TY - THES ID - 146380700 TI - L’influence de la représentation de l’autorité parentale sur les comportements agressifs chez des enfants âgés entre 8 et 10 ans. Etude comparative entre des familles dont un enfant a été identifié agressif et des familles avec un enfant non-agressif AU - Abate, Orane AU - Gauthier, Jean-Marie AU - Blavier, Adelaïde AU - Thiriart, Christine PY - 2013 PB - Liège Université de Liège (ULiège) DB - UniCat KW - Agressivité chez l'enfant KW - Parents et enfants (droit) KW - Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique UR - https://www.unicat.be/uniCat?func=search&query=sysid:146380700 AB - Notre question de recherche était la suivante : « Qu’est-ce qui diffère au niveau des représentations de l’autorité parentale dans les familles où un enfant a été identifié comme agressif ? ». Afin de répondre à notre question, nous avons réalisé une étude de cas comparative. Le groupe clinique était constitué de trois familles avec chacune un enfant identifié comme agressif. Le groupe contrôle était également composé de trois familles mais avec un enfant non-agressif. La tranche d’âge concernée était 8-10 ans. Nous avons choisi de réaliser une étude qualitative. Les outils utilisés étaient les suivants : un entretien semi-structuré, l’observation d’une interaction ludique entre l’enfant et son/ses parent(s) et la réalisation d’un dessin de famille par l’enfant. Nous en sommes venus à la conclusion que les parents du groupe clinique avaient tendance à mettre en place un style parental plus extrême avec, cependant, une tendance à la permissivité. Par contre, les parents du groupe contrôle avaient tendance à adopter un style parental plus démocratique. En effet, nous avons observé que ces parents imposaient des règles à leurs enfants mais étaient également ouverts à la discussion et attentifs aux besoins des enfants. Les parents du groupe clinique avaient, par contre, davantage recours à la force physique. De plus, dans les familles de ce groupe, nous avons constaté que la relation parent-enfant avait tendance à être, du moins à certains moments, symétrique. A noter que les parents du groupe clinique étaient conscients des problèmes de comportement de leur enfant. ER -