Listing 1 - 10 of 140 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Deux philosophes, Jean-Luc Nancy et Federico Ferrari abordent la question de la fin dans un texte en trois actes où la pensée interroge son continuel sentiment d'achèvement. D'une part nous sommes depuis longtemps dans un climat de "fin de... l'art, la philosophie, la politique, le monde..." D'autre part, ce motif qui a tant marqué une génération - en très gros 1970-1990 - se trouve lui-même mis en cause par une génération plus jeune qui lui demande : en avez-vous fini avec vos fins ? "Peut-être n'y a-t-il aucun commencement ni aucune fin, et toujours un entre-deux, toujours un passage, un milieu qui n'est pas un lieu mais un élément où ça flotte entre un début et une fin qui n'ont jamais lieu. Le commencement et la fin sont au milieu de tout, invisibles, rapides comme un double éclair obscur. Ni commencement ni fin n'existent. Ce sont chaque fois des artefacts, des projections d'un besoin de fixer des bornes, de tenir des points fixes. En réalité tout a toujours déjà commencé et tout continue toujours à finir."
Choose an application
SHORTLISTED FOR THE 2017 ROYAL SOCIETY SCIENCE BOOK PRIZE Even small children know there are infinitely many whole numbers - start counting and you'll never reach the end. But there are also infinitely many decimal numbers between zero and one. Are these two types of infinity the same? Are they larger or smaller than each other? Can we even talk about 'larger' and 'smaller' when we talk about infinity? In Beyond Infinity , international maths sensation Eugenia Cheng reveals the inner workings of infinity. What happens when a new guest arrives at your infinite hotel - but you already have an infinite number of guests? How does infinity give Zeno's tortoise the edge in a paradoxical foot-race with Achilles? And can we really make an infinite number of cookies from a finite amount of cookie dough? Wielding an armoury of inventive, intuitive metaphor, Cheng draws beginners and enthusiasts alike into the heart of this mysterious, powerful concept to reveal fundamental truths about mathematics, all the way from the infinitely large down to the infinitely small.
Infinite --- Infinity --- Finite, The
Choose an application
Infinite. --- Infinity --- Finite, The
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Uncertainty --- Finite, The --- Psychoanalysis
Choose an application
Die im Wintersemester 1929/30 an der Freiburger Universität vierstündig gehaltene Vorlesung ist in zweierlei Hinsicht bedeutsam. Zum einen enthält sie eine breit durchgeführte Analyse der in der Freiburger Antrittsvorlesung Was ist Metaphysik? nur gestreiften Langeweile, zum anderen bietet sie eine ebenso ausführliche Wesensbestimmung des Organismus und des Lebens – eine Thematik, die Heidegger in Sein und Zeit, § 12, nur benennt. Die Vorlesung setzt in ihrer Vorbetrachtung ein mit einer Erörterung des Begriffs der Metaphysik und kommt zu dem Ergebnis, daß die drei metaphysischen Fragen nach Welt, Endlichkeit und Vereinzelung aus einer Grundstimmung heraus gefragt werden müssen. Somit fällt dem Ersten Teil die Aufgabe zu, die tiefe Langeweile als die Grundstimmung des in der Vorlesung in Gang zu setzenden Philosophierens zu wecken. Drei Grundformen der Langeweile werden zum Aufweis gebracht. Der Zweite Teil übernimmt die Ausarbeitung der drei metaphysischen Fragen aus der gewonnenen Grundstimmung. Das Fragen nach der Welt geschieht auf dem Wege der vergleichenden Betrachtung von drei leitenden Thesen: ‚der Stein ist weltlos‘, ‚das Tier ist weltarm‘, ‚der Mensch ist weltbildend‘, wobei die Untersuchung ihren Ausgang nimmt von der mittleren These, deren Entfaltung der Vorbereitung des Weltproblems dient. Die Aufklärung des Wesens der Weltarmut des Tieres führt zur Wesensbestimmung der Tierheit, des Organismus und des Lebens. Im Übergang zur These ‚der Mensch ist weltbildend‘ gibt die Vorlesung eine Wesensanalyse der Welt und der Weltbildung des Menschen.
Metaphysics --- Loneliness --- Finite, The
Choose an application
Choose an application
Death. --- Finite, The.
Choose an application
Sommes-nous obliges d'aimer le fini ? Sommes-nous condamnes a croire que l'appropriation serait notre veritable voie d'acces au reel ? Devons-nous considerer que l'amour de la propriete est devenu notre ineluctable destin ? Jusqu'a present, seul l'amour du fini a declare l'etre . On sait maintenant les consequences desastreuses de la domination de l'amour du fini sur la pensee. Pour autant, rien n'en a rompu le regne. L'amour du fini s'est deplace et metamorphose, mais, en ses multiples formes, il gouverne toujours la pensee. Est-il ineluctable que celle-ci accueille et reitere encore l'absurde croyance a la nature ? La puissance de cette fiction ne saurait s'imposer sans fin a nous. Qu'est la philosophie si ce n'est la decision d'exercer sans restriction l'activite de la pensee ? Par quoi se reconnait-elle requise ? Par la production effective de son extension. Mais cette aspiration bute d'abord sur la restriction que nous lui imposons : celle de notre appropriation du monde. A quoi la philosophie oeuvre-t-elle ? A l'abolition de l'entrave principielle et generale qu'est l'amour du fini. C'est a cette premiere destruction (avant celle de la personnalite puis de la nature ) que se consacre ce volume. La metaphysique, que l'on peut considerer comme le regne de l'amour du fini, asservit l'exercice de la pensee. Cette derniere ne pourra recouvrer sa puissance qu'en s'en delivrant, notamment par un anti-humanisme radical.
Listing 1 - 10 of 140 | << page >> |
Sort by
|