TY - BOOK ID - 61170006 TI - Anonyme de Valois II : l'Italie sous Odoacre et Théodoric AU - Festy, Michel AU - Vitiello, Massimiliano PY - 2020 VL - 426 SN - 01847155 12754226 SN - 9782251014869 2251014861 PB - Paris: Les Belles Lettres, DB - UniCat KW - Medieval Latin literature KW - Theodoric, KW - Theodericiana. KW - Italy KW - Rome KW - History KW - Odoacer, KW - Theodericiana KW - 476-1268 KW - Italy. KW - Italie UR - https://www.unicat.be/uniCat?func=search&query=sysid:61170006 AB - L'Anonyme de Valois consiste en la réunion de deux séries d'extraits d'œuvres historiques. La première série contient une biographie de Constantin (Origo Constantini imperatoris). La seconde (Anonyme de Valois II), objet de la présente édition, traite de l'histoire de l'Italie durant la période 474-526. Pour plus de clarté, les éditeurs ont ajouté un sous-titre : L'Italie sous Odoacre et Théodoric. Après le récit de la fin de l'Empire d'Occident, du règne d'Odoacre et de la guerre ayant opposé ce dernier à Théodoric, l'Anonyme de Valois II consacre l'essentiel de ses développements au règne du roi goth. À une longue période de paix et de prospérité (493-523) il oppose les trois dernières années tragiques du règne (523-526). Parmi les sources disponibles sur cette période de l'histoire de l'Italie, l'Anonyme est la plus complète. Il contient par exemple les informations les plus précises sur la déposition de Romulus Augustule, la visite de Théodoric à Rome en 500, le procès et la mort de Boèce. Le texte est entrecoupé par le récit d'événements survenus dans l'Empire d'Orient. Il est composé à partir de sources latines, mais aussi grecques, du 6e siècle, qui sont en grande partie perdues. Il est écrit dans une langue éloignée du latin classique, et est souvent d'interprétation difficile.Dans l'introduction, la question des sources est très largement traitée. Les éditeurs estiment que l'Anonyme est une collection d'extraits d'une œuvre unique utilisant des sources diverses (Consularia Italica, Cassiodore, auteurs grecs). Ils pensent, arguments à l'appui, qu'il pourrait s'agir des Chroniques perdues de l'archevêque de Ravenne Maximien (546/7-556), un proche de Justinien. Le commentaire est suivi par cinq annexes. L'une d'entre elles contient un texte inédit de Giovanni de Matociis (début du 14e siècle) sur le procès et la mort de Boèce ER -