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La pratique du droit exige rigueur et méthode. Cela tient d'abord à sa dimension logique. L'ouvrage entend présenter la logique juridique à travers son histoire, sa structure et sa fonction. Caractéristique du droit moderne, la logique juridique apparaît comme une composante de l'État de droit. La logique juridique est analysée dans l'ouvrage non seulement comme fondement de la décision en droit, mais également dans ses rapports avec les méthodes juridiques non logiques. De la sorte, la compréhension de la logique juridique permet, de façon plus large, l'accès au raisonnement et à l'argumentation juridiques, et donc à la méthodologie générale de l'application du droit. Illustré par des exemples concrets, qui sont examinés à la lumière de la logique moderne, l'ouvrage vise à éclairer les juristes expérimentés sur leurs modes de raisonnement, et à former les néophytes à la rigueur du droit. Il permettra également aux non-juristes de s'initier au mode de pensée propre au droit.
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Présentation de l'éditeur : "L'ouvrage a pour objectif de présenter l'ensemble des types d'arguments présents dans le monde du droit, ne se limitant donc pas au droit français : le syllogisme judiciaire, la définition juridique, la présomption, les arguments a contrario, a fortiori, etc. Chacun de ces arguments est remis dans son contexte historique et philosophique, analysé et illustré. L'approche est critique, il ne s'agit pas de résumer les apports des théoriciens mais de mettre en perspective l'ensemble de leurs travaux, afin de se concentrer sur la présentation des arguments. L'ouvrage sera utile tant à l'étudiant en droit qu'au praticien expérimenté de l'argumentation juridique. Un glossaire rend son maniement plus facile"
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Logique juridique --- Droit comparé --- Philosophie --- Logique juridique --- Droit comparé --- Philosophie
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En matière de méthodologie, les juristes ont le plus souvent eu pour réflexe de se réapproprier des modèles provenant d'autres champs de savoir. Cette attitude présente plusieurs difficultés. Elles reposent tout d'abord sur une part de fiction. Les juristes ne sont ni des mathématiciens, ni des physiciens, ni des biologistes, ni des historiens, ni encore des sociologues. Tout au mieux font-ils comme s'ils l'étaient. Par ailleurs, bien que les réappropriations méthodologiques opérées visent fréquemment à ériger le savoir juridique au rang de science, cette prétention n'est pas exempte d'ambiguïtés, ni de malentendus. Cela tient essentiellement au fait que, dans le domaine juridique, il existe deux niveaux de langage, à savoir le langage du droit lui-même et le langage du savant qui l'appréhende. Du point de vue d'une méthodologie analytique, ces deux niveaux devraient être rigoureusement distingués. Toutefois leur confusion est régulièrement entretenue. Pour certains, en effet, les juristes feraient d'autant plus preuve de science qu'ils se révèleraient capables de reproduire, parfois en vue de les prédire, les méthodes, les raisonnements et les solutions retenus par les autorités normatives qu'ils observent. Pour d'autres également, le métier de juriste est avant tout celui d'un bon connaisseur de la technique du droit positif. Cette proximité gardée à l'égard de l'objet analysé est mal comprise par les autres sciences humaines et sociales qui situent les efforts de distanciation et d'objectivation au rang des premiers réquisits méthodologiques du savoir scientifique. Dès lors, les réflexions méthodologiques dépassent les enjeux internes au champ juridique. Elles sont cruciales pour qui veut garder des clés de compréhension des déplacements épistémologiques dont sont porteuses l'évolution des techniques de connaissance et l'émergence de nouveaux objets d'étude (environnement, bioéthique, nouvelles technologies, globalisation, déplacement des rapports entre l'individuel et le collectif...) et qui défient les découpages disciplinaires hérités du siècle dernier.
