TY - BOOK ID - 119066603 TI - La villa gallo-romaine du Palais à Châteauneuf-du-Rhône (Drôme) AU - Batigne Vallet, Cécile AU - Béal, Jean-Claude AU - Béal, Jean‑Claude AU - Blaizot, Frédérique AU - Blanc-Bijon, Véronique AU - Bonnet, Christine AU - Brochier, Jacques Léopold AU - Cabanis, Manon AU - Carrato, Charlotte AU - Cécillon, Christian AU - Delferrière, Nicolas AU - Dumas, Emmanuelle AU - Durand, Éric AU - Fellague, Djamilla AU - Gagnol, Marie AU - Lalaï, Dominique AU - Landry, Christophe AU - Lert, Mylène AU - Martin, Sophie AU - Mignon, Jean-Marc AU - Morin, Eymeric AU - Pellecuer, Christophe AU - Rémy †, Bernard AU - Ronco, Christine AU - Roussel-Ode, Jannick AU - Schmitt, Anne PY - 2023 SN - 2356681639 2356680799 PB - Lyon : Alpara, DB - UniCat KW - Archaeology KW - architecture romaine KW - Antiquité tardive KW - inhumation KW - mosaïque KW - pars rustica KW - rite funéraire KW - sculpture romaine KW - Tricastin KW - verger KW - villa KW - viticulture KW - Châteauneuf-du-Rhône (France) KW - Antiquities, Roman. UR - https://www.unicat.be/uniCat?func=search&query=sysid:119066603 AB - La villa antique du Palais à Châteauneuf-du-Rhône (Drôme), fouillée entre 1987 et 2017, est particulièrement bien située, à proximité de l’étape routière d’Acunum, dans la région de Montélimar. On a ainsi une bonne connaissance de la résidence et de son domaine, notamment d’importants secteurs de ses bâtiments rustiques et de ses zones funéraires. Cet ensemble, créé au Ier siècle de notre ère, se développe dès le IIe et plus encore au IVe. Les fouilles ont permis d’en suivre les extensions successives, tant du domaine agricole proprement dit (après des vignes, des vergers, par exemple, sont adossés à l’est de la propriété) que des espaces de confort réservés aux propriétaires (thermes au IIe siècle). Au cours du IVe siècle, l’exploitation se tourne à nouveau vers la viticulture. Par ailleurs, l’essor des espaces d’agrément (installation d’un bassin, d’une fontaine à jeux d’eau) est remarquable : la superficie de la résidence est doublée et sa structure devient comparable à celle des grands domaines d’Italie ou d’Espagne. Si le propriétaire reste anonyme, le mobilier et les décors de sa villa donnent à penser qu’il s’agissait d’un notable cultivé. Divers témoignages suggèrent qu’il entretenait des relations économiques tant avec le Sud et Arles qu’avec le Nord et Lyon. ER -