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La mort au moyen âge : colloque de l'Association des historiens médiévistes français réunis à Strasbourg en juin 1975 au Palais universitaire
Author:
Year: 1977 Volume: 25 Publisher: Strasbourg : Librairie Istra,

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Abstract


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La voix au Moyen Âge : Le Congrès de la SHMESP (Francfort, 2019)
Author:
Year: 2020 Publisher: Paris : Éditions de la Sorbonne,

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Abstract

"Malgré les progrès constants de l'écrit, les sociétés latines, byzantines ou musulmanes du Moyen Âge restent très largement dominées par l'oral et les sons. La voix tient un rôle primordial au sein d'un paysage sonore dont l'étude a récemment bénéficié d'un regain historiographique et du croisement interdisciplinaire avec l'anthropologie, la musicologie, l'archéologie, l'architecture, l'art ou la littérature. Le 50e congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public a ainsi voulu mieux comprendre la production, les usages, la définition et les contextes d'emploi de la voix, plongée dans des configurations engageant autant la parole, le discours, la déclamation que le chant ou, à l'inverse, le silence ou la voix intériorisée. Les contributions s'intéressent à la présence et aux marques d'oralité dans l'écrit, à la musique et à sa « fabrique », aux paysages sonores, aux cris et émotions, aux rythmes, à la scansion et à la cantillation ..., bref à tous les contextes et prétextes qui produisent la voix, l'accompagnent ou la mettent en scène, et à ce qui est reproduit, proféré, clamé ou tu par elle. Vingt ans après la rencontre de Göttingen, le congrès de Francfort rappelle également l'importance des échanges universitaires et historiographiques franco-allemands dans une ville profondément européenne et au riche passé historique."--Page 4 de la couverture.


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Les élites urbaines au Moyen âge : XXVIIe Congrès de la SHMES (Rome, mai 1996)
Author:
Year: 1997 Publisher: Paris, France : Éditions de la Sorbonne,

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Abstract

Quelle autre ville que Rome, l'Urbs par excellence, aurait pu mieux convenir à un congrès consacré aux élites urbaines médiévales ? Accueilli par l'Ecole française de Rome, le XXVIIe Congrès de la Société des Historiens médiévistes français, auxquels se sont joints de nombreux collègues italiens, livre la réflexion de 21 communications prolongées par les conclusions de Jacques Le Goff, qui se veulent à la fois un bilan des recherches actuelles sur les liens complexes tissés entre la ville et leurs élites, et une impulsion donnée à de nouvelles voies d'approche de ces deux réalités mouvantes et difficiles à appréhender au Moyen Agé. Les élites urbaines se déclinent sur le mode comparatif - l'étude des mots, dans leur diversité temporelle et spatiale, le montre bien : plus nobles, plus riches, plus savantes etc. que les autres, bien que ces diverses formes de domination ne suffisent pas toujours à établir fermement leur contrôle sur le pouvoir urbain. Sont dégagées, notamment en Italie, les évolutions de l'oligarchie urbaine, contrôlée d'abord par les milites et les vassaux de l'évêque ou du comte, puis par les grands marchands, enfin par les serviteurs du prince lorsque celui-ci s'affirme. La méthode prosopographique précise les contours fluctuants de ces élites, dévoile les modalités de leur renouvellement - appuyées sur des stratégies complexes matrimoniales, commerciales, culturelles et politiques -, les hiérarchies et les conflits internes. Les pratiques de légitimation et de représentation du pouvoir dans et sur la ville, parmi lesquelles le jeu subtil de la renommée joue un rôle prépondérant, contribuent aussi à mieux cerner l'image d'eux-mêmes forgée par les puissants, mais aussi acceptée, non sans difficultés, par l'ensemble de la société urbaine.


