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Habitat défectueux --- Pathologie urbaine --- Liège --- Liège-province
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Habitat défectueux --- Pathologie de la construction --- Pathologie urbaine --- Belgique
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Dernier épisode de la trilogie documentaire de Fabrice Macaux, mettant en scène les habitants du quartier de la Muette. Le quartier de la Muette est en pleine réhabilitation : des immeubles tombent, tandis que d'autres voient le jour, et cela depuis 4 ans. Pour les élus, les responsables de l’urbanisme et les associations de Garges-lès-Gonesse, la Muette est bien plus qu'un pari : c'est un enjeu. Plusieurs familles de ce quartier témoignent de cette mutation, qui soulève aussi bien les craintes que les espoirs. Quelle place auront-ils dans ce nouveau cadre de vie ? Comment le quotidien va-t-il s'organiser désormais ? Karima, Fatima, Mardia, leurs amis ou leurs voisins nous ont ouvert leur porte. La colère se mélange à l'enthousiasme et laisse entrevoir l'opportunité d'une vie meilleure.
Banlieue --- Sociologie urbaine --- Comportement social --- Sociologie --- Pathologie urbaine
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Puissance 1000 met en exergue la vie de Kaki Diarra, un jeune âgé de 20 ans issu du quartier de la Muette à Garges-lès-Gonesse (95). Le film commence à un moment charnière; alors qu’il a subi quelques semaines auparavant une agression, Kaki refuse de se placer en victime et de se laisser envahir par la haine. Au fur et à mesure, Kaki se révèle. Posément, il affronte cette blessure physique et psychologique. Le portrait de ce jeune homme en mouvement se calque sur celui de son quartier en pleine rénovation urbaine, en plein devenir.
Banlieue --- Sociologie urbaine --- Comportement social --- Sociologie --- Pathologie urbaine
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Tout en abordant les thèmes profondément japonais que sont la perte identitaire et l'aliénation urbaine (les grands blocs de bétons résidentiels sans âme ou encore les minuscules appartements dans lesquels on s'entasse), Takashi Ito défend la capacité de l'oeil caméra à imprimer sur pellicule des fantasmagories invisibles à l'oeil nu. On retrouve ainsi chez lui des effets de lumière qui ont depuis parasités tout le spectre du cinéma horrifique.
Urbanisme --- Ville --- Art abstrait --- Expérimental-essai --- Structuralisme --- Pathologie urbaine --- Japon
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Depuis 2009, la majorité de la population mondiale habite en ville. Celle-ci est un lieu de ressources potentielles : logement, emploi, enseignement, culture, santé, loisir, commerces, mobilité. Mais vivre en ville ne garantit pas l'accès aux ressources fondamentales pour tous les habitantes et habitants. Interroger l'accessibilité des ressources d'un territoire, c'est s'engager à identifier les obstacles qui empêchent cet accès. Cela nous mène à questionner les politiques publiques liées à l'emploi, au logement, à la santé, à la culture... L'option choisie est de partir des mobilités quotidiennes pour évaluer l'accès aux ressources qu'un aménagement urbain, spatial et temporel, rend possible pour les individus. L'idée est de passer en revue les inégalités et les obstacles pour ouvrir des propositions et perspectives d'une action urbanistique correctrice de ces inégalités. Comment construire une ville accessible pour les plus vulnérables ? Comment aménager une ville qui, si elle ne déjoue pas l'ensemble des obstacles que peuvent rencontrer les plus précaires, du moins ne les renforce pas ? La recherche porte donc en premier sur la question de la mobilité. L'entrée de la réflexion est l'imbrication du spatial et social, de l'espace urbain et des rapports sociaux, pour en dégager un aspect essentiel trop souvent invisibilisé le care ou le travail du soin. Ce dernier exige que l'aménagement urbain se saisissent des itinéraires géographiques et des relations sociales. Pour ce faire, des entretiens ont été réalisés auprès de ceux et celles qui sont le plus vulnérables en étudiant les pratiques de mobilités quotidiennes des travailleuses domestiques pour dégager des spécificités de leurs parcours dans Bruxelles.
