TY - BOOK ID - 1620772 TI - Nicolas II, la transition interrompue : une biographie politique PY - 1996 SN - 2213592942 9782213592947 PB - Paris: Fayard, DB - UniCat KW - Nicolas II [Emperor of Russia] KW - Nicholas II, KW - Nicolas II, KW - Russia KW - Russie KW - History KW - Kings and rulers KW - Biography KW - Politics and government KW - Histoire KW - Rois et souverains KW - Biographies KW - Politique et gouvernement KW - Nicolas II (1868-1918) KW - --7066 KW - Nicholas KW - Emperors KW - -#BIBC:ruil<mono1997> KW - Rulers KW - Sovereigns KW - Heads of state KW - Monarchy KW - Nicholas II, Emperor of Russia KW - -Emperors KW - -Nicolas II [Emperor of Russia] KW - -Nicholas II, KW - Nicolas II KW - #BIBC:ruil<mono1997> KW - Romanov, Nicholas Alexandrovich KW - Romanov, Nicholas Alexandrovitch KW - Romanov, Nicolas Alexandrovich KW - Romanov, Nicolas Alexandrovitch KW - Romanov, Nicholas Alexandrovitsj KW - Romanov, Nicolas Alexandrovitsj KW - Soviet Union KW - Nikolay KW - Nicholas II KW - Nicolas, KW - --Nicholas KW - Nicholas - II, - Emperor of Russia, - 1868-1918 KW - Nicolas, 1868-1918 KW - Russia - Kings and rulers - Biography KW - Russia - History - Nicholas II, 1894-1917 KW - Biography. UR - https://www.unicat.be/uniCat?func=search&query=sysid:1620772 AB - Le règne du dernier empereur de Russie a-t-il marqué l'inexorable déclin d'un régime ne pouvant déboucher que sur une rupture violente et radicale - celle d'Octobre 1917 - ou bien recelait-il les éléments d'une transition interrompue, celle que la Russie de Boris Eltsine, quatre-vingts ans après, s'est mise en devoir et en peine de reprendre ? S'attachant au destin du dernier tsar de Russie, l'ouvrage d'Hélène Carrère d'Encausse soulève une multitude de questions. Plus que tout autre, Nicolas II, héritier des réformes d'Alexandre II, a œuvré pour la modernisation de son pays, apportant des changements profonds à l'État, à la société et à l'économie russes. L'échec et la révolution étaient-ils alors inscrits dès le départ dans le processus de modernisation ? Faut-il accepter l'idée défendue par certains historiens que toute tentative de réforme est en Russie condamnée à ouvrir la voie à la barbarie ? Ou bien peut-on regarder le stalinisme puis la stagnation néostalinienne comme une funeste parenthèse dans la transformation profonde que les circonstances ont momentanément arrêtée mais dont les germes, toujours présents, peuvent servir à fertiliser et légitimer la transition engagée en cette fin du XXe siècle ? ER -