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L'œuvre de Pierre Legendre est immense par son volume (plus de quarante ouvrages) et son originalité. Elle traite de façon exigeante de "? l'animal humain doué de parole ? " et de la société considérée comme un Texte. Dans cette œuvre se mêlent les approches juridico-historiques, généalogiques, philosophiques, socio-théologiques et psychanalytiques, formant une anthropologie culturelle brillante. Cet ouvrage collectif est une introduction à "l'anthropologie dogmatique" élaborée par Legendre. Il s'agit d'une lecture pluridisciplinaire de problématiques abordées dans cette œuvre de très haute érudition, pensée en réaction au positivisme de l'Occident gestionnaire. Sa visée est le dévoilement des fondements du système institutionnel de la culture occidentale et de ses origines historiques. Neuf auteurs de différents pays et de diverses disciplines sont ici réunis pour élucider les thématiques, les concepts et les questions soulevées par l'œuvre de Pierre Legendre, pour offrir au lecteur une analyse à plusieurs voix d'une pensée contemporaine singulière et incontournable. Ouvrage collectif sous la direction de Katrin Becker et Pierre Musso. Avec les contributions de Katrin Becker, Livio Boni, Peter Goodrich, Paolo Heritier, George Mein, Pierre Musso, Osamu Nishitani, Andreas Rahmatian, Serene Richards.
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Un exemple de ma grammaire latine disait : "Superbus se laudat", l'orgueilleux se vante. J'ai suivi cette mise en garde, qui m'interdit de rédiger, au verso d'un ouvrage, une apologie de soi à la troisième personne, manie contemporaine que je déplore. Ce recueil de propos radiophoniques à bâtons rompus m'impose une franchise redoublée. Lecteurs, c'est une baderne qui vous parle. Selon les dictionnaires, "baderne" se dit d'un homme âgé et borné. Âgé je suis ; borné, je le suis tout autant, car je connais mes limites. Ce mot caduc m'a plu après qu'un sénateur, progressiste à n'en pas douter, l'a réhabilité pour saluer, sur le ton de la haine, la disparition de Soljenitsyne. Je conclus : n'est pas baderne qui veut, mais qui en paie le prix. Et je m'affiche solidaire de tous ceux que la suffisance et le dépit des démagogues clouent au pilori et, si l'ordre politique à nouveau s'y prêtait, interdiraient d'écriture et de parole. Ces conversations tournent autour de savoirs familiers, de mes fréquentations, intellectuelles et autres, mais aussi de quelques interrogations sur le monde comme il va. À l'occasion, il est question de grandes affaires humaines, enfermées dans notre vocabulaire d'Occidentaux : la Religion, l'État, le Management, le Sujet. Mon interlocuteur, Philippe Petit, a veillé avec élégance au suivi des thèmes successifs, en m'évitant de battre la campagne inconsidérément. Au final, une chanson-poème de Guy Béart marque le terme de nos échanges
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