Listing 1 - 7 of 7 |
Sort by
|
Choose an application
"Il y eut trois pionniers américains de la pensée écologique : l'ermite Henry David Thoreau, le voyageur John Muir et le forestier Aldo Leopold. On doit à ce dernier, que certains tiennent pour un géant littéraire et un prophète, les premières politiques de protection des espaces naturels, une réflexion inégalée sur la nature sauvage, et la conviction qu'il est possible à l'homme de développer une intelligence écologique. Car l' "éthique de la terre" est possible. Elle repose sur l'idée lumineuse de communauté et d'équilibre. Grâce à elle, nous pouvons tous apprendre à être heureux dans la nature. À la fois narrative et philosophique, l'écologie d'Aldo Leopold possède une force surprenante : elle pulvérise notre arrogance tout en nous murmurant "l'opinion secrète" de la montagne à l'égard des loups."
Nature --- Éthique de l'environnement --- Écologie. --- Protection --- Philosophie. --- Écologie humaine
Choose an application
En 1973, un philosophe australien, Richard Sylvan Routley, présentait, à un congrès international de philosophie à Sofia, en Bulgarie, une communication qui allait renouveler la réflexion morale en faisant entrer la nature dans le domaine de la morale, intitulée « A-t-on besoin d'une nouvelle éthique, d'une éthique environnementale ? » Elle constitue l'acte fondateur d'un nouveau champ de la philosophie pratique qui prend son essor au tournant des années 1980 : l'éthique environnementale. Cette « nouvelle éthique » introduit l'idée que la nature possède une valeur intrinsèque, indépendante des intérêts et des besoins humains. Elle ne serait donc pas au service exclusif de l'homme. À l'aide d'une expérience de pensée restée célèbre, dite du « dernier homme », Routley formule une critique redoutable des théories morales anthropocentrées de l'environnement, introduit l'idée d'une valeur non instrumentale de la nature et pose les obligations morales des humains envers elle.
Choose an application
« Durant les neuf derniers millénaires, l’humanité s’est conduite en tant qu’espèce pionnière invasive. Cette espèce est individualiste, agressive et envahissante. Elle tente d’exterminer ou de supprimer d’autres espèces » : ce constat implacable du philosophe Arne Naess nous invite à repenser la nature écocidaire de l’espèce humaine. Comment cette destruction massive et inconsidérée de nos espèces-soeurs a-t-elle pu rester si longtemps invisible et impensée ? Contre quelles résistances théologique, scientifique, culturelle ou encore morale l’émergence de ce concept a-t-elle buté ? Et aujourd’hui, sur quelles bases éthiques fonder le deuil des espèces perdues et la conservation des espèces en danger ? Cet ouvrage, qui envisage le phénomène d’extinction d’espèce dans ses dimensions historiques, scientifiques et morales, nous invite à prendre du recul face à l’urgence actuelle de la crise de la biodiversité. Il aborde l’origine historique du concept d’extinction ainsi que ses racines mythologiques. Il rappelle la formalisation progressive de ce phénomène par des savants aussi divers que Palissy, Hooke, Cuvier, Lamarck ou Darwin. Il replace les débats sur les extinctions dans la perspective des sensibilités à la nature. Il interroge la nature même de ce concept d’extinction d’espèce par opposition à la notion de mort individuelle. Et si les espèces pouvaient « revivre » ? Cela changerait le jugement que l’éthique environnementale porte sur la disparition des espèces et la « sixième extinction de masse » qui s’annonce. Au final, l’auteur propose la définition d’une norme de vie (la sauvageté) à même de réconcilier espèces humaine et non-humaines au sein de l’odyssée de l’évolution.
