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La dénonciation de l'idéologie socialiste par un révolutionnaire polonais qui y voit la dissimulation des intérêts d'une nouvelle classe : les travailleurs intellectuels. L'auteur (1866-1926) montre comment ces capitalistes du savoir cherchent à entraîner les prolétaires dans leur lutte contre les capitalistes de l'avoir, non pour détruire le capital mais pour défendre leurs intérêts. ©Electre 2015

Socialism --- Social conflict --- Socialisme --- Conflits sociaux --- History --- Histoire

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Conflict management. --- Ethnic relations. --- Social conflict. --- Gestion des conflits --- Relations interethniques --- Conflits sociaux

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En 1723, le Parlement anglais adopte une loi terrible, le Black Act, qui punit de pendaison le braconnage des cerfs dans les forêts royales et les parcs seigneuriaux. La peine de mort est bientôt étendue au simple fait de venir y ramasser du bois ou de la tourbe. L'atteinte à la propriété est ainsi criminalisée à l'extrême, et la loi ne sera abrogée qu'un siècle plus tard, en 1827. Cet épisode s'inscrit dans la longue histoire de la résistance paysanne face à la montée d'une conception de plus en plus exclusive de la propriété, qui grignote peu à peu les anciens droits d'usage coutumiers, et réduit les plus faibles à la misère. Il illustre la violence de la domination sociale dans l'Angleterre du XVIIIe siècle, où l'oligarchie règne par la loi du profit et la corruption. L'analyse magistrale qu'en donne le grand historien britannique Edward P. Thompson montre comment s'impose, dans l'arène juridique, l'individualisme possessif face aux droits collectifs. Elle fait revivre la brutalité du pouvoir des notables, et la détermination des braconniers, perdants magnifiques : la « guerre des forêts » est aussi une lutte de classes sans merci

Social conflict --- Royal forests --- History --- Forestry law and legislation --- Criminal provisions --- Great Britain. --- Conflits sociaux --- Droit rural --- Aspect social --- Forestry law and legislation - Great Britain - Criminal provisions

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"Although it is often assumed that resurgent royal government eliminated so-called private warfare, the French judicial archives reveal nearly one hundred such wars waged in Languedoc and the Auvergne between the mid-thirteenth and the end of the fourteenth century. Royal administrators often intervened in these wars, but not always in order to suppress 'private violence' in favour of 'public justice.' They frequently recognised elites' own power and legitimate prerogatives, and elites were often fully complicit with royal intervention. Much of the engagement between royal officers and local elites came through informal processes of negotiation and settlement, rather than through the imposition of official justice. The expansion of royal authority was due as much to local cooperation as to conflict, a fact that ensured its survival during the fourteenth-century's crises. This book thus provides a new narrative of the rise of the French state and a fresh perspective on aristocratic violence"--

Aristocracy (Social class) --- Elite (Social sciences) --- Violence --- Social conflict --- State, The --- History --- Languedoc (France) --- France --- History, Military. --- Social conditions. --- Politics and government. --- Politics and government --- Languedoc --- Aristocratie (Classe sociale) --- Europe --- General. --- History of France --- anno 500-1499 --- Elite (Sciences sociales) --- Conflits sociaux --- Etat --- Histoire --- History, Military --- Histoire militaire --- Conditions sociales --- Politique et gouvernement --- Languedoc [Old French province]