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« Les communistes pourraient donner au mot “culture” et tout ce qu’il implique une définition polyvalente allant d’une représentation d’acrobates au chantage politique ». Tels sont les termes employés en 1959 par la diplomatie helvétique pour évoquer ses échanges avec la Chine de Mao Zedong, lorsque la « peur du Rouge » régnait en maître. Pourtant, entre 1949 et 1989 de nombreuses relations culturelles et politiques ont tout de même existé entre les deux pays. Mais celles-ci se tenaient généralement à l’abri du regard des diplomates suisses et de la police fédérale. Dans cette histoire des relations sino-suisses durant la Guerre froide, Cyril Cordoba analyse comment la République populaire de Chine a tenté de développer son influence et son prestige à l’étranger à l’aide d’organisations qui agissaient en marge des circuits officiels : les associations d’amitié. Ces groupes prochinois ont joué un rôle de premier plan dans toutes les rencontres culturelles entre les deux pays (matchs de ping-pong, tournées de l’opéra de Pékin, jumelages de villes, diffusion du Petit Livre rouge). Qui étaient ces amis de la Chine et quel a été leur rôle politique ? Quelle était exactement la nature de leurs relations avec les autorités chinoises ? Quelle était la position de la Confédération face à ces organisations sur lesquelles elle n’avait aucun contrôle, et qui ont longtemps été des interlocutrices privilégiées de la RPC ? À travers toutes ces questions, l’auteur propose un regard inédit sur les stratégies du soft power – diplomatie d’influence ou pouvoir de séduction – chinois, en analysant comment la propagande maoïste a mis en place un système clientéliste d’ampleur internationale au coeur de la Guerre froide.
Chine --- Suisse --- Diplomatie culturelle --- Guerre froide --- Soft power --- Relations internationales --- Communisme --- Maoïsme --- Histoire --- Science politique --- Propagande
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« Les communistes pourraient donner au mot “culture” et tout ce qu’il implique une définition polyvalente allant d’une représentation d’acrobates au chantage politique ». Tels sont les termes employés en 1959 par la diplomatie helvétique pour évoquer ses échanges avec la Chine de Mao Zedong, lorsque la « peur du Rouge » régnait en maître. Pourtant, entre 1949 et 1989 de nombreuses relations culturelles et politiques ont tout de même existé entre les deux pays. Mais celles-ci se tenaient généralement à l’abri du regard des diplomates suisses et de la police fédérale. Dans cette histoire des relations sino-suisses durant la Guerre froide, Cyril Cordoba analyse comment la République populaire de Chine a tenté de développer son influence et son prestige à l’étranger à l’aide d’organisations qui agissaient en marge des circuits officiels : les associations d’amitié. Ces groupes prochinois ont joué un rôle de premier plan dans toutes les rencontres culturelles entre les deux pays (matchs de ping-pong, tournées de l’opéra de Pékin, jumelages de villes, diffusion du Petit Livre rouge). Qui étaient ces amis de la Chine et quel a été leur rôle politique ? Quelle était exactement la nature de leurs relations avec les autorités chinoises ? Quelle était la position de la Confédération face à ces organisations sur lesquelles elle n’avait aucun contrôle, et qui ont longtemps été des interlocutrices privilégiées de la RPC ? À travers toutes ces questions, l’auteur propose un regard inédit sur les stratégies du soft power – diplomatie d’influence ou pouvoir de séduction – chinois, en analysant comment la propagande maoïste a mis en place un système clientéliste d’ampleur internationale au coeur de la Guerre froide.
Chine --- Suisse --- Diplomatie culturelle --- Guerre froide --- Soft power --- Relations internationales --- Communisme --- Maoïsme --- Histoire --- Science politique --- Propagande
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« Les communistes pourraient donner au mot “culture” et tout ce qu’il implique une définition polyvalente allant d’une représentation d’acrobates au chantage politique ». Tels sont les termes employés en 1959 par la diplomatie helvétique pour évoquer ses échanges avec la Chine de Mao Zedong, lorsque la « peur du Rouge » régnait en maître. Pourtant, entre 1949 et 1989 de nombreuses relations culturelles et politiques ont tout de même existé entre les deux pays. Mais celles-ci se tenaient généralement à l’abri du regard des diplomates suisses et de la police fédérale. Dans cette histoire des relations sino-suisses durant la Guerre froide, Cyril Cordoba analyse comment la République populaire de Chine a tenté de développer son influence et son prestige à l’étranger à l’aide d’organisations qui agissaient en marge des circuits officiels : les associations d’amitié. Ces groupes prochinois ont joué un rôle de premier plan dans toutes les rencontres culturelles entre les deux pays (matchs de ping-pong, tournées de l’opéra de Pékin, jumelages de villes, diffusion du Petit Livre rouge). Qui étaient ces amis de la Chine et quel a été leur rôle politique ? Quelle était exactement la nature de leurs relations avec les autorités chinoises ? Quelle était la position de la Confédération face à ces organisations sur lesquelles elle n’avait aucun contrôle, et qui ont longtemps été des interlocutrices privilégiées de la RPC ? À travers toutes ces questions, l’auteur propose un regard inédit sur les stratégies du soft power – diplomatie d’influence ou pouvoir de séduction – chinois, en analysant comment la propagande maoïste a mis en place un système clientéliste d’ampleur internationale au coeur de la Guerre froide.
