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French (4)


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2000 (4)

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Book
Etude et conception d'une petite unité fluviale de plaisance de type nouveau
Authors: --- ---
Year: 2000 Publisher: Bruxelles: Institut Supérieur d'Architecture Saint-Luc Bruxelles,

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Abstract

Les enseignements que l'ont peut tirer de l'architecture navale sont riches et variés, ils semblent très utiles pour l'architecte. Ce travail tente de cerner ce métier d'architecte naval, à la fois si proche et si différent de celui de l'architecte. Trois pôles attractifs rythment ce travail. Le premier aborde des choix possibles de conception, différents de ceux utilisés par les architectes du bâtiment. Le second permet la redécouverte de l'heuristique par le biais du dessin de carène. Le dernier décrit les techniques utilisées en architecture navale, utilisables aussi pour la construction d'édifices. Toute personne désirant concevoir son bâteau devrait, à la lecture de ce travail, être en mesure de se poser les questions de base adéquates indispensables à l'élaboration des plans. (JF.L.)


Film
Joris Ivens : cinéaste du monde - DVD 3 : 1946-1966
Author:
Year: 2000 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: [éditeur inconnu],

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Abstract

-L'Indonésie appelle :La grève des dockers indonésiens pour réclamer l'indépendance de leur pays.-La Seine a rencontré Paris :La Seine à Paris, ses quais peuplés des rencontres et des solitudes, ses ponts d'où les amoureux regardent couler le fleuve, ses abords où s'affairent ou se reposent les Parisiens. Un chef d'oeuvre de poésie avec la collaboration de Jacques Prévert.-... à Valparaiso :Au départ, "... à Valparaíso" était un exercice d'étudiants chiliens sous la direction de Joris Ivens. Le réalisateur a associé ses élèves à son travail. Le film est devenu une oeuvre remarquable et une superbe analyse du phénomène urbain dans laquelle coexistent poésie et militantisme.-Rotterdam - Europort :Un regard peu commun sur le port de Rotterdam. Aux images d'un port actif, frontière de l'Europe, sont ajoutées celles du "Hollandais Volant", personnage de légende qui revient dans son pays après quatre siècles d'absence.-Pour le mistral :Documentaire-poème sur le fameux vent provençal dont Joris Ivens parvint à montrer le souffle, la force et la malice..."Le mistral est un vent fameux et exceptionnel dans le monde... Le mistral est le moyen de découvrir la vie en Provence. Ce vent régional touche tous les domaines: humains, culturels, sociaux, historiques, géographiques, l'agriculture et l'architecture du Midi. Le mistral change l'atmosphère, tourmente le pays et les hommes qui sont obligés de se protéger de lui..." Joris Ivens, notes, 1965


Book
Conventions et recommandations sur le travail maritime, y compris les normes sur la pêche, le travail dans les ports et la navigation intérieure
Authors: ---
ISBN: 9222103327 Year: 2000 Publisher: Genève Bureau international du Travail


Film
Grands reporters : les films du Prix Albert Londres
Year: 2000 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: [éditeur inconnu],