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Le clerc séculier au Moyen Âge : XXIIe congrés de la S.H.M.E.S. (Amiens, juin 1991)
Author:
Year: 1993 Publisher: Paris : Éditions de la Sorbonne,

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Abstract

Qu'on n'attende pas ici une étude exhaustive d'un groupe social émietté et diversifié, tant par ses origines, sa formation intellectuelle que par les fonctions exercées par ses membres. Le rapport introductif en souligne les clivages, tout en notant quelques traits communs : la jouissance d'un statut apportant immunité judiciaire et fiscale, mais qui suscite plus de critiques que de considération, en raison de l'écart entre l'idéal évangélique, souvent recherché, et la conduite des clercs, trop souvent relâchée. Du royaume de France à la Scandinavie, de la péninsule ibérique à Constantinople. surgissent les images contrastées des clergeons de cathédrales, des prêtres-filleuls formant une véritable plèbe ecclésiastique, des curés ruraux mal instruits, des dignitaires de chapitres et des évêques qui s'efforcent, tant bien que mal, de veiller au bon fonctionnement des institutions, de contrôler les mœurs du clergé et de lui assurer une médiocre formation continue, afin qu'il puisse mieux répondre à l'idéal sacerdotal. Les diverses communications qui suivent cherchent donc à préciser l'image du clerc dans la société médiévale, le recrutement, la formation, le ministère pastoral, à comprendre aussi comment, par delà la diversité des fonctions et les distances sociales, les clercs séculiers forment un corps, le cœtus clericorum, qui se regroupe dans des confréries ou dans des quartiers urbains spécifiques, étudiés par notre regretté collègue, Jean-Charles Picard, dont ce fut l'une des dernières interventions parmi nous. Si un ouvrage d'ensemble sur le clergé séculier au Moyen Âge est encore prématuré, il faut souhaiter que les contributions ici réunies permettent au lecteur de mieux comprendre la vie foisonnante d'un groupe essentiel de la société médiévale, dans ses idéaux comme dans ses contradictions.

Keywords

Catholic Church --- Clergy --- History.


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Contester au Moyen Âge : de la désobéissance à la révolte : XLIXe congrès de la SHMESP, Rennes, 24-27 mai 2018
Author:
Year: 2019 Publisher: Paris : Éditions de la Sorbonne,

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Les sociétés médiévales accordent une grande importance à la culture de l'obéissance, au respect de la tradition et au principe hiérarchique. Mais elles sont aussi régulièrement secouées par toutes sortes de rébellions, de dissidences ou de révoltes, voire par de véritables révolutions. Ces différentes figures de la contestation ont constitué un domaine de recherche majeur dans les années 1960-1970, porté par les vents de l'époque, avant d'être délaissés ou traités de façon plus parcellaire. À l'heure où les nouvelles recherches sur l'hérésie revisitent les rapports entre désobéissance et rébellion, où l'histoire intellectuelle réexamine la destinée de figures contestataires et où les grandes révoltes paysannes, urbaines ou nobiliaires suscitent un net regain d'intérêt, il convenait de rouvrir le dossier, sans nécessairement évoquer l'anniversaire de la Jacquerie paysanne de 1358, ni l'actualité brûlante du mouvement des « gilets jaunes ». C'est ce qu'a entrepris le XLIXe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, réuni à Rennes en 2018. Les études rassemblées dans ce volume explorent ainsi tour à tour la manière dont les sociétés latines, byzantines ou musulmanes du Moyen Âge ont dit et défini les contestations, les motifs variés qui animaient dissidents ou révoltés, et les formes que prit la remise en cause de l'ordre établi, avant de s'interroger sur la fin des contestations et leurs effets par-delà leur dénouement souvent tragique et leur mémoire dissonante.


