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Compilation des numéros d'El Croquis 52+73+103 reprenant les oeuvres de Zaha Hadid avec en prologue une interview et conversation avec Z.Hadid et en épilogue des analyses de ses oeuvres par José Luis Gonzalez Cobelo, de Luis Rojo de Castro et de Walter Nägeli
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Zaha Hadid croit au pouvoir de l'architecture, à son impact culturel et au rôle social de l'architecte ; elle cherche à se libérer du passé, des conventions sociales et physiques, elle aspire à un monde marqué par une liberté totale de questionnement en s'accordant au principe déconstructiviste du philosophe Jaques Derrida. Zaha Hadid partage avec l'avant-garde Russe l'intérêt pour le mouvement, l'énergie et l'apesanteur ; elle produit des espaces dynamiques qui semblent en mouvement, une 'architecture en projection' qui n'a rien à voir avec l'architecture mobile, mais une architecture composée de diverses matiéres et de géométrie qui finissent par changer la stabilité physique de l'architecture. Mais également elle étend ses références aux formations tectoniques, non pas comme une copie brute de la nature mais comme une recherche des éléments d'organisation : la stratification géologique et la fluidité du paysage.Zaha Hadid utilise la déformation comme un mode de composition conscient pour rendre possible l'adaptation d'une forme à son contexte, son programme, sa structure et sa matiére ; elle présente une architecture contextuelle d'ordre externe et même plus interne où la perception devient une composante indispensable dans le processus de création. Elle veut créer des espaces plus public et plus civique et cherche à diluer la limite entre intérieur et extérieur, privé et public.Ses dessins sont un élément indispensable pour la compréhension de son travail, ils remettent en question les moyens d'expressions traditionnels en architecture, leur but n'est pas graphique. Ses dessins composites permettent de voyager dans le projet et de comprendre le résultat car ils sont toujours une partie intégrante de la proposition architecturale qu'ils illustrent.
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Cemento armato, rivestimento di Corian, carpenteria d’acciaio e pannelli vetrati sono gli ingredienti usati da Zaha Hadid Architects per la nuova stazione Napoli Afragola per l’Alta Velocità, una sorta di ponte sopra i binari, con una lunghezza di circa 400 metri e una larghezza di circa 44 metri. L’edificio-ponte è nato con l’intento di superare la barriera costituita dalla linea ferroviaria esistente, con una passerella che integra il territorio avvolgendo i binari, creando un secondo polo oltre a Napoli Centrale.
Céramique --- Gare --- Hadid, Zaha, 1950-2016 --- Naples
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Dans la premiére partie du mémoire, nous nous sommes interrogés sur ce qu'était la représentation de l'architecture imaginée. Nous nous sommes donc intéressés aux quelques dimensions sous-jacentes qui concernaient directement la représentation du projet d'architecture, telles que son histoire, ses buts ou l'origine des choix graphiques exploités.Pour cela, nous avons étudié l'évolution de la représentation graphique de l'architecture imaginée depuis la période prédynastique égyptienne à nos jours, en passant par des périodes caractéristiques, comme l'antiquité grecque ou romaine, le moyen-âge, la période gothique, la renaissance, les XVIII, XIXé siécles.Nous avons ensuite constaté que le dessin pouvait être réalisé à des fins de conception (dans ce cas, l'architecte exploite les schémas, les croquis, les esquisses et les maquettes d'étude), de communication (dans ce cas, l'architecte adapte les représentations à l'interlocuteur), de séduction (l'exemple le plus parlant est celui de l'école des beaux-arts), ou d'exposition (nous avons ici évoqué les expositions universelles ou les musées d'architecture).Puis, nous nous sommes interrogés sur les facteurs qui peuvent influencer un architecte en matiére de représentation : celle-ci semble trés liée à la culture d'une époque, du moins, jusqu'au XIXé siécle, à celle d'une idéologie, comme c'est le cas au Bauhaus, ou à un type d'architecture (nous avons ici évoqué Archigram, qui assimile l'architecture à un bien de consommation), mais elle est avant tout liée à l'architecte.Dans la deuxiéme partie du mémoire, nous avons étudié le rapport entre représentation et réalité. Pour cela, nous nous sommes attachés aux pouvoirs, aux limites de l'image et aux différents systémes mis en œuvre afin de repousser ces limites.Afin de démontrer les pouvoirs de la représentation, nous avons d'abord étudié les images impossibles de Escher et de Piranése qui nous ont montré qu'une image permettait de créer des événements et des espaces dessinés, qui se révélent impossibles à réaliser par la suite. Nous avons ensuite considéré le phénoméne de " l'architecture de papier " de Boullée ou de l'avant-garde russe qui s'est révélée aussi importante du point de vue artistique, théorique et historique que l'architecture bâtie. Nous avons pu constater que ces dessins constituaient