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Savitzkaya, Eugène --- Modiano, Patrick --- Modiano, Patrick, --- Modiano, Patrick, 1945 --- -Savitzkaya, Eugène --- -Modiano, Patrick, 1945 --- -Modiano, Patrick, 1945-
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Essai sur le concept de mauvaise foi en littérature. L'auteur explore la construction de l'oeuvre littéraire, dont la structure est un mélange fluctuant entre le mensonge et la vérité. ©Electre 2016
Literature --- Truthfulness and falsehood in literature --- Discourse analysis, Literary. --- Vérité et mensonge dans la littérature --- Littérature --- Discours littéraire --- Philosophy --- Aesthetics. --- Philosophie --- Esthétique --- Mensonge dans la littérature --- Mensonge dans la littérature --- Littérature --- Discours littéraire --- Esthétique
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French literature --- Jews in literature. --- Judaism and literature --- Littérature française --- Juifs dans la littérature --- Judaïsme et littérature --- History and criticism. --- Jewish authors --- Histoire et critique --- Ecrivains juifs --- Littérature française --- Juifs dans la littérature --- Judaïsme et littérature
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De Montaigne à Perec en passant par La Fontaine, Voltaire ou Stendhal, les plus grands écrivains de notre littérature ont imité d’autres œuvres. Ils ont utilisé, parfois sans le dire, parfois sans en avoir conscience, l’œuvre des autres pour écrire la leur. Car personne n’écrit à partir de rien. Personne ne prend la plume sans avoir à ses côtés un bagage plus ou moins chargé de livres. Une bibliothèque intérieure, parfois partiellement oubliée, parfois bien présente à l’esprit, parfois directement présente à portée de main, ce qui donne la tentation de l’ouvrir. L’imitation est l’un des phénomènes les plus naturels de la création littéraire. Et malgré cela, les écrivains ont souvent ressenti une gêne, une peur diffuse ou une terreur violente à se sentir ainsi dépossédés de leurs propres mots. Écrire sous influence, tremper sa plume dans l’encrier du voisin : de tels gestes menacent les rêves de singularité absolue et d’originalité qui président à notre manière d’évaluer les œuvres. Comment les écrivains ont-ils réagi à cette peur ? Essayer de répondre à cette question amène à se pencher sur les différents paradoxes que les auteurs ont développés pour résoudre l’antagonisme qui oppose l’imitation et l’invention. Ils ont cherché à nous prouver qu’on pouvait guérir l’imitation par l’imitation, penser une imitation sans modèle ou devenir inimitable en imitant. La peur de l’imitation conduit ainsi à sonder les mystères de la création, à s’interroger sur les notions d’originalité et d’identité, à percevoir l’aspect collectif, pluriel, de toute écriture, sans céder aux illusions du génie et de l’inédit. Plus largement, l’angoisse de l’imitation renvoie à la question fondamentale de la littérature, celle qui se pose aux auteurs, aux éditeurs et aux lecteurs : qu’est-ce qui est spécifique dans mon œuvre ? qu’a-t-elle à dire en propre sur le monde, sur Moi et les autres ? qu’apporte-t-elle en regard d’une histoire littéraire déjà copieuse et où tout pourrait déjà avoir été dit ?
