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Un volume de Mélanges, offert à un enseignant chercheur, lorsque vient le moment de quitter l'enseignement sans nécessairement abandonner la recherche, présente d'autant plus d'intérêt qu'il est à bien des égards le reflet des enseignements et des recherches qui ont jalonné son activité universitaire. Or, lorsque l'on consulte la très longue liste des travaux du professeur Christian Debouy, deux thèmes ont plus particulièrement dominé ses recherches : le contentieux administratif et le droit de l'urbanisme. Il n'est donc guère surprenant que près de la moitié des études réalisées au titre de ce volume de Mélanges que la communauté universitaire, non limitée à sa composante poitevine, lui offre à l'occasion de son départ en retraite, portent sur les deux thèmes précités. Mais le nom même de Mélanges est, en lui-même, une invitation à dépasser les seuls thèmes de prédilections du dédicataire. D'ailleurs, celui-ci, en sa qualité de professeur du droit public n'a pas manqué de s'intéresser à d'autres aspects du droit public, voire du droit privé. Ceci justifie qu'un peu plus de la moitié des contributions de ces Mélanges portent sur les domaines les plus divers du droit administratif, mais aussi du droit constitutionnel et de la science politique, des finances publiques et l'on comprend ainsi le titre donné à ce volume : " Variations autour du droit public ". Mais des variations peuvent conduire à sortir quelque peu du droit public strictement entendu pour intégrer des études de droit privé (assurances, droit médical, droit pénal) qui composent également ces Mélanges.
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Si l’intérêt de la doctrine pour la distinction entre droit public et droit privé n’est pas neuf, plusieurs questions et phénomènes juridiques contemporains imposent de repenser sa pertinence ainsi que les influences croisées entre ces deux pans de la célèbre summa divisio. L’objet de l’ouvrage est d’analyser ces questions afin de jeter un éclairage nouveau sur cette distinction, notamment grâce au pont qu’il se propose de jeter entre privatistes et publicistes. À l’exception des deux premières, toutes les contributions sont en effet rédigées à quatre mains afin de confronter, sur un même objet, les regards de ces deux catégories de juristes qui se ressemblent parfois plus, parfois moins qu’on ne le croit.
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La 4e de couverture indique "« Arrêtez de réclamer sans arrêt ! On est en démocratie quand même, pas en dictature ! Si vous n’êtes pas content, allez voter ! » Cette sentence traduit le sens commun politique : en démocratie, il n’y aurait pas de place pour la réclamation ou, plus exactement , la démocratie donnerait à la réclamation un seul moyen de s’exprimer : le vote. Pourtant , il existe d’autres formes de réclamation – la pétition, la manifestation, le recours au juge, la résistance à la loi... – qui permettent aux citoyens de garder l’œil sur leurs représentants et, le cas échéant, de réclamer contre eux. Pourquoi déclarer des droits, demandaient les révolutionnaires de 1789 ? « Pour servir de fondements aux « réclamations des citoyens », ont- ils répondu. Réclamer en démocratie, c’est la poétique de la démocratie."
Droit public. --- Droit --- Participation sociale. --- Démocratie. --- Philosophie.
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L’objet de ce travail porte sur les relations entretenues par les différentes entités fédérées exerçant la tutelle administrative ordinaire et les communes, à entendre au sens strict, situées sur leur territoire respectif. Concrètement, nous allons étudier le degré d’autonomie laissé aux communes par l’Autorité flamande, la Région wallonne, la Région de Bruxelles-Capitale et la Communauté germanophone, au regard de la tutelle administrative ordinaire. Dans la première partie, nous dresserons le cadre historique et théorique de la tutelle administrative. Nous commencerons par rappeler des concepts clés et donner les caractéristiques de la tutelle administrative, avant d’en aborder les différentes formes. Nous conclurons cette partie en retraçant l’itinéraire emprunté par la tutelle administrative ordinaire en droit belge, qui en suivant la fédéralisation de notre Etat, est passée de l’Etat central à la Communauté germanophone, après avoir d’abord été régionalisée. . Dans la seconde partie, nous aborderons le droit positif en vigueur dans chaque entité fédérée. Nous en donnerons une analyse, basée notamment sur des entretiens menés avec les directeurs généraux de communes belges, avant de véritablement comparer l’autonomie laissée aux communes et émettre des pistes d’amélioration du système.
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Ce travail porte sur la licéité de la modification des plans de secteur par voie décrétale. Comme l’énonce l’article D.II.18 du Code du Développement Territorial wallon (CoDT), le plan de secteur est un outil de fixation et de l’aménagement du territoire. Il détermine les affectations du territoire wallon, d’une part, grâce à des prescriptions graphiques et, d’autre part, grâce à des prescriptions littérales. Ces dernières sont reprises aux articles D.II.22 à D.II.42 de la partie décrétale du CoDT et constituent le « zonage », à savoir les différentes zones d’activités qui composent le territoire wallon. Ces articles donnent ainsi les définitions de chaque zone et ce qu’elles peuvent contenir, à savoir les prescriptions qui y sont applicables. Ces prescriptions ont été plusieurs fois révisées par le législateur. Ainsi, en remaniant les définitions légales des différentes zones, tout en rendant ces nouvelles prescriptions immédiatement applicables aux plans de secteur en vigueur sur le territoire wallon, ces derniers sont modifiés sans passer par la procédure de révision administrative ordinaire normalement prévue à cet égard.
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Urgence (droit public) --- Droits de l'homme --- Droit constitutionnel --- Droit public --- Mesures d'exception --- Pouvoirs exceptionnels
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Public law --- Law --- Droit public --- Droit --- Interpretation and construction --- Interprétation
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Les signes de pathologie législative se multiplient aujourd'hui au point que l'élaboration de la loi peut paraître relever d'une mission impossible. Les parlementaires s'en avisent eux-mêmes, qui multiplient les initiatives en vue de rationaliser le processus législatif. Parmi les remèdes évoqués, deux d'entre eux retiennent l'attention : la création d'un ou de plusieurs corps de légistes, et l'évaluation des lois. Le propos de cet ouvrage, qui rassemble les contributions présentées lors d'un colloque organisé par le CEDRE à la Maison des Parlementaires à Bruxelles le 22 octobre 1998, est de discuter de la pertinence de ces deux suggestions. Au bénéfice d'un dialogue approfondi entre universitaires et acteurs intervenant à chacun des stades de l'élaboration des lois, ce sont plusieurs suggestions qui se dégagent en vue d'améliorer qualité et performances des textes en projet. L'ouvrage attire cependant aussi l'attention sur le fait qu'aussi parfaites que soient les lois, le législateur n'occupe plus aujourd'hui la position centrale qui était la sienne dans l'État libéral classique. C'est que le droit s'écrit désormais en réseau et que la réglementation, contraignante et hiérarchique, le cède maintenant à la régulation, souple et interactive.
Law --- législation --- écriture des lois --- régulation --- droit public --- commission parlementaire
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