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En transplantation humaine, l’utilisation d’immunosuppresseurs tels que la cyclosporine A ou plus récemment le FK506, a permis une augmentation significative du taux de réussite des allogreffes. Ces succès ont favorisés l’accroissement et la diversification des allogreffes au point que, actuellement, le facteur limitant n’est plus la difficulté de l’acte technique ou le traitement immunosuppresseurs, mais bien la disponibilité d’organes (Hardy et coll., 1984). En effet, actuellement la demande d’organes dépasse largement l’offre et face à ce déficit croissant, une alternative potentielle est apparue : la réalisation des xénogreffes, c’est-à-dire l’utilisation d’organes provenant d’une espèce différente de celle du receveur. Le domaine des xénogreffes suscite un vif intérêt dans de nombreuses équipes des Cliniques universitaires Saint-Luc et de la Faculté de médecine de l’UCL dont le Laboratoire d’immunologie expérimentale du Prof. H. Bazin. Au sein de ce laboratoire, nous nous sommes proposé d’étudier les mécanismes immunologiques pouvant expliquer le rejet des xénogreffes discordantes.
Antibodies, Monoclonal --- B-Lymphocytes --- IgM --- Medical Laboratory Science
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