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Abstract

Chaque année, depuis 1985, l'association du Prix Albert Londres récompense un grand reporter de l'audiovisuel, en hommage à Albert Londres, journaliste et écrivain français qui incarne aujourd'hui encore une certaine idée du journalisme et du traitement de l'information.Ce coffret - qui regroupe 10 DVD au total - présente les grands reportages francophones primés par l'Association Albert Londres. Tournés sur vingt-cinq ans, de 1985 (date de la création du prix audiovisuel Albert Londres) à 2010, les films qui y figurent capturent sur le vif les enjeux et conflits de notre temps (guerre froide, mafias, terrorisme, trafics en tous genres, guerres civiles et grands sujets de société). Les journalistes prennent le risque d'aller chercher l'information qui "fait la différence", et retracent dans leurs films des destins extraordinaires ou des portraits de héros "ordinaires" et méconnus.Vol. 1 & 2 :1. "Les Combattants de l'insolence" - Christophe de Ponfilly (Aghanistan - 1985 - 52' - Interscoop - Prix Albert Londres 1986) :Troisième volet du long engagement de Christophe de Ponfilly pour raconter, caméra au poing, le quotidien des moudjahidines dans leur guerre contre l'Armée Rouge."Au coeur de villages détruits et de vallées grandioses, le reporter et son ami Bertrand Gallet s'attachent à raconter l'organisation de la résistance dans le Panjshir. De grottes en "karagas" (garnisons militaires), le spectateur voyage parmi les unités combattantes. Portraits d'hommes "seuls face au monde" qui, la plupart du temps, semblent attendre l'offensive de l'ennemi, pour mieux la repousser. Ils cuisinent, ils chantent ou réparent leurs chaussures... Ils vivent debout, fusil à porté de main.""Ce film donne à voir ce qui n'a pas été montré et donne à entendre les voix des sans-voix." - Christophe de Ponfilly.2. "Cinq Reportages au Liban" - Philippe Rochot (Liban - 1986 - 11' - Prix Albert Londres 1986) :Cinq reportages au Liban (11'): Village chrétien de Mardouché - Bataille de Sabra - Méthode d'enlèvement - Journalistes au Liban - Beyrouth et les otages."J'ai appris que j'avais reçu le Prix Albert Londres dans les minutes qui ont suivi ma libération des geôles du Liban en juin 1986...""En cette année 1986, j'avais beaucoup donné de ma personne pour expliquer la situation politico-militaire à Beyrouth et le sort de nos compatriotes capturés. J'avais surtout accepté de me rendre sur place, avec Jean-Louis Normandin, Georges Hansen et Aurel Cornea après l'annonce de "l'exécution" de Michel Seurat par les terroristes du "Jihad islamique" alors que la chasse aux français était lancée dans les rues de la capitale pour faire payer à notre pays ses livraisons d'armes à l'Irak de Saddam Hussein.""Je me disais même que si tous les journalistes s'étaient donnés autant que moi pour couvrir la guerre du Liban, le monde entier serait parfaitement informé de la situation..." - Philippe Rochot.3. "Liban, au pays des morts vivants" - Frédéric Laffont (Liban - 1987 - 13' - Interscoop - Prix Albert Londres 1987) : "J'avais vingt ans quand, pour la première fois, j'ai voulu partir dans Beyrouth en guerre. Je voulais y filmer le quotidien d'un fleuriste qui continuait à livrer ses bouquets de part et d'autre de la ligne de front. La veille de mon départ, à cause des bombardements, l'aéroport a été fermé. Au fil des ans et du conflit, je suis allé plusieurs fois à Beyrouth sans jamais retrouver le fleuriste.""Voilà les témoignages de ceux qui vivaient sous les bombes et le regard, fragile, d'un jeune homme qui promenait sa caméra, son imaginaire et ses vingt ans dans la guerre. Je repars bientôt pour filmer les Libanais. Les fragrances de fleurs jamais fanées guident encore mes pas." - Frédéric Laffont.4. "Barbie, sa deuxième vie" - Daniel Lecomte (Bolivie, France - 1988 - 52' - INA - Prix Albert Londres 1988) : "Tracer la deuxième vie de Klaus Barbie, c'est l'objet de ce film. Une vie qu'il