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Logique --- Philosophie du langage --- Philosophie du langage
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Michael Halewood uses ideas from analytic philosophy and continental philosophy as well as social theory to look at how language relates to the world, and the world to language. He addresses important questions such as whether words are able to capture the world (nouns); whether the properties of things, such as colours, are real (adjectives); and how we can think about the world as process (verbs).
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Dans cet ouvrage audacieux et profondément original, on découvre la virtuosité d’un penseur (fusillé à cause de ses idées en Union soviétique en 1937) qui associe intimement science, théologie et linguistique en un seul et même organisme. Ce texte, écrit en 1920, défend une thèse surprenante : les mots ne se réduisent pas à de simples vibrations de l’air, ils sont d’authentiques organismes vivants et ont une énergie propre. Cette énergie, projetée au bon endroit et avec précision, agit sur le monde et sur les hommes mieux qu’aucun artifice de la technique. C’est précisément cela que l’auteur appelle magie. Mais le mot n’aurait pas que le pouvoir de changer le monde, il aurait aussi celui – par le prénom – de façonner la personnalité. Florenski en est si convaincu qu’il rédige en parallèle un curieux ouvrage sur la force des noms. Nous en donnons dans cette édition un extrait portant sur celui de l’auteur, lequel constitue ainsi un exercice insolite ayant valeur d’autobiographie
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C'est l'esquisse d'une théorie de l'expression, mais aussi de l'histoire, que livre cet ouvrage. La moitié qui en était écrite avant 1952 demeura en chantier, tandis que son auteur, sans cesser d'agiter les questions qui l'avaient nourri, se tournait vers d'autres entreprises. Merleau-Ponti interroge ici les travaux du linguiste et du psychologue, l'art du peintre et de l'écrivain. Au centre de sa réflexion, l'idée de la prose, du travail des signes qui animent le sens et ne s'effacent devant lui que pour composer un nouvel organe de la culture. A l'époque où il vient d'achever les premiers chapitres de son livre, une lettre adressée à un philosophe contemporain précise au mieux son intention. "Toute grande prose, écrit-il notamment, est aussi une recréation de l'instrument signifiant, désormais manié selon une syntaxe neuve. Le prosaïque se borne à toucher par des signes convenus des significations déjà installés dans la culture. La grande prose est l'art de capter un sens qui n'avait jamais été objectivé jusque-là et de le rendre accessible à tous ceux qui parlent la même langue. Un écrivain se survit lorsqu'il n'est plus capable de fonder ainsi une universalité nouvelle, et de communiquer dans le risque. Il nous semble qu'on pourrait dire aussi des autres institutions qu'elles ont cessé de vivre quand elles se montrent incapables de porter une poésie des rapports humains, c'est-à-dire l'appel de chaque liberté à toutes les autres. Hegel disait que l'Etat romain, c'est la prose du monde. Nous intitulerons "Introduction à la prose du monde" ce travail qui devrait, en élaborant la catégorie de prose, lui donner, au-delà de la littérature, une signification sociologique.
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