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Louis Thomas architecte, peintre, principal collaborateur de Tony Garnier. Membre fondateur du Groupe Témoignage avec Marcel Michaud (Jean Bertholle, Jean Le Moal, Etienne-Martin, François Stahly, etc). Entretien de Louis Thomas dans l'appartement de l'artiste rue Rivet à Lyon. Ce film reconstitue la vie et l'itinéraire de l'artiste-architecte. Illustrations : peintures de Louis Thomas et documents d'archives.
Interview --- Biographie --- Architecte --- Peinture --- Rapport art-architecture
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Filmer l’échec avec maestria. Tel est le cœur de ce thriller, peut-être le meilleur de De Palma, hommage croisé au "Blow up" d’Antonioni et au "Conversation secrète" de Coppola. "Blow out" est tiraillé entre la vie et la mort : la mise en scène, gourmande en morceaux de bravoure, filme les meurtres comme des scènes d’amour. Avec la conviction que le cinéma peut sauver le monde lorsque l’ingénieur du son John Travolta se bricole son propre film, mental comme sur pellicule, pour démontrer l’existence d’un complot. Mais cette énergie tient du désespoir lorsqu’elle est en permanence déjouée par des forces plus grandes (la politique, la fatalité ou même l’amour)."Blow out" est le dernier grand film des seventies : l’ère du soupçon entamé par le Watergate dégénère, la croisade citoyenne façon "Les Hommes du Président" y est corrigée par le film d’horreur et un romantisme névrosé, incarnés dans un final absolument bouleversant, à la fois midinette et sordide.
Photographie --- Rapport lumière-architecture --- Thriller --- États-Unis
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Ce mémoire a pour but de fournir au lecteur des clés de lecture permettant de comprendre le fonctionnement d'effets de contrastes lumineux, ainsi que de déterminer leur influence sur la perception de l'espace. Le mémoire se concentre exclusivement sur des effets produits à l'aide de lumière naturelle. Les clés données doivent permettre au concepteur de produire ou reproduire des ambiances lumineuses en s'aidant de paramètres composants les différentes ambiances. Ces paramètres sont le niveau lumineux d'ambiance, la rugosité des parois, la transparence des parois, la taille des ouvertures, la position des ouvertures, la morphologie des ouvertures ainsi que la réflectivité des parois. Il a également comme objectif de proposer une structuration de ces ambiances en sept grandes familles (temporalité, matérialité, spatialité, ambiance, parcours, filtre et taches lumineuses.) Cette structuration doit aider le concepteur dans sa recherche afin de lui permettre de reproduire un effet d'un certain type. Le mémoire est découpé en deux grandes parties. La première, d'ordre théorique, consiste à présenter et expliquer différents concepts intervenant dans les contrastes lumineux. A ces concepts, sept paramètres importants ont été présentés ; ceux-ci servent à analyser les effets présents dans la deuxième partie. La seconde partie est une classification d'ambiances lumineuses regroupées dans les différentes familles énoncées précédemment.
Perception de l'espace --- Rapport lumière-architecture --- Perspective
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La lumière naturelle est essentielle à l'expérience d'un espace architectural. L'analyse méthodique des "mécanismes de la lumière naturelle" présents dans l'architecture des bibliothèques d'Alvar Aalto fait l'objet de ce mémoire. En hiver et en été, depuis Rovaniemi en Laponie finlandaise jusqu'en Allemagne, nous découvrions les différentes réalisations de l'architecte. A l'aide de mesures précises d'éclairement réalisées par l'auteur, de reportages photos, de descriptions pointues, nous découvrirons les différentes techniques d'éclairage naturel mises en oeuvre sous ces latitudes nordiques. Chaque "mécanisme-lumière" sera analysé en détail puis synthétisé, afin de nous expliquer comment Aalto a réussi à composer une réelle scénographie d'"espaces-lumière" tout à fait remarquable. De nombreuses théories architecturales existent sur les oeuvres d'Alvar Aalto. Cependant, aucune d'entre-elles ne s'est vraiment penchée sur les réelles caractéristiques lumineuses de ses oeuvres construites. La réalité est-elle le reflet exact des théories décrites? Sur base de plans originaux d'Aalto retracés, de représentations fausses- couleurs et d'histogrammes d'intensité lumineuse, nous verrons si l'architecte a réussi à atteindre un niveau d'éclairement suffisant, agréable et surtout adapté à chaque fonction d'une bibliothèque.