a menée après avoir échappé à la justice des Alliés, une vie de nazi toujours, au service d'autres dictateurs, sous d'autres latitudes... En 1985, quand je me suis lancé dans cette aventure incertaine à travers l'Amérique latine, je ne me demandais pas pourquoi je faisais ce voyage. Je savais ou plus précisément, je croyais savoir." - Daniel Leconte.5. "Les Enfants de la honte" - Denis Vincenti et Patrick Schmitt (France - 1989 - 46' - TF1 - Prix Albret Londres 1989) : "Les Enfants de la honte est avant tout une histoire humaine.""Nous sommes en 1988, il y a treize ans que les américains ont quitté en catastrophe le Vietnam, poussés dehors par des Vietminh, impatients de prendre en main la destinée de leur pays. Les Américains de Nixon vont s'échapper du Vietnam en laissant derrière eux des casernes, du matériel, une culture yankee, mais aussi des enfants, fruits d'unions furtives entre des militaires américains et de jeunes vietnamiennes. Ces jeunes gens avaient comme particularité d'avoir une couleur de peau différente de celle des autres enfants vietnamiens. Certains étaient noirs, d'autres étaient blancs, ils n'étaient pas allés à l'école et pourtant, certains d'entre eux parlaient même l'américain. Ces enfants étaient le témoignage d'une sale guerre, la guerre du Vietnam; ils portaient sur eux le visage de la collaboration, c'étaient "des enfants de la honte"". - Denis Vincenti.6. "J'ai 12 ans et je fais la guerre" - Gilles de Maistre (Irlande, Colombie, Cambodge, Mozambique, USA - 1990 - 53' - Capa, Canal+, France 3 - Prix Albert Londres 1990) :Ils ont entre huit et quinze ans et ils ne jouent pas à la guerre. Ils la font, kalachnikov à la main. Orphelins au Mozambique, catholiques élevés dans la haine de l'Anglais en Irlande du Nord, volontaires confiés à la guérilla par leur famille en Colombie ou petits paysans endoctrinés par les Forces Libératrices Khmer au Cambodge, les enfants-soldats partagent les mêmes entraînements, le même traitement, la même vie et parfois la même mort que les adultes. Des enfants privés d'enfance que Gilles de Maistre a suivi de long mois pour comprendre à quoi on pense quand on a 12 ans et qu'on fait la guerre.7. "La taupe (L'affaire Farewell)" - Dominique Tierce et Hervé Brusini (France, URSS - 1991 - 47' - INA - Prix Albert Londres 1991) :A l’été 1990, les deux journalistes démarraient, pour le magazine Envoyé Spécial de France 2, le tournage, à Moscou, d’un reportage consacré au KGB. Au bout de quelques jours d’enquête, ils se rendirent compte qu’ils disposaient d’assez d’éléments leur permettant de raconter l’affaire Farewell.Vladimir Ippolitovitch Vetrov, colonel du KGB, ingénieur en chef de l'armement assimilé à la Direction "T" du KGB, est plus connu des services secrets occidentaux sous le nom de code de Farewell. Il livra environ 3000 documents secrets du KGB aux services français de la DST, entre mars 1981 et le 23 février 1982, date à laquelle il disparut. Vetrov-Farewell fut finalement arrêté et condamné à 15 ans de détention pour le meurtre d'un milicien et tentative de meurtre sur sa maitresse, Ludmilla Outchina, elle aussi membre du KGB et qui voulait le faire chanter. Sa trahison ayant été découverte, Vetrov est fusillé le 23 janvier 1985.Vol. 3 & 4 :1. "Le Grand Shpountz" - Lise Blanchet, Jean-Michel Destang et Jean-Pierre Bozon (France - 1992 - 52' - INA - Prix Albert Londres 1992) : Gilles pose des lignes aux PTT. Maryvonne est coiffeuse. Ils ont trois filles. Ils habitent la banlieue d'Arras, chef-lieu du Pas-de-Calais. Depuis dix-sept ans, dans le hangar d'une ferme, Gilles construis seul le Grand Shpountz: une goélette de vingt-deux mètres de long entièrement en bois. Un chef-d'oeuvre. Un rêve démesuré, démentiel. Mais un rêve sacrifice: depuis dix-sept ans, celui d'une vie de famille, de vacances, de jolis vêtements, de temps libre, de présence auprès des enfants... Un jour, le Grand Shpountz s'en va. La maison d'Arras est vendue, la famille se déchire: