compatibles avec l’absence d’un certain nombre de données. En l’absence d’un set de critères pouvant assurer un diagnostic électrophysiologique fiable et stable dans le temps, les études sériées de conduction nerveuses représentent le « golf standard » pour la classification électrophysiologique. Guillain-Barré syndrome (GBS) is an immune-mediated acute polyneuropathy, classically characterized by self-limited ascending flaccid paralysis of extremities and abolition of deep tendon reflexes and is efficiently supported by cerebrospinal fluid analysis, nerve conduction studies and antiganglioside antibodies screening. Through a retrospective analysis of epidemiological, clinical, biological and electrophysiological data of 162 GBS cases, we bring further evidence to existing matter. We focus on the validation of electrophysiological criteria and the assessment of diagnostic classification and secondarily attempt to reproduce a number of associations described between the aforementioned aspects of GBS. Our cohort of 162 GBS patients presented with a median age of 50 years old and a 92 males to 72 females ratio. An antecedent infectious event was reported in 72, 8% of patients. Typical GBS was shown in 73, 5% of patients, Miller Fisher syndrome in 12,3%, Paraparetic GBS in 12,3% and Bifacial Weakness in 1,9%. A 49, 7% of patients had ail deep tendon reflexes abolished. Based on GBS-DS, 40, 2% of patients were able to walk without assistance and 13, 2% required ventilatory assistance. Subject to its retrospective nature, our study did not demonstrate any advantage of the use of Rajabally et al.'s set of criteria over that of Hadden et al. The "sural sparing" pattern is specific of demyelinating neuropathy. The Brighton collaboration diagnostic criteria are compatible, to a certain extent, with missing data. In the absence of a set capable of reliable and durable electrophysiological results, serial nerve conduction studies represent the "gold standard" for electrophysiological classification.


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Hypertension intracranienne idiopathique : étude rétrospective des adultes et des enfants aux Cliniques universitaires Saint-Luc de Bruxelles
Authors: --- ---
Year: 2017 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract


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Étude rétrospective : effets des corticoïdes sur l'évolution maternelle et périnatale dans le Hellp syndrôme
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

The HELLP syndrome is a rare com plication of preeclampsia characterized by haemolysis, elevated liver enzymes and low platelet count. lt can cause maternal and neonatal complications with a real mortality rate. The only effective treatment of this pathology is an immediate delivery. Before this delivery, a supportive treatment with antihypertensive drugs, magnesium sulfate and corticosteroids should be prescribed. The purpose of this study is todetermine the efficacy of corticosteroids (dexa methasone/béta méthasone) on the maternal, neonatal and biological outcomes in HELLP syndrome. Introduction : le HELLP syndrome est une complication rare de la pré-éclampsie qui est caractérisée par une hémolyse, des enzymes hépatiques élevées et un faible taux de plaquettes. Il peut entrainer de graves complications maternelles et néonatales avec un taux de mortalité non négligeable. Le seul traitement causal efficace est un arrêt de grossesse. Entre le diagnostic et l'accouchement, un traitement peut être mis en place avec des antihypertenseurs, du sulfate de magnésium et des corticoïdes. But : Evaluer le rôle thérapeutique effectif des corticoïdes (dexaméthasone/beta méthasone) dans le H E LLP syndrome à la fois sur le devenir maternel et néonatal a i nsi que l'évolution biologique. Méthode : Etude rétrospective sur 44 cas de HELLP syndrome traités par corticoïdes pris en charge aux Cliniques Universitaires Saint-Luc sur les trois volets entre 2003 et 2010. Comparaison des résultats obtenus avec les données retrouvées dans la littérature scientifique. Résultats et discussion : La revue de la littérature met en évidence un désaccord concernant l'efficacité des corticoïdes parmi la communauté scientifique. De nouvelles études mettent en douteL’effet bénéfique de ce traitement.Dans notre étude, sur le plan maternel, les fréquences de survenues des complications sont sensiblement les mêmes entre une population traitée par corticoïdes et une population générale de H E LPP syndrome. Sur le plan fœtal, en tenant compte des biais engendrés par la prématurité et l’hypotrophie néonatale, le traitement par corticoïdes ne semble pas avoir d'effet bénéfique en terme de complications néonatales hormis les effets sur la maturation pulmonaire. Sur le plan biologique, on observe une stabilisation de la thrombopénie voire une amélioration. Cette dernière observation permet, dans certains cas, de rendre la patiente éligible pour une anesthésie locorégionale et éviter la césarienne et ses comorbidités. Conclusions : ce travail ne permet pas de mettre en évidence une amélioration de la mortalité et des morbidités maternelle et néonatale. Il met aussi en évidence le besoin urgent d'études multicentriques randomisées afin de mieux étudier les effets des corticoïdes et proposer une prise en charge commune du HELLP syndrome.


