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Au contraire de l'obésité, reconnue par l'O.M.S. comme une maladie en 2007, l'infobésité n'est pas une maladie et sa définition se dérobe. Surcharge informationnelle, syndrome de débordement cognitif, elle est avant tout un ressenti subjectif. Nous ne sommes pas tous égaux devant l'infobésité. Stress, burn out, dépressions, mal-être au travail sont des qualificatifs que nous entendons malheureusement trop souvent dans nos vies professionnelles d'aujourd'hui. Comment y remédier et organiser notre communication plus intelligemment? L'arrivée de l'ère numérique fut (et est encore) un bouleversement pour beaucoup. Les réseaux sociaux et la connectivité permanente ont également modifié nos façons de vivre et parfois creusé les écarts de générations. Comment transformer l'infobésité en intelligence stratégique pour les entreprises et les organisations? Je vais tenter d'explorer quelques pistes de réflexion après avoir récolté des témoignages de personnes travaillant dans de grandes et petites entreprises du secteur privé et dans des organisations publiques. Je propose également d'essayer d'améliorer des situations vécues dans ma profession de secrétaire académique et de section dans une Haute Ecole. Car ce trop-plein d'informations ne touche pas uniquement le secteur privé. Les écoles sont également concernées. La réforme du Décret Paysage de l'enseignement supérieur mise en place en novembre 2013 n'a pas aidé à la simplification du travail du personnel administratif et des enseignants. J'y ai été personnellement confrontée. C'est la raison pour laquelle je me suis intéressée au sujet de l'infobésité.
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