les deux filles aînées restent sur le quai, la petite dernière et les parents partent. Pour une autre vie, là-bas, de l'autre côté de l'océan. Une seconde vie, à cinquante ans.2. "Cinq jours dans Sarajevo" - Jean-Jacques Le Garrec (Bosnie - 1993 - 10' - INA - Prix Albert Londres 1993) : Du quotidien agité aux pires horreurs, Jean-Jacques Le Garrec s'est plongé dans la ville en guerre durant tout un hiver : l'attente, la visite de Boutros Ghali, un réveillon, les forces Bosniaques et l'interview de Srjan Djzdarevic resteront dans les mémoires. Cette guerre au départ invisible, silencieuse et sournoise, bascula dans une incroyable violence. 3. "Rachida, lettres d'Algérie" - Florence Dauchez (Algérie - 1994 - 52' - France 3, Les films d'ici - Prix Albert Londres 1994) : Dans une cité HLM contrôlée par le FIS dans la banlieue d'Alger, Rachida a la charge de ses sept enfants qu'elle élève seule depuis son divorce. Portrait de famille, en même temps que témoignage d'une femme et mère algérienne, ce film nous montre avec force et émotion le quotidien d'un pays qui s'enferme dans la violence. "Tu montreras ce qu'est devenue la vie chez nous et moi, je t'écrirai des lettres". Ces lettres de Rachida, écrites à l'issue du tournage, à la fois lucides et douloureuses, sont le complément indispensable de ce portrait fort et émouvant.4. "Voleurs d'organes" - Marie-Monique Robin (Argentine, Mexique, Colombie - 1995 - 57' - Agence Capa, Planète - Prix Albert Londres 1995) : "La rumeur courait l'Amérique Latine depuis 1985. Elle racontait que des enfants disparaissaient: on leur volait les yeux ou les reins. Légende ou réalité? Nous avons enquêté du sud au nord de la planète. Nous avons recherché les victimes en essayant de briser une implacable loi du silence."Ainsi débute l'enquête de Marie-Monique Robin. "Quinze ans plus tard, et malgré toutes les épreuves que j'ai dû traverser, je suis très fière de cette enquête que je referais exactement de la même manière, s'il le fallait. N'en déplaise à tous ceux qui ont voulu étouffer un trafic odieux, dont l'existence est aujourd'hui reconnue par la plupart des instances internationales comme le Conseil de l'Europe qui écrivait en 2003 qu'il ne représente malheureusement pas "un problème nouveau"...".5. "Les Seigneurs de Behring" - Patrick Boitet et Frédéric Tonolli (Russie - 1996 - 52' - Prix Albert Londres 1996) : Sous le cercle polaire, la Tchoukotka, le bout du bout du continent: des hommes y vivent comme leurs ancêtres, chassant la baleine et le morse dans de fragiles esquifs.6. "La Corse" - Claude Sempère (France - 1997 - 44' - INA - Prix Albert Londres 1997) : "Un an d'enquête. Cinq équipes de tournage dans l'île pendant plusieurs semaines pour une émission complète sur la Corse.""Tout commence début 1996. Six cents cagoulés se réunissent dans le maquis à Tralonca. L'image est diffusée sur toutes les télévisions. Paul Nahon et Bernard Benyamin qui pilotent "Envoyé spécial" décident alors de lancer un magazine entièrement consacré à la situation dans l'île. Ils nous donnent carte blanche et les moyens de travailler. On a voulu surtout donner la parole aux victimes d'attentats et montrer la dérive mafieuse de certains mouvements nationalistes. 1996, c'est deux ans avant l'assassinat du préfet Erignac..." - Claude Sempère.7. "Chronique d'une tempête annoncée" - Catherine Jentile et Manuel Joachim (Israël, Palestine - 1998 - 29' - TF1 - Prix Albert Londres 1998) :Tourné à Gaza, le reportage donne la parole aux Palestiniens.Vol. 5 & 6 :1. "Les Blanchisseuses de Magdalen" - Christophe Weber et Nicolas Glimois (Irlande - 1999 - 52' - Sunset Presse - Prix Albert Londres 1999) :Les pêcheurs de pécheresses. Nicolas Glimois a découvert cette histoire: ces dizaines de milliers de jeunes femmes irlandaises enfermées, souvent à vie, mises aux travaux forcés, dans des couvents. Parce qu'elles étaient supposées en "danger moral". Ou des "filles-mères", ou des gamines abandonnées "aux soins" de