Chine --- Suisse --- Diplomatie culturelle --- Guerre froide --- Soft power --- Relations internationales --- Communisme --- Maoïsme --- Histoire --- Science politique --- Propagande
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Cet ouvrage rassemble sept contributions d’un cycle de conférences organisé à l’occasion de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale par le Centre Toulousain d’Histoire du Droit et des Idées Politiques en collaboration avec le Collège supérieur de droit et l’École Européenne de droit de l’Université Toulouse Capitole. Trois temporalités sont présentées et analysées, elles intéressent les juristes en guerre et la guerre des juristes. Tout d’abord l’action, la réflexion et la pratique au quotidien de juristes plonges dans ce conflit sont mises à jour. La Grande Guerre a aussi été un temps particulier d’adaptation et d’application du droit pour répondre aux circonstances exceptionnelles. Enfin, la guerre prend place dans un mouvement long de renforcement du rôle de l’État.
History --- Law --- action --- Première Guerre mondiale --- propagande --- juristes --- justice militaire belge --- droit public Royaume-Uni --- droit public allemand --- juristes italiens --- diplomatie culturelle --- Cour suprême des Etats-Unis
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"This book spotlights the role that contemporary art will play in Saudi Arabia's new push for cultural diplomacy as well as sweeping reform in the country. As the Kingdom mobilises its vast resources behind the economic and social priorities of its Vision 2030 strategy and seeks new terms of engagement with the international community, art is set to take centre stage. This book looks at both the historic and contemporary contexts for this recent state-led focus on art in the Kingdom; at how its planned events and programmes stand apart, in resource, scale and ambition, from seemingly similar initiatives coming from that region; and at both the opportunities and pitfalls, not just for the burgeoning art world of Saudi Arabia, but for practitioners and professionals around the world." --
Art --- Art and society --- Cultural diplomacy --- Art et société --- Diplomatie culturelle --- Political aspects --- Economic aspects --- Aspect économique --- Saudi Arabia --- Saudi Arabia.
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L'analyse cherche à identifier différents principes caractérisant la théorie du New Public Management ayant pu influencer la création, le mode de fonctionnement et l'organisation interne de l'Institut français. Son originalité réside dans sa volonté de croiser des concepts issus des théories des relations internationales et de l'administration publique. L'étude se décline en quatre étapes. Premièrement, elle distingue les éléments structurant la pensée du New Public Management. Deuxièmement, elle définit ce qui constitue le contexte national français conditionnant l'implémentation de la théorie. Ce contexte se composé de la situation de la politique étrangère française à l'heure de la réforme (2010) ainsi que des caractéristiques de la diplomatie culturelle française. Troisièmement, le travail se concentre sur le mode de fonctionnement concret de l'Institut, son organisation et ses structures internes. Quatrièmement, il rapproche les concepts issus de la théorie du New Public Management avec les différents éléments repérés dans le contexte national français et le mode de fonctionnement de l'Institut français. L'analyse dresse ainsi un portrait contrasté de l'état de la diplomatie culturelle française. Si des atouts ne lui manquent pas, l'action extérieure de la France semble souffrir d'une absence de vision stratégique et d'une volonté politique claire.