Rapport lumière-architecture --- Bibliothèque --- Aalto, Alvar, 1898-1976 --- Finlande
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Sous le titre "l'ombre et l'espace", nous avons souhaité rendre hommage à l'ombre dans l'architecture. Dans les études sur la luminosité, l'ombre est souvent présentée comme conséquence de la lumière et étudiée comme telle. On pouvait donc se demander s'il y a une place pour l'ombre dans ce contexte. Au contraire, nous avons voulu montrer sa grande importance, indépendamment de tout artifice lumineux. Nous avons donc été amenés à décrire les grands principes de l'ombre et son mode de fonctionnement. Nous montrons comment l'ombre est l'outil indispensable pour construire l'espace même si elle est pensée différemment en fonction de notre culture. Nous oublions sa beauté et le fait que, c'est grâce à elle, nous percevons ce qui nous entoure. Nous nous sommes donc attachés à comprendre sa subtilité. En effet, derrière une connotation souvent péjorative, l'ombre est faite de tonalités d'une richesse inouïe, du noir total à un éclairement vaporeux. Elle va influencer les personnes et les lieux. Nous avons étudié comment les architectes, en utilisant les finesses du jeu du plein et du vide, peuvent créer de véritables mises en scène. Au-delà , l'ombre va entraîner, et l'architecte saura l'utiliser, excitation, frissons, calme et sérénité. En ce sens, on peut dire que l'ombre donne forme aux lieux mais aussi leur donne vie.
Ombre --- Lumière --- Espace architectural --- Perception de l'espace --- Rapport lumière-architecture --- Mise en lumière
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L’enseignement professionnel a fréquemment été traité dans des films éducatifs destinés aux Congolais. Le pouvoir en place a toujours voulu les encourager à choisir une orientation professionnelle qui puisse répondre aux besoins économiques du pays. Cette importante structure qu’est le centre pilote d’orientation professionnelle de Léopoldville est l’exemple par excellence de cette volonté puisque, comme c’est précisé dans le documentaire, elle a pour but de placer « chaque individu à la place qui lui convient » et à procurer satisfaction aux individus et à combler les besoins de la collectivité.Ce film indique donc la manière de procéder pour être orienté dans des métiers techniques et professionnels porteurs d’avenir. A Léopoldville, tout candidat qui le souhaite est soumis à une série de tests médicaux, intellectuels et de logique afin de déceler ses capacités générales. Ensuite, les enquêteurs lui font passer des tests d’aptitudes plus précis sur des dispositifs adaptés au genre de travail manuel envisagé. Les examens montrés en exemple dans ce documentaire sont d’une étonnante simplicité mais concernant essentiellement l’aspect psychomoteur : placer des jetons d’une planche à l’autre en fonction de leur numéro, opération de triage indispensable pour un travail dans un bureau de poste, par exemple. Le sujet doit avoir le coup d’œil rapide et précis et savoir raisonner. Le commentaire indique aussi que la brousse n’est pas laissée pour compte : une formation accélérée est prévue pour répondre aux nombreuses demandes dans tous les métiers ayant trait aux domaines économiques et industriels.Il est toutefois important de signaler que, uniquement pour les scènes tournées en villes, le film met indistinctement en scène jeunes Belges et jeunes Congolais (l’on voit, par exemple, un assistant médical congolais mesurer un jeune garçon européen ou un professeur parlant à des parents d’élèves issus des deux communautés). Vu l’époque où le film a été tourné, celui-ci exemplifie la volonté de rapports intercommunautaires promue par la politique coloniale de l’époque
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Enseignement --- Profession --- Rapport intercommunautaire --- Technique --- Congo belge --- Belgique
