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Le guide pratique de la communication animale vue par une vétérinaire. Tous les jours, en observant et en soignant les animaux, je me demande ce qui se cache derrière leurs regards... Que pensent-ils de nous? D'eux-mêmes? Comment perc¸oivent- ils leur environnement, leur entourage? Et si on leur donnait la parole, qu'auraient-ils à nous dire ? Le jour où la communication animale s'est frayée un chemin jusqu'à mon quotidien de vétérinaire, tout a changé. J'ai redécouvert les animaux dont je prenais soin depuis des années et j'ai complètement revu ma fac¸on de voir l'animal. Et vous, croyez-vous qu'il soit possible de communiquer avec eux? Y a-t-il une réalité scientifique possible à la communication animale? Ou pensez-vous que c'est un mythe, un rêve inatteignable ? Dans ce guide, vous découvrirez que la communication avec les animaux n'est pas un don et que tout le monde peut y accéder, mais également : • comment s'en servir ; • comment décrypter les informations rec¸ues ; • comment faire passer un message et être su^r qu'il soit perc¸u. Ce livre vous aidera à mieux comprendre et à mieux prendre soin de votre animal de compagnie au quotidien.
Human-Animal Interaction. --- Communication. --- Communication animale. --- Relations homme-animal.
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Whether under the names of Pythagoras, Orpheus, Pythia, Paul of Tarsus or Enoch, the Ancients wrote under famous names to express themselves. A fundamental phenomenon of Antiquity, pseudepigraphy only became the subject of a monograph in the 1970s, with Wolfgang Speyer’s Die literarische Fälschung im heidnischen und christlichen Altertum (1971) and the Hardt Foundation’s “Entretiens”, Pseudepigrapha I. Pseudopythagorica – Lettres de Platon – Littérature pseudépigraphique juive (1972). The publications attracted criticism from several scholars. More recently, Bart Ehrman’s book on the same topic, Forgery and Counterforgery (2013), has helped to revive the debate, generating both critical and very positive reactions. The aim of this volume is to revisit these important syntheses, looking at them from the perspective of specific figures, as well as different time periods, languages and regions. It also aims to broaden research by testing the various theories set out by the scholarly literature. It has now become essential to extend and reshape this notion of pseudepigraphy, which also relates the themes of authorship, poetic inspiration, the intention of ancient authors, and literary genres. Qu’il s’agisse d’écrire sous le nom de Pythagore, d’Orphée, de la Pythie, ou encore de Paul de Tarse ou d’Énoch, les Anciens usaient de noms d’emprunt célèbres pour s’exprimer. Phénomène fondamental de l’Antiquité, la pseudépigraphie n’a cependant fait l’objet d’aucune monographie avant les années 1970, avec le livre de Wolfgang Speyer, Die literarische Fälschung im heidnischen und christlichen Altertum (1971), et les Entretiens de la Fondation Hardt, Pseudepigrapha I. Pseudopythagorica – Lettres de Platon – Littérature pseudépigraphique juive (1972). Le sujet a alors suscité les critiques de plusieurs savants. Plus récemment, la somme que Bart Ehrman a consacrée à la question, Forgery and Counterforgery (2013), par les vives réactions qu’elle a provoquées – parfois critiques, parfois élogieuses – a contribué à relancer le débat. Le présent volume se propose de revenir sur ces importantes synthèses, en les abordant sous l’angle de figures précises, ainsi que d’époques, de langues et de régions diverses. Il vise aussi à élargir la recherche en mettant à l’épreuve les différentes théories énoncées dans la littérature savante. Il est désormais devenu essentiel d’étendre et de remodeler cette notion de pseudépigraphie qui touche également à celles d’« auctorialité », d’inspiration poétique, d’intention des auteurs antiques et de genres littéraires.
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Whether under the names of Pythagoras, Orpheus, Pythia, Paul of Tarsus or Enoch, the Ancients wrote under famous names to express themselves. A fundamental phenomenon of Antiquity, pseudepigraphy only became the subject of a monograph in the 1970s, with Wolfgang Speyer’s Die literarische Fälschung im heidnischen und christlichen Altertum (1971) and the Hardt Foundation’s “Entretiens”, Pseudepigrapha I. Pseudopythagorica – Lettres de Platon – Littérature pseudépigraphique juive (1972). The publications attracted criticism from several scholars. More recently, Bart Ehrman’s book on the same topic, Forgery and Counterforgery (2013), has helped to revive the debate, generating both critical and very positive reactions. The aim of this volume is to revisit these important syntheses, looking at them from the perspective of specific figures, as well as different time periods, languages and regions. It also aims to broaden research by testing the various theories set out by the scholarly literature. It has now become essential to extend and reshape this notion of pseudepigraphy, which also relates the themes of authorship, poetic inspiration, the intention of ancient authors, and literary genres.
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