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La relation complexe entre démence et dépression chez le sujet âgé : étude rétrospective de l'évolution des patients ayant consultés à la clinique de la Mémoire Saint Luc
Authors: --- ---
Year: 2011 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Étude rétrospective épidémiologique de la prise en charge des douleurs induites dans le service des urgences
Authors: --- ---
Year: 2015 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

Induced pain is defined as a short-duration pain, caused by the practitioner in predictable circumstances, which could be prevented by using appropriate analgesia and/or sedation. Current literature concerning its appropriate management is scarce. The purpose of our study was to assess the reality of induced pain in emergency medicine.Materials and Method : we retrospectively analyzed the medical charts of patients with five of the most frequent induced pain procedures requiring a potential procedural sedation, in one academic emergency department : fracture reduction, dislocation reduction, abscess draining, thoracic drain placement and external electric cardioversion {EEC}. Wound sutures and loco-regional anesthesia were not considered. Physicians could refer to local written protocols for those five procedures and for sedation. Frequencies of events between the 5 groups were compared by a Chi-square test. Results :137 consecutive files were analyzed over a 3-month period {0.8 % of the 17 000 admissions) corresponding to 1.5 induced pain cases per day. Mean age was 47 years old. Files concerned 48 abscess drains, 44 dislocation reductions, 30 fracture reductions, 12 thoracic drain placements and 3 EEC. 58 intravenous procedural sedations were performed {42 %), corresponding to 100% of EEC, 70 % of fractures,69 % of thoracic drains,52 % of dislocations and 4 % of abscesses.The use of analgesia was variable : among the 79 patients without procedural sedation, 27 (34 %) received an intravenous analgesia, 13 {16 %) MEOPA, 21 (26 %) an oral-only analgesic medication and 21 (26 %) received no medical analgesia. lntravenous morphine was prescribed to only 4 patients in total. Agents of analgo-sedation (ketamine, midazolam, etomidate, propofol, alfentanil) were used in a disparate manner according to the clinician. Discussion and conclusions:Pathologies causing induced pain constituted the main tank of procedural sedations realized in emergency room, at the rate of 20 sedations per month. There are significant differences {p<0,05) between the 5 groups of analyzed pathologies and the use of sedation. Within a same pathology, analgesic and sedative support may vary from intravenous sedation to the absence of any medication : abscess drains and dislocation reductions are two examples of this variability in the analgo-sedation, suggesting that alternative approaches to potentially dangerous proceduralsedations should always been taken into consideration and should be the matter of future clinical research·The ·insufficient use of morphine and the disparate use of local written procedures require an improvement of practices. La douleur induite est définie comme une douleur de courte durée, causée par le praticien dans des circonstances prédictibles, susceptibles d'être prévenues par l'utilisation d'une analgo­ sédation appropriée. La littérature actuelle concernant sa gestion est rare. L'objectif de cette étude a été d'évaluer la réalité de la douleur induite en médecine 'urgence. Matériel et méthodologie:J'ai effectué une étude rétrospective des dossiers médicaux de patients concernés par les cinq procédures de douleurs induites les plus fréquentes nécessitant une procédure de sédation potentielle, dans un service d'urgence universitaire : la réduction de la fracture, la réduction de luxation, le drain d'abcès, le placement de drain thoracique et la cardioversion électrique externe (CEE). Les sutures de pla ies larges et l'anesthésie locorégionale n'ont pas été considérées. Les diverses données ont été recueillies sous forme d'un tableau excel et ana lysées. Résultats: 137 dossiers consécut ifs ont été retenus et analysés sur une période de 3 mois (0.8 % des 16.149 admissions), correspondant à 1.5 cas de douleur induite par jour. L'âge moyen était de 47 ans. Les dossiers concernaient 48 drains d'abcès, 44 réductions de luxation, 30 réductions de fractures, 12 placements de drain thoracique et 3 CEE. 58 procédures de sédation ont été réalisées(42 %), correspondant à 100 % des CEE, 70 % des fractures, 69 % des drains thoraciques, 52 % des réductions de luxation et 4 % des abcès.L'utilisation d'analgésie était variable : sur les 79 patients n'ayant pas reçu de sédation procédurale, 27 {34 %) ont reçu une analgésie intraveineuse, 13 {16 %) du MEOPA, 21 {26 %) une médication analgésique orale pure et 21 (26 %) n'ont pas reçu d'analgésie médicamenteuse. La morphine intraveineuse a été prescrite à 4 patients au total. Les agents d'analgo-sédat ion (kétamine, midazolam, étomidate, propofol, alfentan il) furent utilisés de manière disparate, selon le praticien.L'analyse du lien entre la pathologie et les médications de sortie reçues et leur adéquation avec les guidelines montre une grande variabilité interpersonnelle des traitements reçus. Conclusion : Les pathologies sources de douleur induite constituent le réservoir principal des procédures de sédation réalisées en salle d'urgence, à une fréquence de 20 par mois. Au sein d'une même pathologie, le support analgésique et sédatif peut varier de la sédation intraveineuse à l'absence de toute médication.Une approche alternative aux procédures de sédation potentiellement dangereuse doit toujours être prise en considération et être l'objet de futures recherches cliniques. L'usage insuffisant de la morphine et l'usage disparate des procédures écrites requiert une amélioration des Pratiques.

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