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Apprendre, produire, se conduire : le modèle au Moyen Âge
Author:
Year: 2015 Publisher: Paris : Éditions de la Sorbonne,

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Abstract

"Le thème proposé par l'université de Lorraine pour le congrès de la SHMESP en 2014 a eu pour objet la place du modèle dans la transmission médiévale des savoirs, qu'il s'agisse des connaissances intellectuelles, des savoir-faire dans la production des objets, des normes de comportement ou encore des modèles de vie religieuse. Dans ces différents champs, la question du modèle apparaît comme un prisme de l'enquête historique, dans le sens où la transmission des savoirs s'appuie très largement et concurremment sur l'exemplarité et sur la reproduction. Le modèle peut être une personne éminente ou exceptionnelle, la synthèse d'un ensemble d'observations et d'expériences, qui permettent à un individu ou un groupe de construire son savoir, son savoir-faire ou son savoir-être. Le geste, l'image, la parole, l'écrit apparaissent donc comme autant de supports de la transmission. Dans le domaine de l'histoire de la culture matérielle, cette perspective peut mener à s'interroger sur les modalités et les supports de la transmission des savoir-faire. Elle peut aussi conduire à mettre en évidence la place du modèle xet celle du patron dans la production : il peut s'agir du geste ou de l'image que l'on imite, mais aussi d'objets spécifiques qui peuvent faire fonction de prototypes, parfois en vue d'une répétition presque mécanisée. Dans le domaine de l'étude des comportements, la notion de modèle apparaît comme une voie d'enquête fructueuse. Elle se double de la notion d'exemplarité : celle-ci est particulièrement visible dans la figure du bon évêque ou du bon prince, ou encore dans la diffusion des modèles hagiographiques, spéculaires ou tropologiques (éthique philosophique, allégorie, littérature des exempla, consolations, etc.). De la même manière, la littérature, qu'elle soit spirituelle, morale, historique ou romanesque, et les disciplines philosophiques qui englobent tous les artes, véhiculent des modèles ou se réclament d'autorités livresques, religieuses, mythologiques ou philosophiques. Au Moyen Âge, toute oeuvre, toute production et toute action a ses références et ses sources, qu'il importe à l'historien de découvrir et d'interpréter." [Source : 4e de couverture].


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Le marchand au moyen âge
Author:
Year: 1992 Publisher: Saint-Herblain [France] : S.H.M.E.S.,

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Villes capitales au Moyen
Author:
Year: 2006 Publisher: [Place of publication not identified] : Éditions de la Sorbonne,

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Abstract

Ubi papa, ibi Roma : Rome peut bien n'être pas dans Rome puisque Rome est là où réside le pape. Cet adage du xiiie siècle exprime avec force le rapport d'identification entre la ville et le souverain, définissant la capitale par sa fonction de commandement politique. Mais elle s'applique à une capitale étrange au Moyen Âge, qui se rêvait caput mundi mais peinait à s'affirmer comme capitale régionale. Qu'est-ce donc qu'une ville capitale au Moyen Âge ? Au-delà des fausses évidences de la continuité millénaire de la centralisation parisienne et, dans une moindre mesure, londonienne, la question est bien plus complexe qu'il n'y paraît. Certes, le modèle romain de la capitale d'empire a pu se prolonger sous des formes diverses, avec Constantinople, Bagdad ou Le Caire. Mais lorsque les Carolingiens rétablissent l'empire en 800, ils ne retrouvent pas pour autant ce modèle de la capitale d'empire. Si l'on considère l'ensemble des expériences institutionnelles et territoriales de l'Occident médiéval, c'est bien la dispersion des fonctions capitales qui constitue la règle et leur concentration l'exception. En se tenant à Istanbul, à l'invitation de l'Institut français d'études anatoliennes, le xxxvie Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public trouvait un cadre monumental et historique parfaitement adéquat à son objet d'étude, à mi-chemin entre plusieurs expériences politiques que les différentes contributions ici rassemblées entendent confronter, en longue durée. Car faire l'histoire des villes capitales revient à poser la question de la diversité des modèles d'émergence de l'État : les rapports entre le palais et la ville, mais aussi les phénomènes de déplacement du centre de gravité des constructions territoriales, d'abandon ou de reprise de capitales, dessinent plusieurs configurations de pouvoir. Essentielle est, de ce point de vue, la question des marqueurs symboliques : une ville réussit à convaincre qu'elle capitalise différentes fonctions de commandement par des images et des rituels, des mots et des murs, la mobilisation d'une mémoire et la monumentalisation de leurs lieux. Elle peut continuer à jouer longtemps du prestige d'une capitalité évanouie. En saisissant l'impact à la fois matériel et idéel de la centralisation administrative dans la société urbaine, les différentes contributions de ce volume tentent donc de donner tout son sens à cette expression faussement anodine de « ville capitale » au Moyen Âge.


