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Dans ce texte, issu d'une conférence donnée à Albuquerque en 2000, et sous une forme non dénuée d'humour, l'auteur montre comment sous couvert de diverses institutions (OMC, Otan...), le capitalisme vise à imposer au monde une véritable tyrannie, empiétant sur la souveraineté des Etats, mais aussi sur celle des individus eux-mêmes. ©Electre 2018
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Sociologie et philosophie --- Dialectique --- Contrôle social --- Sociologie --- Sociology --- Philosophie --- Philosophy --- History --- Histoire --- Sociologie et philosophie. --- Dialectique. --- Contrôle social. --- Sociology - History --- Sociology - Philosophy --- Sociologie - Philosophie
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Qu'est ce que la bureaucratisation néolibérale ? Un mode de fonctionnement qui repose sur un usage systématique de normes, de règles, de procédures, de codes ou de catégorisations, bref de formalités principalement issues d'une certaine conception du marché et de l'entreprise et qui envahissent notre quotidien. Scandale des subprimes, développement du microcrédit et de l'auto-entreprenariat, recours au benchmarking, dictature du new public management, montée en puissance du droit de la propriété intellectuelle sont autant de symptômes de ces nouvelles modalités de formalisation. Au-delà des débats normatifs sur le bienfait ou les dangers de ce processus de rationalisation, l'analyse pluridisciplinaire menée dans ce livre suggère que la bureaucratisation néolibérale est l'un des lieux d'énonciation du politique, de l'exercice du pouvoir et de la domination, des luttes et des conflits. Sont alors mis en exergue son ambivalence, ses modalités de diffusion, d'éclatement et de réinvention permanente, ses catégories de compréhension et de mécompréhension, les jeux qu'elle autorise, les façons dont elle s'articule à d'autres logiques. La bureaucratisation néolibérale n'apparaît ainsi pas comme un dispositif stabilisé ; elle est traversée de batailles de pouvoir car s'y opposent des conceptions du monde puisant dans des répertoires et des imaginaires différents.
Bureaucracy --- Capitalism --- International economic relations --- Liberalism --- Bureaucratie --- Libéralisme économique --- Domination --- Pouvoir (sciences sociales) --- Normes --- Administration publique --- Contrôle social --- Neoliberalism --- Public administration --- Social control --- Sociologie --- Aspect politique --- Political aspects --- Administration publique. --- Domination. --- Normes. --- Contrôle social. --- Sociologie. --- Aspect politique. --- Political aspects. --- Libéralisme économique --- Contrôle social.
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Comparative law --- Prisons --- Detention of persons --- Droit comparé --- Détention de personnes --- Law and legislation --- Droit --- France - Canada - Prisons - Government policy - Human rights --- Prisonniers --- Contrôle social --- Statut juridique --- Droit comparé --- Détention de personnes
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Être évalué paraît généralement aller de soi, voire être désirable : « On m’évalue, donc je suis. » Or ces évaluations sont tout à fait paradoxales : au nom de la rétribution au mérite, elles dénient le mérite véritable et engendrent un climat délétère de concurrence et de sauve-qui-peut ; au nom de « plus d’efficacité », elles créent une forme inédite d’inefficacité ; au nom de l’objectivité, elles écrasent les différences, standardisent, normalisent. De cette omniprésence de l’évaluation et de ses méfaits, ce livre propose une analyse originale, qui, au-delà de la critique, réfléchit aussi à des pistes alternatives en résonance avec une intuition largement répandue : la complexité de la vie sociale n’est pas respectée. Les nouvelles évaluations unidimensionalisent une vie multiple, ignorent les conflits qui font le coeur de l’individu comme de la société et, surtout prétendent être justes et efficaces en dehors de toute situation concrète, réelle : en dehors de toute territorialisation. Une réflexion essentielle pour ne pas se soumettre à cette « évaluation qui tue ».