Literature --- Imitation (littérature) --- Influence littéraire, artistique, etc. --- French literature --- Imitation in literature. --- Influence (Literary, artistic, etc.) --- History and criticism. --- Creation (Literary, artistic, etc.) --- Littérature française --- Création littéraire --- Histoire et critique --- Imitation in literature
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Romain Gary n’est jamais tout à fait devenu un classique. Peut-être est-ce là un indice pour le lire vraiment : parce qu’iconoclaste et inclassable, son œuvre résiste à cette appellation. Bien qu’étant un des auteurs les plus lus, il fait figure de marginal dans les Lettres françaises. Le romancier a cultivé avec constance le mythe de l’affranchi, du cosaque des lettres, en prisant les personnages de parias, de marginaux et de saltimbanques. Éternel insatisfait de soi, éternel écorché vif, il a entretenu le doute sur sa biographie, brouillé les pistes, recouru aux pseudonymes, toisé la bienséance littéraire, choqué par son irrévérence face aux canons du style et de la construction romanesque, par ses déclarations à brûle-pourpoint et son humour noir. Si l’œuvre de Gary n’a pas toujours été perçue comme de premier plan, c’est aussi qu’il est un écrivain dont la vie suscite le plus grand intérêt du public, au détriment parfois d’une lecture attentive de ses textes. Son nom charrie en effet toute une imagerie. Il s’agirait donc de ne pas le réduire à quelques traits biographiques (le séducteur, le mari de Jean Seberg), à quelques prouesses littéraires (l’affaire Émile Ajar, les deux Goncourt) ou à quelques livres fétiches ("Les Racines du ciel", "La Promesse de l’aube"). Car sous la plume de Gary se fait entendre une voix singulière, aux tonalités multiples. La voix d’un écrivain engagé, fidèle à la France Libre et à de Gaulle, celle d’un romancier en révolte contre l’étroitesse des idéologies, qui n’a jamais dérogé aux exigences qui furent les siennes : le refus de désespérer et la poursuite de l’idéal. Un clown lyrique, un mangeur d’étoiles, un enchanteur, comme le disent si bien ses titres
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Tout lecteur s'est un jour inquiété de ceci face à un texte : comment bien lire ? Il est étonnant que personne ne se demande comment mal lire. C'est pourtant loin d'être une évidence. Il faut de l'art, de l'adresse, de la ruse pour pratiquer une mauvaise lecture véritablement inspirée. Une fois cela admis, vous cesserez de faire uniquement de la lecture une expérience de l'interprétation objective, de la collaboration avec le texte, de l'ordre, de la patience, de la concentration.Laissez-vous envahir par vos passions, laissez flotter votre attention, lisez de travers, sautez des pages. C'est ainsi que vous transformerez ce que vous lisez pour le réinventer. Vous en conviendrez alors : la mauvaise lecture est souvent une excellente manière de lire.
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Heinrich Himmler, chargé de mettre en route la "solution finale", exhortait les nazis à emporter le secret dans leur tombe. Les charniers sont nettoyés, les camps démantelés, les preuves liquidées, les témoins assassinés et le souvenir de leur mort est voué à disparaître. Même si de nombreuses traces ont subsisté et que les historiens ont reconstitué les événements, les faits et la factualité ont été attaqués autant que possible, préparant un oubli sur le long cours dont le négationnisme a su tirer profit. C'est face à ces formes d'anéantissement que la littérature a dû elle aussi réagir. Travaillée par un mal d'archive et un mal du savoir, elle a cherché à faire trace en s'écrivant contre l'effacement, c'est-à-dire à la fois tout contre l'effacement et à l'encontre de celui-ci. C'est de la sorte qu'elle se confronte à ses propres moyens et à ses limites. Des textes survivants, écrits parfois aux portes des chambres à gaz et cachés sous la cendre, aux enquêtes contemporaines des descendants des disparus, c'est la riposte des œuvres face à la dissolution des faits que ce livre retrace. Comprendre une telle riposte, c'est pénétrer au cœur des écritures de la Shoah. Mais c'est aussi donner à entendre cette littérature afin que l'effacement programmé, dont les répercussions sont toujours vives, n'en vienne pas à triompher. Sans quoi, ni le souvenir des victimes ni les générations futures ne seront à l'abri. --
Shoah --- Holocaust, Jewish (1939-1945), in literature. --- Holocaust, Jewish (1939-1945) --- Dans la littérature. --- Historiographie. --- Historiography.
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Jews in literature. --- Judaism in literature. --- Identity (Philosophical concept) in literature. --- Group identity in literature. --- Juifs dans la littérature --- Judaïsme dans la littérature --- Identité dans la littérature --- Identité collective dans la littérature --- Cohen, Albert,
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