dans la plupart des cas, une base de réflexion pour des lignées d'architectes. Par exemple, les recherches de Boullée dans le monde du projet ont servi de charniére opérant la transition entre la tradition classique et l'architecture moderne. L'image posséde donc un pouvoir, celui de l'imaginaire, celui de l'utopie et de l'illusion que l'on retrouve d'ailleurs, dans les trompe-l'œil architecturaux.Nous nous sommes ensuite appuyés sur le célébre tableau de Magritte " Ceci n'est pas une pipe " pour étudier les limites de la représentation : une image reste une image, et la représentation d'un objet ne sera jamais cet objet. La représentation d'un espace ne sera jamais cet espace, car comme la pipe de Magritte qui posséde une valeur utilitaire, l'espace architectural est habité, est vécu, alors que sa représentation ne l'est pas. La pipe du tableau de Magritte ne peut pas être fumée, tout comme l'image d'un espace ne peut pas rendre les mêmes sensations que l'expérience architecturale. C'est ce que nous avons tenté de mettre en évidence, en faisant en partie appel à la phénoménologie. Puis, nous avons avancé que certains dessins pouvaient permettre d'accéder à des sensations, même si le ressenti de la véritable expérience architecturale n'est pas le même que celui qui est éprouvé face à une image. Pour appuyer cette idée, nous avons développé le travail de Coop Himmelblau ou de Zaha Hadid qui ont travaillé sur cette notion de ressenti dans la représentation.Ainsi, la représentation a ses limites, et elle est toujours incompléte. D'autres systémes ont donc été mis en œuvre pour combler ces manques : la combinaison de dessins, le texte et la mise en page.Dans la derniére partie du mémoire, nous avons analysé les représentations qui ont précédé la réalisation du Forum International de Tokyo, conçu par Raphaël Vinõly. Nous avons comparé les schémas, les croquis, les esquisses, les dessins d'exécution, les maquettes, les images de synthése et les animation afin d'essayer de comprendre les techniques graphiques mises en œuvre, leur but, leur rapport au concret, leurs qualités ou leur défauts. Cette démarche nous a permis d'analyser plus particuliérement les nouveaux outils de communication visuelle qui ont émergé au cours de vingt derniéres années, et qui sont basés sur l'informatique. Cette derniére partie a fait l'objet d'une interprétation plus personnelle.
Boullée, Etienne Louis, 1728-1799 --- Hadid, Zaha, 1950-2016
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Zaha Hadid est une des plus influentes représentantes du concept d'artiste-architecte. Son approche du projet trouve ses origines dans un intérêt certain pour l'avant-gardisme russe, et qu'en se reflétant à travers son iconographie celui-ci insuffle un onirisme latent. L'art de Zaha Hadid est donc un véritable outil qui participe à la particularité et à la qualité de son architecture. Il exprime une masse d'intentions, qui elles, sont purement architecturales et spaciales. (P.d'A.)
Architecture --- Art --- Avant-garde --- Déconstructivisme --- Hadid, Zaha, 1950-2016 --- Russie
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Throughout the built world of late, museums have been leading the way in architecture--a far cry from the days of antiseptic white cubes, when museums were afraid that signature design might compete with the art on display. Some of the most interesting international architects working today, people like Zaha Hadid, Daniel Liebeskind, Renzo Piano, and Tadao Andao, are creating buildings intended to house art--and to function as works of art themselves. One of the most radical and highly anticipated of these structures is Zaha Hadid's Contemporary Arts Center (CAC) for the city of Cincinnati, set to open its doors in 2003. The CAC will be one of the first museums anywhere in the world designed by a woman, as well as Hadid's first museum and first building in the United States. A $15 million project with 20,000 square feet of galleries set on a smallish, 11,000-square-foot lot in the downtown area, it shows that the institution that stood by the Mapplethorpe show has extended its risk-taking attitude and its integrity to the building that will accommodate its future shows. The seven stories of galleries--each constructed in a variety of heights and floor materials--are housed in horizontal tubes and cantilevered toward the street. An "urban carpet" begins at street level and zigzags up the building's supporting wall, providing visual and physical access to each of the galleries in a continuous flow--but without the awkwardness of the tilted ramp that spirals through Frank Lloyd Wright's Guggenheim Museum in New York. The exterior of the building weaves together the concrete shell and metal cladding of the galleries, the glass windows of the offices, and various electronic displays like ahigh-tech quilt--and a perfect expression of the various activities so well-contained within. Space for Art will include broad documentation of all stages of the architectural process, expressed in paintings, drawings, and models; short texts; and photographs of the finished building by Helene Binet.