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Ce court métrage documentaire présente la vie quotidienne dans un couvent dominicain «au cœur de la forêt d'Afrique». Il se déroule chronologiquement du réveil des frères au son de cloche jusqu'au soir. Une douce musique donne un ton particulièrement chaleureux et convivial au sujet traité. La journée commence par la toilette, le commentaire du film décrit et nomme les différents attributs vestimentaires des «frères». Puis, il évoque les différentes occupations des jeunes prêtres qui sont, tour à tour, fermiers, menuisiers, maçons, charpentiers, mécaniciens ou tailleurs. Toutes ces activités répondent aux besoins de la communauté, où «le travail ne manque pas». La formation des candidats au sacerdoce dure sept années au cours desquelles ils se forment à la théologie et à la philosophie. Le film présente ensuite une séquence de repas communautaire, qui se passe en silence. La lecture d'un frère rythme le moment de « recueillement et de partage». Les images montrent ensuite les loisirs au cours desquels les prêtres peuvent laisser place à leurs «préférences individuelles», en jouant au volley-ball ou en faisant de la musique, en s'adonnant aussi à l'étude ou aux activités qui leur permettent de reprendre contact avec la nature.Le ton du film est fidèle au sujet qu'il traite. Ainsi, la conclusion du documentaire souligne la morale générale du couvent: «La modestie de chacun souligne la grandeur de la tâche commune».Il faut remarquer que ce film de commande s'attache à faire l'éloge du couvent et de la vie religieuse. Il semble que ce contexte particulier déjoue les hiérarchies raciales qui caractérisent souvent le système colonial. Subsumé par la foi chrétienne, Blancs, Noirs, riches et pauvres semblent vivre dans les mêmes conditions: tel est du moins le discours qui transparaît
Colonie --- Sources --- Formation --- Mission religieuse --- Rapport intercommunautaire --- Sacerdoce --- Loisir --- Congo belge --- Belgique --- Viadana
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Dans Figures de l’histoire, Jacques Rancière poursuit sa subtile réflexion sur le pouvoir de représentation des images de l’art. Comment fait l’art pour rendre compte des événements qui ont traversé une époque ? Quelle place attribue-t-il aux acteurs qui les ont faits – ou à ceux qui en ont été victimes ? D’Alexandre Medvedkine à Chris Marker, de Humphrey Jennings à Claude Lanzmann, mais aussi de Goya à Manet, de Kandinsky à Barnett Newman, ou de Kurt Schwitters à Larry Rivers, ces questions ne sont pas seulement celles que posent les spectateurs aux oeuvres qu’ils rencontrent. Elles sont celles de l’histoire de l’art elle-même. S’interroger sur la manière avec laquelle les artistes découpent le monde sensible pour en isoler ou en redistribuer les éléments, c’est s’interroger sur la politique au coeur de toute démarche artistique. Telle est la démarche de Jacques Rancière, pour qui il n’est pas d’image qui, en montrant ou en cachant, ne dise quelque chose de ce qu’il est admis, dans tel lieu ou à tel moment, de montrer ou de cacher. Mais aussi pour qui il n’est pas d’image qui ne puisse, en montrant ou en cachant autrement, rouvrir la discussion à propos des scènes que l’histoire officielle prétendait avoir figées une fois pour toutes. Représenter l’histoire peut conduire à l’emprisonner – mais aussi à en libérer le sens
Histoire du cinéma --- Symbolique --- Philosophie --- Rapport du créateur à l'objet créé --- Philosophie de l'art --- Image
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Ce livre n'est ni un traité des signes de ponctuation en usage, ni un ouvrage sur la ponctuation à telle époque, dans tel genre ou chez tel auteur. C'est un essai qui pose la ponctuation comme un objet esthétique pour en faire la pierre de touche d'une expérience du temps dans l'écriture, tout particulièrement la prose romanesque : plaçant son objet au carrefour de plusieurs domaines, il les fait jouer ensemble en s'intéressant non seulement aux textes de Proust, Simon ou Gracq, mais aussi à des œuvres d'artistes contemporains comme Parmiggiani ou Serra. Le terme s'emploie en effet aussi dans les arts comme la musique, la peinture, le cinéma ou l'architecture, où les places et les axes marquent la déambulation du piéton et ponctuent son cheminement. Le parcours du lecteur de roman est ainsi rapproché in fine de celui du spectateur des installations de Richard Serra, celle du musée Guggenheim de Bilbao, The Matter of Time, ou celle qui a été proposée au Grand Palais en 2008, Promenade. Marcher dans la phrase, marcher dans le temps, marcher dans «La Matière du Temps» : la ponctuation marque les temps de la lecture comme elle marque les temps de la promenade du visiteur. Elle serait alors un des critères nécessaires de l'œuvre d'art.
Punctuation --- Literature --- Art and literature --- Littérature --- Art --- Ecriture --- Rapport du spectateur à l'objet créé --- Temporalité --- Lecture --- Aesthetics --- Literature - Aesthetics
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