Droit --- Logique juridique --- Méthodologie --- Philosophie --- Histoire --- Logique juridique. --- Méthodologie. --- Philosophie. --- Law --- Methodology --- Philosophy --- History --- France
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Il est fréquent d'entendre qu'il existe une façon de raisonner qui est propre aux juristes. Parfois entendue positivement - au sens de la précision du raisonnement ou de ses termes - et parfois négativement - le goût de l'argutie, le caractère procédurier, l'excès de formalisme -, cette façon de raisonner est même tenue pour être la caractéristique principale du droit et de ses experts. Si donc l'on tient une forme de raisonnement pour spécifique au droit (ce qu'on peut appeler le juridisme), il reste à se demander de quoi elle est faite, au-delà des poncifs tenant à sa rigueur et à son formalisme. Cet ouvrage s'inscrit résolument dans une perspective ethnographique du raisonnement juridique qui se donne comme objectif de décrire comment ce dernier opère en situation. Ses contributions s'organisent selon trois axes. Le premier rassemble des textes qui traitent des catégorisations de sens commun et de leur lien étroit avec les catégorisations juridiques. Le second s'intéresse à l'établissement des faits de la cause. La dimension factuelle du raisonnement juridique est étroitement liée aux questions de preuves matérielles ou testimoniales. En filigrane apparaît la question de la vérité judiciaire qui émerge du jugement et se construit peu à peu à travers les différentes opérations matérielles et cognitives mises en oeuvre par les magistrats. Enfin, le troisième axe s'intéresse aux rapports entre droit et culture. La grande variété des ethnographies présentées dans cet ouvrage, variété qui doit autant aux dispositifs méthodologiques qu'aux terrains de recherche, permet d'appréhender le raisonnement juridique à travers ses divers accomplissements pratiques. S'appuyant tantôt sur les interactions observées lors d'audiences judiciaires, tantôt sur le processus décisionnel ou encore sur l'analyse documentaire et le compte-rendu du travail d'enrôlement des professionnels du droit autour d'un cas particulier, le raisonnement juridique se déploie au gré des cas problématiques qui sont soumis aux cours et tribunaux afin que soit dit le droit censé résoudre le problème et mettre fin au conflit. Toutes les contributions partagent une même attention accordée au processus de « mise en pertinence » des cas à résoudre. Elles révèlent la richesse de la démarche ethnographique qui, en étant au plus près des pratiques des professionnels et des experts du droit, éclaire des points jusque-là restés aveugles du raisonnement juridique.
Ethnologie --- Logique juridique. --- Droit. --- Droit --- Interprétation. --- Prise de
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Plus de vingt années après son introduction, la citoyenneté de l'Union européenne a en grande partie été construite par la jurisprudence de la Cour de justice de l'Union européenne. Elle offre un terrain d'enquête particulièrement fécond pour développer une nouvelle perspective sur l'activité du juge. C'est ce que propose cet ouvrage en faisant porter la recherche sur le juge et le travail des concepts juridiques ; c'est-à-dire sur l'activité du juge - les concepts travaillés - et sur le rôle des concepts dans le raisonnement juridique - les concepts au travail. L'approche retenue se distingue tant des études classiques sur le juge, focalisées sur l'interprétation, que des travaux qui se concentrent sur les rapports de pouvoir entre les acteurs. Il est proposé de comprendre le droit de l'Union dans ses propres termes, afin d'entreprendre une enquête sur les pratiques conceptuelles du juge. Ce faisant, ce travail défend une approche non-formaliste des formes juridiques.
Citoyenneté --- Droit --- Logique juridique --- Philosophie --- Citizenship --- Law --- Philosophy --- Judges --- Juges
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Il est courant de se sentir perdu devant un argument, sans savoir s'il est valable ou non. Ce livre présente les outils pour résoudre cette question : la logique, qui décrit quels sont les raisonnements valides ; et la rhétorique, qui explique les mécanismes subtils par lesquels on peut se laisser tromper par un argument convaincant, mais erroné. Science de la pensée rationnelle, la logique s’est donné pour tâche de dégager les grands principes théoriques permettant de distinguer les raisonnements corrects des raisonnements fallacieux. Au cours de son histoire, elle a forgé des outils d’analyse de plus en plus précis et rigoureux. Ces développements ont abouti aux divers systèmes formels de la logique symbolique dont nous disposons aujourd’hui. Il est désormais possible de traiter de nombreux raisonnements comme de calculs dont la validité est assurée par le seul respect de règles d’inférence préalablement établies. La question de la légitimité de nos argumentations quotidiennes suppose cependant que l’on prenne également en compte des critères qui relèvent d’autres dimensions – dialectique, topique, rhétorique ou linguistique – de l’argumentation. C’est en se fondant sur l’ensemble de ces analyses que l’on peut évaluer l’usage en contexte de tel ou tel schéma d’inférence et déterminer, par des questions critiques, s’il fait l’objet d’une utilisation globalement rationnelle ou d’un abus sophistique.
Logique --- Argumentation --- Logique juridique --- Logic --- Logic, symbolic and mathematical --- Reasoning
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