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L'Autorité de l'écrit au Moyen Âge (Orient-Occident) : XXXIXe Congrès de la SHMESP (Le Caire, 30 avril-5 mai 2008)
Author:
Year: 2009 Publisher: Paris, France : Éditions de la Sorbonne,

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Abstract

Le XXXIXe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public s'est tenu, en avril-mai 2008, dans une capitale orientale, Le Caire, pour faire dialoguer ensemble orientalistes et « occidentalistes » et rappeler que la richesse culturelle de l'Orient et de l'Occident au Moyen Âge vient non seulement des héritages communs, mais aussi du dialogue et des échanges qui n'ont cessé durant le millénaire médiéval. Ce volume, intitulé L'autorité de l'écrit au Moyen Age, traite tout à la fois de la production de l'écrit, de l'autorité du document et de la constitution d'archives dans l'Occident médiéval comme dans les mondes byzantin et musulman. Il envisage en premier lieu la place de l'écrit dans les sociétés où la parole et le geste sont essentiels, considérant les groupes qui ont pour métier d'écrire (rédacteurs, clercs de chancellerie, cadis ...), étudiant leurs pratiques et la diffusion des techniques d'écritures mises en œuvre. L'usage de l'écrit conduit à la question de l'autorité du document produit et de son efficacité : l'écrit et les gestes enregistrés, les signes de validation, la qualité des personnes qui le présentent et celle des témoins qui le souscrivent, les choix linguistiques multiples adoptés par les rédacteurs, les situations dans lesquelles le document a été utilisé, même pour le falsifier. Dans le monde musulman par exemple, où la fiabilité de témoins intègres est supérieure à celle d'un document écrit, potentiellement falsifiable, on comprend que le statut du document écrit, son aptitude à faire preuve, soit moindre qu'en Occident où c'est une de ses premières fonctions. La constitution et la conservation d'archives sont au cœur des enjeux de pouvoir : à qui est confiée la garde des documents et dans quels lieux ? Ici aussi Occident et Orient se distinguent par leurs pratiques : les rois de France pensaient que la constitution des registres d'actes royaux manifestait leur pouvoir alors que les souverains musulmans ne voyaient pas dans la conservation systématique de leurs archives, pourtant élaborées de façon sophistiquée, un signe éminent de souveraineté. Ont enfin été abordées les questions des conservations aléatoires, des abandons, des destructions, des copies, des traductions et des faux, ouvrant ainsi de nouvelles pistes de recherche.


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Les échanges culturels au Moyen Âge : XXXIIe Congrès de la SHMES, (Université du Littoral Côte d'Opale, juin 2001)
Author:
Year: 2002 Publisher: Paris : Éditions de la Sorbonne,

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Abstract

À la vision d'un Moyen Âge replié sur lui-même et fractionné en mondes clos, les travaux du XXXIIe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, réuni à l'Université du Littoral Côte d'Opale en mai 2001, opposent le tableau vivant d'une société animée par la vigueur de ses échanges culturels. Donner et recevoir : le système de l'échange est évidemment au cœur de toute vie sociale au Moyen Âge. Il s'agit ici d'un échange de type particulier, où prime la dimension symbolique : de là sans doute l'accent mis sur les reliques, objets cultuels et textes sacrés. Les essais réunis dans ce volume tentent pourtant d'appréhender l'échange culturel dans toutes ses composantes, des plus matérielles (les lieux, les acteurs, les supports) aux plus idéelles (Comment mesurer une influence ? Qu'est-ce qu'une aire de diffusion culturelle ?). Ce qui est en jeu ici, c'est bien l'existence d'un système de communication médiéval, qui associe étroitement la parole, le geste et l'écrit, et permet, grâce à l'intensification des transferts culturels, de voir se dessiner l'ébauche d'une culture européenne.

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