Extinction (Biology) --- Wildlife conservation --- Biodiversity --- Environmental ethics --- Extinction (Biologie) --- Faune --- Biodiversité --- Ethique de l'environnement --- Protection --- History & Philosophy Of Science --- histoire des sciences --- histoire des sciences naturelles
Choose an application
Peut-on lutter contre soi-même ? Et si notre cerveau était devenu notre pire ennemi ? Plus qu'un moment critique nous vivons une véritable tragédie. Surpopulation, surpoids, surproduction, surconsommation, surchauffe, surendettement, nous avons basculé dans l'ère de tous les superlatifs qui mène l'humanité tout droit à sa perte. Si la capacité des ressources de la planète sont comptées, alors nos jours aussi le seront... Inéluctablement. Mais alors que la situation empire heure après heure, aucune réponse collective tangible ne vient. Nous voyons le mur se rapprocher et nous ne faisons rien. La conscience de ce qui nous attend ne semble avoir aucun effet sur le cours des événements. Pourquoi ? Sébastien Bohler docteur en neuroscience et rédacteur en chef du magazine Cerveau et psycho apporte sur la grande question du devenir contemporain un éclairage nouveau, dérangeant et original. Pour lui, le premier coupable à incriminer n'est pas l'avidité des hommes ou leur supposée méchanceté mais bien, de manière plus banalement physiologique, la constitution même de notre cerveau lui-même. Au cœur de notre cerveau, un petit organe appelé striatum régit depuis l'apparition de l'espèce nos comportements. Il a habitué le cerveau humain à poursuivre 5 objectifs qui ont pour but la survie de l'espèce : manger, se reproduire, acquérir du pouvoir, étendre son territoire, s'imposer face à autrui. Le problème est que le striatum est aux commandes d'un cerveau touours plus performant (l'homme s'est bien imposé comme le mammifère dominant de la planète) et réclame toujours plus de récompenses pour son action. Tel un drogué, il ne peut discipliner sa tendance à l'excès. À aucun moment, il ne cherche à se limiter. Hier notre cerveau était notre allié, il nous a fait triompher de la nature. Aujourd'hui il est en passe de devenir notre pire ennemi.
Brain --- Human behavior --- Humanity --- Evolution --- Cerveau --- Comportement humain. --- Psychophysiologie. --- Humanité. --- Éthique de l'environnement. --- Évolution. --- Human behavior. --- Psychophysiology. --- Humanity. --- Environmental ethics. --- Evolution. --- Brain - Evolution --- Environment --- Eating --- Sexuality
Choose an application
« Comment les êtres humains se traitent ou se maltraitent les uns les autres à travers l'usage de la nature ? » Ce manuel répond à cette question au travers d'illustrations issues de l'actualité récente (crise des migrants notamment). Approche pluridisciplinaire (économie, science de l'environnement, philosophie et politique) où la justice environnementale s'intègre dans une problématique plus large : celle du développement socialement durable (inégalités sociales).
Choose an application
Depuis une décennie environ, une scène des pensées de l'écologie a émergé en langue française. Comment décrire et nommer ce nouveau continent à la croisée des luttes, des arts et des sciences ? À quelles œuvres collectives ses acteurs sont-ils en train de donner vie ? Quelles sont les grandes dynamiques en cours ? Comment l'écologie transforme-t-elle nos façons de penser et d'agir ? Une sélection d'auteurs, mais aussi de journalistes, éditeurs, traducteurs, libraires, militants... répond à ces questions.
Analyse --- Ecologie --- Human ecology. --- Political ecology. --- Sustainable development --- Environmental ethics --- Ecology --- Environmental protection --- Environmentalists --- Écologie humaine --- Écologie politique --- Développement durable --- Éthique de l'environnement --- Écologie --- Environnement --- Écologistes (Défenseurs de l'environnement) --- Protection --- Political ecology --- Développement durable. --- Environmental ethics. --- Sustainable development. --- human ecology. --- sustainable development. --- Écologie humaine. --- Écologie politique. --- Éthique de l'environnement.
Choose an application
Une Renaissance est amorcée. Elle apparaît comme une réponse aux problématiques environnementales, sociétales et éthiques brûlantes qui posent à notre époque la question de la survie de l’espèce humaine. Artistique, philosophique, politique, elle prend acte des révolutions scientifiques des dernières décennies et se positionne face aux promesses technoscientifiques et transhumanistes. Au sein de cette Renaissance sauvage, l’homme ne se comporte plus en maître et possesseur, imposant ses volontés à une nature passive et sans finalité. Il se met à l’écoute d’un nouveau partenaire : le monde qui l’entoure. Il découvre le potentiel de ses forces, le sollicite, s’y implique et les conjugue avec les siennes. Une nouvelle ère se dessine, rendant l’homme à sa dignité « sauvage » et donnant sens, joie et ambition à son existence. Un art émerge qui redéfinit ainsi les paradigmes de la création. Il agit aux avant-postes de ce nouveau projet de société.
Art et écologie. --- Éthique de l'environnement. --- Nature --- Art --- Dans l'art. --- Thèmes, motifs. --- Human ecology in art --- Ecology in art --- Thèmes, motifs. --- Environmental ethics --- Themes, motives --- Art et écologie. --- Éthique de l'environnement. --- Human ecology in art. --- Ecology in art. --- Environmental ethics. --- Themes, motives. --- Rapport culture-nature --- Rapport architecture-nature --- Ecologie --- Environnement --- Anthropologie --- Animal (thème) --- Comportement --- Art - Themes, motives --- Anthropocène --- Animal
Listing 1 - 7 of 7 |
Sort by
|