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Culture and international relations --- Culture et relations internationales --- Diplomatie culturelle --- International relations and culture --- Internationale betrekkingen en cultuur --- Realism --- Realisme --- Realisme (Filosofie) --- Relations internationales et culture --- Réalisme --- Réalisme (Philosophie) --- International relations --- Political aspects --- United States --- Foreign relations
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Au début des années 2000, avec l’arrivée de Lula da Silva au pouvoir, les relations Sud-Sud, notamment avec l’Afrique lusophone, ont été considérées comme un sujet majeur dans la politique étrangère du Brésil, en raison d’arguments d’ordre pragmatique mais aussi idéologique. Le but de ce travail de fin d’études est de proposer une réflexion évolutive – en recourant à la théorie constructiviste – autour de la diplomatie culturelle brésilienne de l’ère Lula (2003-2010), Rousseff (2011-2016) et Temer (2016-). Nous souhaitons savoir comment celle-ci est mobilisée comme un atout de la politique étrangère vis-à-vis des pays africains lusophones. L’objectif final et le fil conducteur de notre analyse est de répondre à la question de recherche « Dans quelle mesure la diplomatie culturelle est devenue une diplomatie d’État et non d’un gouvernement ? ». Ceci étant, l’hypothèse soutenue est que la politique étrangère menée par la première administration mentionnée se distingue des deux suivantes par une utilisation intense de cet outil. Par conséquent, la diplomatie culturelle ne demeure pas encore une diplomatie d’État, car ces mêmes relations culturelles gagnent ou perdent leur force en fonction de l’administration qui est au pouvoir. Une analyse du contexte politique et des conditions internes et internationales présents au moment de chaque gouvernement, ainsi qu’une étude détaillée des plusieurs éléments documentaires, nous permet de déchiffrer différents aspects propres à la politique culturelle étrangère entretenue par chaque administration brésilienne en Afrique lusophone. Nos résultats démontrent que, dans le cas de Lula, la culture a une place beaucoup plus marquée au sein de la politique étrangère. Ce rôle primordial de la diplomatie culturelle est possible grâce aux conditions nationales et internationales favorables. Tandis que Lula accorde une place privilégiée à la diplomatie culturelle au sein de la politique étrangère à l’égard de l’Afrique lusophone, les autorités brésiliennes plus récentes semblent estimer que les relations culturelles ne méritent pas plus d’attention et de nouvelles initiatives.
Lula da Silva --- Dilma Rousseff --- Michel Temer --- Diplomatie culturelle --- Soft power --- Politique étrangère --- Diplomatie d'État --- Diplomatie de gouvernement --- Lusophonie --- Coopération Sud-Sud --- Brésil --- Afrique --- Droit, criminologie & sciences politiques > Sciences politiques, administration publique & relations internationales
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"Le Louvre à Abu Dhabi, Art Basel à Miami, les tulipes de Jeff Koons à Paris sont autant de manifestations de l'art contemporain comme outil d'influence. Marqueur de puissance, l'art mesure le degré d'émancipation d'un pays, son pouvoir d'attraction et sa place dans le monde. Très largement dominée par les Etats-Unis et, plus largement, le monde occidental depuis le milieu du XXe siècle, la scène artistique s'ouvre peu à peu à de nouvelles puissances, notamment la Chine aux ambitions mondiales déclarées. Etudiant le rôle des différents acteurs, artistes, collectionneurs et musées, Nathalie Obadia analyse l'évolution des liens entre arts plastiques et géopolitique, en questionnant notamment la domination du soft power américain et occidental."
Art --- Art and globalization --- Art et mondialisation --- Art and society --- Art et société --- Cultural diplomacy --- Diplomatie culturelle --- Geopolitics --- Géopolitique --- Imperialism in art --- Impérialisme dans l'art --- Political aspects --- Aspect politique --- Art and globalization. --- Political aspects. --- Art - Political aspects --- Art - Aspect politique --- Art et politique --- Diplomatie publique --- Géopolitique --- Commerce --- Museums and community --- Economic aspects --- Collectors and collecting
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International relations. Foreign policy --- Sociology of the family. Sociology of sexuality --- Coexistence --- Coëxistence pacifique --- Culture and international relations --- Culture et relations internationales --- Diplomatie culturelle --- Feminism--Philosophy --- Feminist sociology --- Feminist theory --- Feministische theorie --- Foreign affairs --- Foreign policy --- Interdependence of nations --- International relations --- International relations and culture --- Internationale betrekkingen --- Internationale betrekkingen en cultuur --- Ordre mondial --- Peaceful coexistence --- Relations internationales --- Relations internationales et culture --- Theory of feminism --- Théorie féministe --- Vreedzame coëxistentie --- Wereldorde --- World order --- International relations. --- Feminist theory. --- International relations and culture. --- Théorie féministe
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