Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

The slime mould Physarum polycephalum was a source of explosive growth of bioengineered hybrid sensing and computing devices in the past decade. Being in its vegetative state, the plasmodium, the slime mould configures its protoplasmic network to optimize its geometry with relation to patterns of attractants and repellents. The slime mould's adaptability, polymorphism and aestheticism inspired artists and architects. The slime mould has been seen as a self-conscious liquid form continuously changing its shape in response to external stimulation and due to interactions of thousands of micro-oscillators in its body. Elusiveness is a magic feature of the slime mould. One moment the slime mould gives you a solution to a mathematical problem by a shape of its body, next moment it changes its shape and the solution disappears. Slime Mould in Arts and Architecture presents a set of unique chapters written by leading artists, architects and scientists, which resulted from creative translations of the slime mould behaviour into forms and sounds, unconventional investigations and sensorial experiences and the slime mould ability to remove boundaries between living and artificial, solid and fluid, science and arts. The book gives readers unique tools for designing architectural forms and creative works using the slime mould, understanding how pro-cognitive living substrates can be used in everyday life, it sparks new ideas and initiates further progress in many fields or arts, architecture, science and engineering. Key features : Vibrant concepts of biology, arts, non-linear sciences and architecture are inter-reacting in the book towards the formation of an unorthodox vision of future and an emergent concepts of the physical state, where science and are becoming a singly unity ; Striking polymorphism of contributions, which reflects the vibrant development of the field of bio-inspired and bio-integrated arts and architecture. This makes the publication stand out from the standard art, science or architecture book ; The book provides an in-depth insight and first hand working experiences into current production of art works at the edge of art, science and technology. It provides a unique compendium of works made by a new type of artists and architects who is not only concerned with the visual level of their work but also with scientific conceptualization and theoretical reflection on contextualization of their studies and work in interdisciplinary fields ; Contributions from main stream scientists demonstrate unusual artistic and architectural developments ; All contributors of in the book are from leading artists, architects or scientists, with an impressive track record of exhibitions, installations, and scientific and engineering discoveries. They provide in-depth insights and first-hand working experiences into current developments of art and architectural works at the edge of art, science and technology. Physarum polycephalum est une espèce de myxomycètes de la famille des Physaraceae, vivant dans des zones fraîches et humides telles que les tapis de feuilles des forêts ou le bois mort. Cet amoebozoa est classé depuis 2015 dans les Mycetozoa. Ce myxomycète est surnommé « le blob », y compris par les membres de la communauté scientifique. Organisme unicellulaire, il est doté de certaines capacités d'apprentissage. Son nom binominal Physarum polycephalum lui est donné en 1822 par le mycologue américain Lewis David von Schweinitz. Ce mélange de grec et de latin signifie littéralement « petite vessie à plusieurs têtes ». Son surnom de « blob » vient de son manque de forme particulière, en référence aux autres utilisations du mot blob Ce lien renvoie vers une page d'homonymie, notamment du film de science-fiction The Blob d'Irvin S. Yeaworth Jr. Ce film, sorti en 1958, a pour personnage central un extraterrestre géant et gluant qui grossit en avalant les habitants (la cellule de Physarum polycephalum doublant de taille tous les jours).CaractéristiquesPlasmode de Physarum polycephalum.Visible à l’œil nu, Physarum polycephalum est généralement de couleur jaune, se nourrissant de spores de champignons, de bactéries et autres micro-organismes. Physarum polycephalum est l'un des micro-organismes Eukaryota les plus faciles à cultiver in vitro (du papier absorbant humide et des flocons d’avoine suffisent), et est utilisé comme organisme modèle pour de nombreuses études sur les mouvements amiboïdes et la motilité cellulaire.

Biologie --- Botanique --- Imagerie --- Prototype --- Rapport architecture-nature --- Rapport culture-nature --- Réseau --- Morphologie

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Enseignants --- Rapport au savoir. --- Teachers --- Formation. --- Training of

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Images lumineuses d'un dimanche d'été, au bord d'un lac et en forêt, loin de l'agitation de Berlin. Deux hommes, deux femmes. Qui s'approchent, parlent, rient, se baignent, s'aimeront peut-être. Rien de plus, et pourtant tout est là, le vacarme de la ville comme le souffle du vent sur la partie de campagne. "Nous n'aurons qu'un cri : Magnifique ! Ce film bucolique sur le flirt de jeunes citadins évoque aussi bien Renoir et Pialat."

Années 1930 --- Forêt --- Lac --- Couple --- Rapport ville-campagne --- Allemagne

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Le cheval m’a appris à respecter mon instinct - c’est fondamental. On peut dire que l’homme et le cheval c’est l’assemblage de l’intellect et de l’instinct, et l’un apprend à l’autre. En un sens, j’ai appris à mes chevaux à réfléchir et eux m’ont appris à respecter mon instinct (…). J’ai (aussi) appris avec le temps, en côtoyant les chevaux, à écouter les gens : pas forcément à écouter ce qu’ils sont en train de me dire ; souvent quand quelqu’un veut vous expliquer quelque chose, il veut dire le contraire de ce qu’il est en train de dire. Il se sert des mots pour se protéger. La véritable écoute, c’est essayer de comprendre (…). Être à l’écoute du signe, du signe du corps.

Theater --- art équestre --- instinct --- signe du corps --- cheval --- rapport humain --- théâtre Zingaro --- spectacle

Choose an application

• Reference Manager
• EndNote
• RefWorks (Direct export to RefWorks)

Acteurs et Architectes Architecture et cinéma sont fondamentalement liés l'un à l'autre. Chaplin, Lang, Vidor, Truffaut, Resnais revêtirent des habits d'architecte : la machine cinématographique ne peut se passer d'architecture dans la mise en scène filmique. Pas de cinéma sans bâtiment, sans intérieur ni extérieur, sans porte à claquer ou escalier à dévaler, sans terrasse où promener sa solitude, sans fenêtre ou sans balcon. Le cinéma montre ce à quoi sert l'architecture et ce qui s'y peut produire. Réciproquement, il n'y a pas d'architecture sans scénario. Quel que soit l'espace à créer (habitation, musée, espace urbain ou naturel, décor de cinéma...), l'architecte doit concevoir une scénographie. L'architecture comme le cinéma transforment ainsi chaque sujet en acteur.

architects --- actors [performing artists] --- Architects. Urbanists --- Film: persons --- Rapport art-architecture --- Scénographie --- Cinéma