Listing 1 - 10 of 36 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Marché du travail --- Chômage --- Sociologie de l'éducation. --- Démocratisation de l'enseignement. --- Discrimination en éducation. --- Société.
Choose an application
Les discriminations que subissent les communautés pauvres, marginalisées ou racisées sont souvent abordées sous l'angle de l'emploi ou du logement. Mais qu'en est-il du fardeau que ces communautés doivent porter en matière d'injustices environnementales ? Si l'exploitation de la nature est toujours allée de pair avec l'exploitation des êtres humains, les textes rassemblés dans ce livre explorent les impacts démesurés des changements climatiques et de la pollution sur ces communautés. Les exemples, aussi bien d'hier que d'aujourd'hui, ne manquent pas. Les concentrations de polluants organiques persistants (POP) sont 2 à 11 fois plus élevées chez les Inuit que chez les personnes vivant dans le sud du Canada. Des dépotoirs ont été implantés à proximité des communautés noires en Nouvelle-Écosse. Le territoire du Québec est constellé de plus de 275 000 titres miniers couvrant une superficie supérieure à celle de la Grèce et de 127 autres pays, empiétant ainsi sur les droits constitutionnels des Autochtones. Les « gens du voyage », en France, sont forcés de vivre dans des aires d'accueil situées proches d'usines et de grands axes routiers. Toutes ces discriminations économiques et raciales ne sont pas le fruit du hasard, elles découlent de systèmes politiques et juridiques fondés sur le capitalisme et le colonialisme. La justice environnementale est une entreprise qui concerne tous les pays et toutes les générations. Saurons-nous enfin renouer avec la règle sacrée des peuples autochtones selon laquelle « il ne faut pas prendre trop » à la Terre ? C'est une question d'équité intergénérationnelle et de responsabilité face à l'avenir. Avec des textes de Severn Cullis-Suzuki, Sabaa Khan et Catherine Hallmich, David Suzuki, Katsi'tsakwas Ellen Gabriel, Lisa Koperqualuk, Ingrid Waldron, Yvan Pouliot, Jérôme Dupras, May Chiu et Shi Tao Zhang, Breanne Lavallée-Heckert et Jennifer Gobby, Shannon Chief, Rodrigue Turgeon, Naolo Charles, Thibaut Schepman, Noémi Tousignant et Nick Bernards, William Acker, Robert Moyer et Veronica Eady.
Justice environnementale. --- Changements climatiques. --- Changement global de l'environnement. --- Inégalité sociale. --- Postcolonialisme --- Discrimination en éducation. --- Société.
Choose an application
People with disabilities --- Discrimination in education. --- Handicapés --- Discrimination en éducation. --- Education. --- Éducation
Choose an application
Réflexions sur la question de l'éducation inclusive pour les enfants souffrant notamment de problèmes de pauvreté, de handicap ou de genre. A travers les analyses de spécialistes français et étrangers, le sujet de la potentielle réforme de l'éducation est évoqué. ©Electre 2024
Choose an application
Le mot « diversité » désigne ici, et cache tout à la fois, une réalité des sociétés nationales et une dimension des inégalités sociales. Il s’agit des inégalités matérielles et symboliques qui résultent du fait que certaines personnes, certains groupes sont perçus comme différents de l’identité majoritaire, en raison de leur origine ou de leur culture supposée. Ces inégalités peuvent prendre la forme de discriminations et de ségrégation. Elles affectent les personnes dans l’assurance de leur égale dignité. Ces inégalités liées à la catégorisation socio-ethnique, associée à la catégorisation socio-économique et à celle de genre, sont à l’œuvre dans l’institution scolaire, même si celle-ci n’en est pas toujours à la source. Elles sont traduites voire amplifiées dans divers processus (sélection et auto-sélection, différenciation, orientation). La « diversité » questionne dès lors le principe universaliste égalitaire que l’École a mission de promouvoir et d’incarner. Cet enjeu gagnerait donc à s’inscrire dans la formation des personnels, initiale et continuée, mais aussi dans la gouvernance et la régulation de l’institution scolaire. Le livre offre une synthèse originale sur ces questions. Il a pour auteurs un collectif de chercheurs et formateurs spécialisés de quatre pays ou régions francophones : Belgique francophone, Suisse romande, Québec et France, associés dans un réseau dédié, le RIED (Réseau international Éducation et diversité), créé en 2013. Leur réunion dans ce livre donne du relief au tableau des problèmes rencontrés et à l’étude des lignes d’action.