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Although it is doubtful that the aggressive attitudes exercised during the 20th century for ever faster, more dominant infrastructures can ever be completely tamed, there is already a movement in recent years towards softer, greener, slower infrastructures that can improve social life while addressing ecological offenses. This special issue looks ahead to a brighter future for urban infrastructure through the lens of fifteen recent works. Among these are the Princeton Transit Hall and Market by Rick Joy Architects, Luís Pedro Silva’s Porto Cruise Terminal, Lahti Travel Centre by JKMM Architects, Napoli-Afragola High Speed Train Station by Zaha Hadid Architects, and more.
Gare --- Urbanisme --- Architecture écologique --- Architecture durable --- Architecture contemporaine --- Développement durable --- Hadid, Zaha, 1950-2016 --- Joy, Rick
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Réalisations de l'agence Zaha Hadid architects : centre aquatique à Londres ; tour CMA CGM à Marseille ; pavillon d'exposition Chanel mobile art contemporain à Hong Kong, Tokyo, New York, Paris ; musée d'art Eli & Edythe Broad à East Lansong (Etats-Unis) ; complexe Galaxy Soho à Pékin (bâtiment abritant bureaux, commerces et lieux de divertissement) ; centre culturel Heydar Aliyev à Baku (Azerbaijan) ; bibliothèque et centre d'apprentissage-Université des sciences économiques de Vienne ; magasins de chaussures "Stuart Weitzman" à Milan, Hong Kong et Rome ; Institut Issam Fares des sciences politiques (IFI) à l' Université de Beyrouth ; complexe résidentiel City Life à Milan ; Galerie Serpentine Sckler ; D'Leedon ; tour de bureaux "Wangjing Soho" à Pékin ; complexe Sky Soho (bâtiment abritant bureaux, commerces) à Shanghai ; la tour d'innovation du Jockey Club (JCIT) abrite l'École de design de l'Université polytechnique de Hong Kong (PolyU) et l'Institut de design pour l'innovation sociale du Jockey Club ; Dongdaemun Design Plaza, complexe multifonctions situé à Séoul (temple du design, centre de congrès et de divertissement : salles d'exposition, amphithéâtres, espaces de conférence, boutiques...) ; siège social Investcorp, Centre du Moyen-Orient, Collège St Antony, Université d'Oxford ; immeuble de bureaux Dominion à Moscou ; Musée Messner Mountain Corones ; Terminal maritime de Salerne ; Autorité portuaire d'Anvers ; the Winton Gallery, Galerie du Science Museum de Londres.
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Les projets les plus récents de Zaha Hadid, parmi lesquels le musée des arts du XXIe siècle à Rome, le pont d'Abu Dhabi, le musée de Glasgow, le tour CMA CGM de Marseille, le centre culturel de Bakou, le musée de Vilnius, la salle de concert Beethoven de Bonn, le centre culturel d'Aman, les Stone Towers du Caire, le CasArt de Casablanca, la Sunrise Tower de Kuala Lumpur, le centre d'exposition du Caire, le centre de recherche et d'études sur le pétrole de Riyadh, le centre de musique et de danse de La Haye, le pavillon Burnham de Chicago.
Hadid, Zaha --- Architectes --- Architecture --- Architects --- Architecture, Modern --- Schumacher, Patrik --- Zaha Hadid architects --- Hadid, Zaha, --- Hadid, Zaha, 1950-2016
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Architecture contemporaine --- Béton --- Béton architectonique --- Ando, Tadao, 1941 --- -Hadid, Zaha, 1950-2016 --- Libeskind, Daniel --- Allemagne --- Berlin --- Weil-am-Rhein
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