Evaluation --- Social control --- Performance --- Performance standards --- Contrôle social --- Rendement au travail --- Psychological aspects --- Social aspects --- Aspect psychologique --- Aspect social --- Normes --- Methodology --- Contrôle social --- Social aspects. --- Contrôle --- Évaluation --- Evaluation - Methodology --- Evaluation - Social aspects
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Neste volume são tratados temas relacionados à Organização e Gestão do Sistema de Saúde, assinalando-se os princípios do sistema de saúde brasileiro. Inicialmente, aborda-se a gestão do nível federal do sistema (administração direta, agências reguladoras, fundações nacionais, empresas públicas nacionais) na condução da política nacional e na gestão do sistema de saúde no Brasil, com o propósito de identificar os principais desafios para a reconfiguração estratégica da atuação do Executivo federal na saúde nas próximas décadas.
Medical policy --- Medical care --- Health planning --- Serviços de Saúde --- Participação Comunitária --- Brasil --- Perfil de Saúde --- Força de Trabalho --- Estratégias --- Financiamento em Saúde --- Política de Saúde --- Políticas de Controle Social --- Sistemas de Saúde-organização & administração
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"L’organisation d’une pénalité d’enfermement n’est pas simplement récente, elle est énigmatique. Qu’est-ce qui pénètre dans la prison ? En tout cas, pas la loi. Que fabrique-t-elle ? Une communauté d’ennemis intérieurs". C’est en ces termes que Michel Foucault dénonce, dans ce cours prononcé en 1973, et que viendra compléter, en 1975, son ouvrage Surveiller et punir, le "cercle carcéral". La Société punitive étudie ainsi comment les sociétés traitent les individus ou les groupes dont elles souhaitent se débarrasser, c’est-à-dire les tactiques punitives, mais aussi la prise de pouvoir sur le corps et sur le temps et l’instauration du couple pénalité-délinquance. Michel Foucault retrace l'histoire des "tactiques fines de la sanction" dont il distingue quatre modalités : exiler ; imposer un rachat ; marquer ; enfermer. C'est dans la seconde moitié du XVIIIe siècle que se développe une "science des prisons" à fonction corrective et que se construit un discours sur le criminel et son traitement possible, donnant naissance à un schéma de société qui vise à l’absolu du contrôle et de la surveillance. L’ajustement entre le système judiciaire et le mécanisme de surveillance (l’organisation d’une police), entre l’émergence de la richesse et la pratique des illégalismes, entre la force corporelle de l’ouvrier et l’appareil de production s’accomplit ensuite au tournant du XIXe siècle. Foucault démontre donc que ce sont les instances de contrôle para-pénal du XVIIe et du XVIIIe siècle qui ont abouti, in fine, au fonctionnement de la prison, visant à l’élimination du désordre, au contrôle de la distribution spatiale des individus, de leur emplacement par rapport à l’appareil productif. La Société punitive finit par poser la question, cruciale aux yeux du philosophe, de la validité intrinsèque de la loi pénale. A-t-elle vocation universelle ou se limite-t-elle à la douteuse applicabilité d’une somme de décrets ?
Political philosophy. Social philosophy --- Social control --- Punishment --- Prison sentences --- Criminal law --- Contrôle social --- Peines --- Peines d'emprisonnement --- Droit pénal --- History --- Social aspects --- Histoire --- Aspect social --- Foucault, Michel, --- Punition --- Aspect moral --- Sociologie --- Contrôle social --- Droit pénal --- Histoire. --- Aspect moral. --- Sociologie. --- 17e siècle-20e siècle. --- Aspect sociologique. --- Contrôle social. --- Droit criminel. --- Individu et société. --- Morale. --- Normes sociales. --- Peine (Droit). --- Peines. --- Philosophie. --- Punition. --- Soziale Kontrolle. --- Strafe. --- Aspect social. --- Philosophy. --- History. --- Social aspects. --- Foucault, Michel, - 1926-1984
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