l'église, parce qu'il y avait trop de mômes dans trop de familles dans la très catholique Irlande.2. "Les Damnés de la terre" - Rivoherizo Andriakoto (Madagascar - 2000 - 53' - Les Films du Cyclope, CRRAV, C9 - Prix Albert Londres 2000) : A Madagascar, dans l'île de Nosy Lava, le bagne créé en 1911 par l'administration coloniale française continue à exister - et à être géré selon les mêmes règles - depuis l'indépendance du pays en 1960. Quelques deux cents forçats, au visage sans âge, vivent là, oubliés depuis longtemps. La relégation, cette "plaie du régime colonial", a mué en emprisonnement à perpétuité les condamnations initiales de quelques années. Ces bagnards ont vu se succéder les responsables politiques, les directeurs, ceux d'une administration pénitentiaire quasi invisible mais omnipotente. Depuis vingt ou quarante ans, ils travaillent pour l'Etat à l'entretien du bagne ou dans les champs et les rizières aux alentours pour quelques aliments ou vêtements de rechange...Le document rappelle l'histoire coloniale, son héritage importé et une indépendance difficile à assurer. Il se penche sur le sort de ces "damnés de la terre" et met en évidence la question de l'oubli et de la survie de ces hommes aux droits et à la dignité bafouées.3. "Seule avec la guerre" - Danielle Arbid (Liban - 2001 - 59' - Movimento, Versus, La Sept/Arte, RTBF, WIP - Prix Albert Londres 2001) :"Beyrouth est une ville formidable. On se croirait au centre de tout. À Beyrouth, entre 1975 et 1990, il y avait une guerre civile, c'est-à-dire que tout le monde voulait exterminer tout le monde. Aujourd'hui, la guerre est finie. Elle s'est arrêtée un jour, comme ça, après avoir gangrené nos vies. J'ai voulu filmer le vide qu'elle a laissé. Sa présence fantomatique. Cette plaie..." - Danielle Arbid.4. "La Justice des hommes" - Jean-Xavier de Lestrade (Rwanda - 2002 - 92' - Maha Productions - Prix Albert Londres 2002)5. "Reportages à Naplouse" - Bertrand Coq et Gilles Jacquier (Palestine - 2003 - 7' - France 2 - Prix Albert Londres 2003) : "C'était pendant l'opération "Rempart". Au printemps 2002. Prenant prétexte d'une série d'attentats suicides, l'armée israélienne réoccupait les villes de Cisjordanie concédées à l'autorité palestinienne: Ramallah, Naplouse, Jenine... À Naplouse, les fédayins se battaient retranchés dans la vieille ville, la casbah. Quelques centaines de combattants mêlés à la population civile, à la fois otage et bouclier. Avec le cameraman Gilles Jacquier et Khaled Abou Aker, le fixeur palestinien du bureau de France 2 à Jérusalem, nous étions entrés à Naplouse clandestinement, forçant le blocus imposé par les Israéliens." - Bertrand Coq.Vol. 7 & 8 :1. "S21, la machine de mort khmère rouge" - Rithy Panh (Cambodge - 2004 - 100' - Arte, INA - Prix Albert Londres 2004) :Au Cambodge, les Khmers rouges prennent le pouvoir le 17 avril 1975. Camps de travail forcé, famines, terreurs, exécutions... près de deux millions de personnes meurent entre 1975 et 1979. Sous les Khmers rouges, S21 était le "bureau de la sécurité". Dans ce centre de détention situé au coeur de Phnom Penh, près de 17.000 prisonniers ont été torturés puis exécutés. Ce film tente de comprendre comment l'Angkar, le parti communiste du Kampuchéa, a mis en oeuvre sa politique d'élimination systématique.Pendant près de trois ans, Rithy Panh a entrepris une longue enquête auprès des rares rescapés, mais aussi auprès de leurs anciens bourreaux et a convaincu les uns et les autres de revenir sur le lieu même de l'ancien S21, reconverti en musée du génocide, pour confronter leurs témoignages.2. "La Traversée clandestine" - Grégoire Deniau et Guillaume Martin (Maroc, Espagne - 2005 - 48' - France 2 - Prix Albert Londres 2005) :"La photo à la une de la presse espagnole d'un africain trempé et épuisé sur le sable d'une plage des Canaries entouré de touristes nordiques bronzant ou plutôt tentant de bronzer dans leur transat sans porter attention à cet homme à l'agonie, voilà