Discrimination en éducation --- Éducation et État --- Intégration sociale --- Ségrégation en éducation --- Intégration scolaire. --- Education --- éducation --- politique --- diversité
Choose an application
La partie théorique de cette recherche s'intéresse à l'écart de performances entre les élèves issus de l'immigration et les élèves autochtones dans les pays de l'OCDE. Plusieurs facteurs expliquent cet écart de performance. Des facteurs familiaux tels que le milieu socioéconomique, le niveau de scolarité, le pays d'origine, l'implication des parents immigrés et la langue parlée à la maison. Des facteurs intrinsèques de l'élève tels que l'âge d'arrivée dans le pays d'accueil, le genre, la perception d'auto efficacité ainsi que les difficultés scolaires entrent également en compte. Les évaluations internationales PISA apportent un éclairage quant aux systèmes éducatifs des pays d'accueil. On constate que l'écart de performance entre élèves natifs et immigrés varie d'un pays à l'autre. La partie pratique de ce travail présente essentiellement une analyse descriptive des résultats. Sur base des données PISA de 2006, 2009 et 2012, elle se penche principalement sur le parcours scolaire des élèves. L'objectif est d'analyser l'impact de l'origine migratoire sur trois formes d'iniquité : d'abord (i) le redoublement, ensuite (ii) l'orientation vers les filières d'enseignement professionnel et enfin (iii) la fréquentation d'écoles moins prestigieuses pour les élèves issus de l'immigration. L'objectif de ce travail est de voir dans quelles mesures chaque variable a un impact sur le statut migratoire des élèves. Afin d'analyser les différentes variables dépendantes et indépendantes, nous avons choisi de recourir à des régressions logistiques. Celles-ci nous permettront de vérifier si un élève issu de l'immigration encoure plus de risques de redoubler, d'être orienté vers l'enseignement professionnel ou encore de fréquenter une école défavorisée comparativement à un élève autochtone. L'actualité ne peut que faire écho à cette recherche. En effet, suite aux nouvelles vagues de réfugiés dans plusieurs pays du monde, l'intégration des élèves issus de l'immigration devient un questionnement mondial et il est important que les systèmes éducatifs mettent en place des dispositifs efficaces afin que ces enfants puissent réussir leur scolarité dans le pays d'accueil.
Choose an application
Ce mémoire s'interroge quant à la différence de notation selon que la copie provienne d'un enfant issu de l'immigration ou d'un enfant natif. En effet, les analyses des évaluations externes réalisées par PISA ont permis de mettre en avant un fait ; dans les pays industrialisés, les enfants immigrés ont des résultats moins bons que les enfants natifs du pays (Brinbaum & Kieffer, 2009 ; Ichou, 2013 ; Jacobs, Rea, Teney, Callier, & Lothaire, 2009). L'équipe du GERME-METICES (Jacobs et al. 2009) a constaté en 2009, lors de son analyse des résultats PISA 2006, que la Belgique présentait le fossé le plus grand entre les performances des enfants d'origine étrangère et les enfants de natifs. Les biais de notation sont multiples et bien connus. Nous nous demandons si un biais de notation en lien avec le statut de l'immigration de l'enfant serait possible. Ce travail tente de répondre à trois questions de recherche/hypothèses. Notre première hypothèse, en parallèle avec le modèle de Lafontaine et Monseur (2009), est que les enfants faibles issus de l'immigration sont surévalués tandis que les enfants forts issus de l'immigration sont sous-évalués. Notre seconde hypothèse suit les recherches de Brinbaum et Kieffer (2009). Nous pensons que les enfants issus de l'immigration sont surévalués de manière générale. Ainsi, nous nous demandons si ces enfants issus de l'immigration souffrent davantage de biais de notation que les enfants natifs. Finalement, notre dernière question de recherche est de voir s'il y a des conséquences différentes pour un enfant immigré lorsque celui-ci fréquente un établissement majoritairement peuplé par des enfants natifs ou un établissement "ghetto".
Listing 1 - 10 of 36 | << page >> |
Sort by
|