Mobilité --- Aménagement du territoire --- Rapports sociaux --- Discrimination --- Pathologie urbaine
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Ces récits de la ville malade répondent aux discours sur la prolifération des taudis, la ghettoïsation des cités, la disparition du patrimoine, la gentrification des quartiers populaires et la dénaturation des villes, et décèlent les prémices d'un nouveau discours lié à la pandémie du Covid-19. Selon le vocabulaire international de sociologie des villes, le monde urbain contemporain s'enchante de ses Smart Cities, Green Cities, Inclusive Cities et autres Slow Cities mais qu'en est-il des Sick Cities ? Sont-elles restées dans l'angle mort de l'observation des chercheurs ? Les récits de la ville malade, rassemblés ici par le sociologue et historien Yankel Fijalkow, répondent aux discours sur la prolifération des taudis, la ghettoïsation des cités, la disparition du patrimoine, la gentrification des quartiers populaires et la dénaturation des villes.Ce livre propose trois " récits de ville " : les îlots insalubres au début du xxe siècle ; la critique du progrès dans les années 1970 ; la peur de la perte de l'authenticité dans les années 2000. Dans les textes politiques, les géographies littéraires ou les rapports d'expertise, la répétition de ces narrations s'inscrit dans une grammaire spécifique. Les îlots insalubres parisiens au début du xxe siècle, les campements, la Zone, les bidonvilles et les taudis contemporains sollicitent nos regards et nos jugements. Comme en 1950 puis en 1970, la pratique de la rénovation urbaine revient en 2000 suivant le mot d'ordre radical des politiques : démolir et reconstruire. Comme en 1930, les petites villes et les pays reviennent à l'agenda des acteurs de la ville : décideurs, élus, habitants. A chaque modernité nouvelle, les sociétés urbaines sont prises par la folie de démolir et retrouvent les accents d'une passion patrimoniale qui les conduisent à rechercher des espaces préservés et " authentiques ".Que dire de l'éternel recommencement, des discours des experts proposant de répondre à la " crise " ? Peut-on dresser la sociologie des récits de la ville malade obsédant l'histoire urbaine à la manière d'un ostinato ? Peut-on dessiner la géographie de ces lieux malheureux : marges, périphéries, centres et archipels ? Peut-on rapprocher les composants du Story Telling - du politologue William Roe Polk - sur la ville malade et la mise en scène du récit de la cité idéale ? Peut-on dépasser la rationalisation et la romantisation de l'urbain ? Yankel Fikalkow construit un discours dans le temps, un discours configuré et situé. Les représentations mettent en jeu l'imaginaire collectif de la ville, la manière dont se dessinent des intentionnalités capables de s'inscrire dans des projets comme l'a montré l'historien et géographe Marcel Roncayolo. Chaque situation de transformation urbaine apparaît comme une scène racontée par des acteurs sur des lieux et des processus spatiaux, persuadés de disposer d'un savoir légitime sur la ville. Car la formation du récit commun de la bonne ville est politique. Cette enquête interroge l'éternel scénario de la ville malade et pose un ensemble de questions face au présent de notre condition urbaine : est-il toujours porteur d'invention ? Les regards critiques sur la ville ne peuvent-ils que conduire les aménageurs à construire des Fake Cities ? Peuvent-ils les empêcher ? L'auteur, dans un chapitre ultime, propose une analyse à chaud de la pandémie du Covid-19, non pour décrire une situation clinique mais déceler les prémices d'un nouveau discours sur la ville malade.Ce chapitre développe les arguments suivants : l'oubli de l'hygiénisme et/ou sa réinterprétation partielle, imprécise et erronée ; la négligence à l'égard des sciences sociales et de la complexité des mondes sociaux urbains ; la quasi-incrimination de certains quartiers ; la méfiance renouvelée à l'égard des villes... La privation des usages publics de l'espace urbain au nom de mesures sanitaires est un problème majeur alors que l'un des maux qui frappent la ville contemporaine est le recul des espaces publics et leur transformation en espaces de marchandisation, de " mise en tourisme ", de " upgrade " au nom de l'attractivité, du confort, et, bientôt sans doute, au nom de critères environnementaux et sanitaires...
Embourgeoisement (urbanisme) --- Sociologie urbaine --- Hygiénisme --- Gentrification --- Politique urbaine --- Hygiénisme --- Pathologie urbaine
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Thierry, l'un des "sans domicile fixe" de Paris, est mort d'une overdose en décembre 1991 dans l'indifférence et l'anonymat. Petit loubard d'abord, il traîne dans les rues et ne va à l'école qu'une fois sur deux. Routard à l'adolescence, il parcourt la France sac au dos, pour devenir très vite un "zonard", modelé par la drogue et des passages répétés en prison. Personnage cependant hors du commun, il a fait l'objet de deux films : le premier, lorsqu'il avait 15 ans, en 1972, le second en 1990, 1 an et demi avant sa mort. Ce film est donc le portrait d'un absent à travers les témoignages des personnes qui l'ont connu ou croisé et auxquels se mêlent les images du souvenir : Thierry à 15 ans, Thierry à 30 ans. Par son approche intimiste, le récit de ce destin tragique met en exergue la volonté, la force et la liberté farouche qui animent un homme en pleine rupture sociale.
Années 1990 --- Comportement social --- Portrait --- Exclusion sociale --- Pathologie urbaine --- Sans abri --- Pauvreté --- France --- Paris (France)
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