le déclencheur. Pourquoi, comment... Des mois d'enquête, des mois de tournage, en compagnie d'hommes et d'une femme essayant pour certains depuis des années de rejoindre l'Europe." Grégoire Deniau.3. "La Malédiction de naître fille" - Manon Loizeau et Alexis Marant (Inde, Pakistan, Chine - 2006 - 53' - Agence Capa, Arte - Prix Albert Londres 2006) :"C'est une scène quotidienne, presque banale. Dans un faubourg de New Delhi, une jeune femme accouche dans un hôpital aux murs crasseux. Derrière un rideau jauni, au fond d'une salle immense qui ressemble à un hôpital de fortune en tant de guerre, un cri. Celui d'un nouveau né. C'est une petite fille. L'infirmière la montre à sa mère, celle-ci détourne les yeux." - Manon Loizeau.4. "Muttur, un crime contre l'humanitaire" - Anne Poiret, Gwen Le Gouil et Fabrice Launay (Sri Lanka - 2007 - 51' - Maximal Prod - Prix Albert Londres 2007) : Le 4 août 2006, 17 travailleurs humanitaires d'Action contre la Faim étaient assassinés dans la ville de Muttur, au Nord-est du Sri Lanka. Ce massacre est le plus important commis contre une organisation non-gouvernementale à ce jour.Vol. 9 & 10 :1. "Rafah, chroniques d'une ville dans la bande de Gaza" - Alexis Monchovet, Stéphane Marchetti et Sébastien Mesquida (Palestine - 2008 - 53' - Prix Albert Londres 2008) :"La réalisation de "Rafah, chroniques d'une ville dans la bande de Gaza" a été une expérience à la fois intense, difficile et inoubliable. Ce projet est né en juillet 2005 alors que les colons et l'armée israélienne se préparent à quitter la bande de Gaza. Nous sommes à la veille d'un événement historique. La diplomatie internationale espère, les médias s'interrogent, mais personne ne sait vraiment ce que le désengagement va apporter à la région. Le film s'impose alors comme une évidence.""Rafah est au centre de tous les enjeux. La ville est collée à l'Égypte et pour la première fois, les palestiniens vont contrôler cette frontière. La communauté internationale voudrait que le point de passage fonctionne normalement pour que la bande de Gaza puisse se développer économiquement. Mais Rafah est un haut lieu du trafic d'armes et le désengagement n'a pas mis fin au conflit israélo-palestinien. Tsahal quitte Gaza le 12 septembre 2005. Nous décidons alors de rester un an à Rafah, pour filmer l'évolution de la situation." - Alexis Monchovet et Stéphane Marchetti.2. "Han, le prix de la liberté" - Alexandre Dereims (Corée du Nord, Chine - 2009 - 52' - Première Nouvelle, Java Films - Prix Albert Londres 2009) :"Je m'intéresse à la Corée du Nord depuis quelques années et je connaissais l'histoire des réfugiés nord-coréens qui traversent clandestinement la Chine et le sud-est asiatique pour arriver en Corée du Sud. Cette histoire-là n'avait pas encore été filmée. C'est en enquêtant que j'ai véritablement pris la mesure du sujet." - Alexandre Dereims.3. "La Mise à mort du travail" (série de trois reportages) - Jean-Robert Viallet (France - 2010 - 180' - Yami 2 - Prix Albert Londres 2010) :Un documentaire en trois parties.1. "La destruction" (66') - Dans un monde où l'économie n'est plus au service de l'homme mais l'homme au service de l'économie, les objectifs de productivité et les méthodes de management poussent les salariés jusqu'au bout de leurs limites. Jamais maladies, accidents du travail, souffrances physiques et psychologiques n'ont atteint un tel niveau.2. "L'aliénation" (64') - Une productivité maximale et un client roi totalement satisfait : deux notions qui, aujourd'hui, dans toutes les entreprises de services du monde, imposent la mise en place d'un management de la manipulation.3. "La dépossession" (63') - Alors que la crise fait vaciller le capitalisme financier, le document raconte l'extraordinaire pouvoir des actionnaires sur le travail et les travailleurs. L'histoire nous transporte d'une usine du centre de la France jusqu'aux arcanes de la finance new-yorkaise.

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