TY - THES ID - 146383268 TI - Analyse de la contribution du bâti wallon à la gestion des réseaux électriques. Etude de la flexibilité de la demande de chauffage d'un bâtiment représentatif. AU - Botquin, Grégoire AU - Andre, Philippe AU - Scholzen, Frank AU - Abrahams, Pauline AU - Thomas, Sébastien PY - 2017 PB - Liège Université de Liège (ULiège) DB - UniCat KW - Smart grids KW - Power-To-Heat KW - Flexibilité de la demande KW - Pompe à chaleur KW - Résidentiel wallon KW - Demande en chauffage KW - Confort thermique KW - TRNSYS KW - Simulation dynamique KW - Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie UR - https://www.unicat.be/uniCat?func=search&query=sysid:146383268 AB - La constante augmentation de la demande en électricité, l’arrivée de nouveaux usages électriques et l’intégration sans cesse plus importe d’énergies renouvelables a pour conséquence de rendre la gestion de l’adéquation entre la production et la demande d’électricité de plus en plus complexe. Les concepts de Smart Grids ou de Power-To-X tentent de trouver des solutions en rendant la demande plus flexible et en trouvant de nouvelles formes de stockage de l’électricité notamment au travers d’autres secteurs énergétiques. Plus particulièrement le but du Power-To-Heat est de stocker de l’électricité sous forme de chaleur par le moyen de pompes à chaleur et ce afin d’alimenter des réseaux de chaleurs ou de chauffer directement des bâtiments. La présente étude porte sur l’analyse de la flexibilité de la demande de chauffage d’un bâtiment résidentiel représentatif de la Région wallonne (RW). Nous avons étudié son comportement thermique dans le cadre d’une gestion de coupure de son système de chauffe par simulation dynamique dans le logiciel TRNSYS, et ce afin d’évaluer le possible déplacement des charges de chauffage de ce bâtiment. Différentes stratégies de coupures sous différentes variantes d’enveloppe, de ventilation et de masse thermique ont été analysées par le biais d’indicateurs énergétiques et de confort thermique. Les résultats pour les variantes d’isolation nous ont montré qu’il était possible de déplacer certaines charges liées à sa consommation de chauffage tout en limitant l’impact sur le confort thermique de l’occupant. Les variantes de ventilation ont montré d’importants problèmes d’inconfort thermique, la vitesse de chute de température étant bien plus importante dans le cadre d’une coupure de chauffage. Les variantes de masse thermique n’ont pas amélioré de façon significative la flexibilité du bâtiment ni en termes énergétiques, ni en termes de confort thermique. L’impact d’un parc de 2000 bâtiments tels que le bâtiment de référence étudié au niveau du réseau électrique peut sembler limité, surtout dans sa capacité à absorber des charges résiduelles. ER -